Réglementation de l’exposition : objectifs et normes

La norme de 1943, comme c’est souvent le cas pour la période, a été fixée en fonction de la toxicité aiguë, qui entraîne des perforation nasales pour les ouvriers lourdement exposés. Le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles.

Pour avoir un élément de comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs d’un paquet.jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non fumeurs.

La norme d’exposition, établie en 1943, et toujours en vigueur selon l’OSHA est de 52μg/m2. Que vous inspire la différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon ?

Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 vous semble-t-il élevé par comparaison à d’autres situations connues ?

208 Messages de forum

  • La différence me parait complètement alarmante. Même si l’étude présentée peut avoir un certains nombre de biais on est quand même dans une proportion de 10 entre les normes actuelles et les résultats de dose-effet présentés avec des doses considérées comme élevées (5,8 microgrammes/m²). Cette norme reste un paramètre que l’on pourrait qualifié de très anciens au regard des évolutions des connaissances et des méthodes scientifiques depuis 1943.

    L’odds ratio parait anormalement élevé car donne une augmentation de la probabilité du risque de développer un cancer de 700 % !

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  • si on s’en tient aux chiffres officiels de 52µg/m2, il se dégage directement que la prévalence du cancer de poumon sera de 7 à 20 fois plus élevée dans les décennies à venir.
    Par principe de précaution, la dose >à 5,8µg/m2 peut pas élevée.

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  • La norme d’exposition de 1943 se situe dans la zone d’exposition élevée, ce qui laisse à penser qu’elle avait été établie à l’époque sur la base des effets aigüs occasionnés par une exposition à une forte concentration, et non à une exposition sur une longue période comme c’est le cas en milieu professionnel. Le odd ratio correspondant à la dose >5,8 µg est très élevé.

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  • comparativement aux chiffres issus de l’étude de risque cette valeur est trop importante et de ce fait correspont à une exposition élévée

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  • la norme d’exposition selon OSHA est certainement le fruit du lobby de l’industrie

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  • La norme correspond à une exposition intermédiaire conduisant à un odds ratio significativement élevé.
    Oui c’est très élevé.

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  • Il y a un facteur 10 de différence entre la norme et les chiffres de l’étude, ce qui est énorme. Cette norme n’est donc pas du tout sécuritaire. On peut suspecter qu’à l’instar du CV, elle ait été établie en fonction des désidératas des industriels.

    Cet odds ratio est très élevé puisqu’il signifie que si l’on est exposé à plus de 5.8µg, on a 20 fois plus de risque de développer un cancer du poumon. Il me semble que cette situation est comparable à celle du tabac (fumeur de 1 paquet par jour). De plus, il est probable que les effets du tabac potentialisent ceux du chrome VI, et que la tabac soit une pratique courante chez les ouvriers...

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  • La norme d’exposition, établie en 1943, et toujours en vigueur selon l’OSHA est de 52μg/m2. La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon inspire deux réflexions. En effet, cette différence pourrait s’expliquer par (i)- les découvertes, les procédés et démarches scientifiques sont en perpétuelle évolution et la méthodologie utilisée dans cette nouvelle étude est certainement porteuse d’avancées qui font qu’on dispose de résultats plus précis que ceux ayant conduit aux normes de 1943 ; (ii)- les niveaux généraux de ces substances peuvent avoir globalement augmenté sous l’effet conjugué de la vitalité économique, du fonctionnement à plus haut degré des industries, etc.

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  • cette grande différence montre que le risque d’apparition de cancer du poumon suite à l’exposition au Cr (VI) a été longtemps sous estimé. Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est relativement élevé par rapport à d’autres situations. En exemple, l’exposition au tabac passif augmente de 25-35% le risque d’un accident coronarien ce qui est exprimé par un OR de 1,3.

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  • La norme OSHA de 1943 est une norme très depassées et erronées car nous savions que très en desssous de ses normes on note une augmentation significative du risque de cancer de poumon.

    Le odds ratio pour les cancer du poumon se revele etre elévé à la dose >58 ug/m² si nous considerons ne serait ce que le odds ratio de 1,3 pour une augmentation significative de 25% à 30% du risque d’accident coronarien.

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  • La norme d’exposition de l’OSHA de 52μg/m² est bien loin des chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumons quant au odds ration, c’est élevé par comparaison à d’autres situations comme le cas de la consommation de soja dont les odds ratio = 0,86 - IC 95% de 0,75-0,99).

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  • Il y a une contradiction entre la norme d exposition établie par l OSHA et les résultats sur le tableau (ceux de la publication révisée) cette contradiction peut s expliquer par, ou bien l industrie falsifient les donnés, ou bien la valeur établies en 1943 par l OSHA est exagérée mais d après ce qu’on vient de voir plus haut c est la première hypothèse qui est exacte (adaptation des résultats pour l industrie)
    Pour certains composé leur odds ratio est plus élevée.

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  • La norme de 1943 (absence de technologie pour détection de maladies) est fixée pour des toxicités sévères, alors que des études récentes montrent que le cancer des poumons (cas chronique) apparait à des doses plus faibles.
    Elément de comparaison chez les fumeurs et apparition de cancer des poumons.

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  • La norme d’exposition est très supérieure à la limite d’exposition démontrée par l’étude (<1,2µg/m2). Alors on se demande pourquoi cette norme est si élevée ? Soit les résultats n’ont pas été pris en compte délibérément soit ils ne servent pas les intérêts des financeurs d’être pris en compte.
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 me semble élevé en comparaison des résultats obtenus avec le chlorure de vinyl

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  • Cette norme toujours en vigueur est presque 10 fois supérieure à celle établie par l’étude du risque d’apparition du cancer du poumon.
    Les odds ratio pour les cancers du poumon sont de toute façon élevés selon les résultats portés à notre appréciation.

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  • L a norme d’exposition n’est pas efficace, car le risque est réel à des valeurs deux fois plus faibles que celle de la limite autorisée pour les ouvriers

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  • Cette norme en vigueur est largement au-dessus des valeurs de l’étude pour lesquelles il y a un risque de développer un cancer.
    On peut en conclure que les travailleurs y sont exposés à des doses auxquels ils ont toutes les chances de développer un cancer du poumon.
    L’odds ratio pour une dose > 5,8 ug/m2 est de 20 environ, ce qui est très élevé. Le risque relatif est donc élevé.

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  • Une norme d’exposition restée aussi élevée durant 50 ans, alors que des cas de cancers du poumon étaient clairement identifiés et associés à cette exposition, est une situation qui semble aberrante.
    Alors même que le OR est très élevé

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  • L’étude du risque d’apparution du cancer du poumon stipule que l’exposition moyenne supérieure à 5,8ug/m2 présente un rsique élevé. Par comparaison avec la norme de 52 ug/m2, on constate que la différence est énorme. Cela traduit une très forte exposition des travailleurs au chrome hexavalent. Un nombre élevé soufriraient donc de cancer de poumons.

    Le odds ratio pour une exposition au chrome hexavalent supérieur à 5,8ug/m2 présente un risque relatif de 6,9 de développer le cancer. Ce risque est moins important par au seuil initial de 52ug/m2.

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  • la différence montre que la norme avait été fixée sans avait été fixée en sur estimant le seuil de risque , c’’est à dire en ne tenant compte que de la toxicité aiguë alors que les cancers de poumons sont le résultat d’une toxicité sur le long termes avec des dose faibles.

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  • La différence est très prononcée ! La comparaison soufre d’un biais, car les expositions ne sont pas les mêmes (Toxicité aiguë avec exposition sur courte durée d’où effets prononcés voire immédiats et toxicité chronique à faibles doses).
    Oui la norme est élevée, en tenant compte des chiffres et conditions expérimentales. Un cas bien illustré est celui des fumeurs qui était environ 10 fois supérieur à celui des non fumeurs (quantité : un paquet par jour pour les fumeurs).

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  • - La norme d’exposition (52 µg/m2) est dix fois supérieure à 5,8 µg/m2 valeur à partir de laquelle, l’exposition est jugée élevée.
    - Oui, car le odds ratio est égal à 20 à cette dose.

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  • la différence de norme d’exposition établi en 1943 et les chiffres issu de l’étude du risque d’apparition du cancer de poumon nous inspire une sous-dimensionnement de l’étude.

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  • La norme d’exposition en 1943 est supérieure à la norme obtenue par les études. Cela ne devrait plus être le cas avec l’exposition chronique à faibles doses dans les milieux professionnels actuels.
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est élevé.

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  • ces chiffres montre que à des expositions aux concentrations plus faible on observe l’apparition d’un cancer de poumon
    Non, elle ne semble pas plus élever car même a des concentrations inférieurs on a le développement de la pathologie.

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  • Cette différence serait le fait de l’influence des industriels qui cherchent à minimiser le risqque d’exposition dans leur propre intérêt.

    Les connaissances limitées sur les mécanismes d’action pouvant inciter à la prise de décision sont aussi un élément important.

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  • Ce chiffre est très élevé par rapport aux chiffres des études et donc la différence est grande.

    Oui les odds ratio sont élevés par comparaison à d’autres situations connues telles que l’étude des cancers chez les jumeaux.

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  • La norme d’exposition est près de 10 fois la valeur à partir de laquelle l’exposition est considérée forte. L’odds ration associé à cette dernière valeur (5,8μg/m2) étant très élevé (dix fois plus élevé que le RR de cancer de poumon pour un fumeur !), on ne peut que s’interroger sur le pouvoir et les moyens de pression de l’industrie !

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  • La norme de 52μg/m2 apparaît très élevée par rapport aux conclusions de l’étude de risque. Notamment par rapport à la première version, qui conclue à un risque réel (OR=4.9) de cancer du poumon même pour une exposition moyenne (entre 1.2μg/m2 et 5.8μg/m2).

    Le OR pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 et estimé à 20.2 semble extrêmement élevé dans la première étude. Par comparaison, suivant différentes études, le risque moyen d’un fumeur de développer un cancer du poumon est 3 à 17 fois supérieur. Il est donc important de réétudier le design de l’étude pour s’assurer de la fiabilité des résultats recueillis.

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  • La norme d’exposition de 1943 avait été mise en place afin de prévenir les perforations nasales des travailleurs exposés au chrome avec un niveau défini à partir des connaissances de l’époque. Elle n’est pas du tout adapté à l’objectif de prévention d’apparition de cancers du poumon : cette différence est de l’ordre d’un facteur 10 ce qui me semble très important. C’est donc scandaleux de la part de l’industrie de vouloir « trafiquer » les études afin de ne pas faire évoluer les exigences de cette norme.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 de 20,2 d’après l’étude du risque d’apparition de cancers du poumons est très élevé (par comparaison, pour un fumeur passif ou une personne exposée aux PM2,5, l’odds ratio est de 1,2)

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  • meme si ce OR est élevé il n’est pas significatif car l’IC ne contient pas la valeur 1

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  • La norme de 1943, a été fixée en fonction de la toxicité aiguë, qui entraîne des perforations nasales pour les ouvriers lodement exposés. Le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique à des doses beaucoup plus faibles.
    Pour avoir un élément de comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs à celui des non fumeurs.

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  • Cette étude a bénéficié de la conception multi-site qui donné une grande diminution de l’exposition] pour les travailleurs de la chimie du chrome ce qui a conduit à une ainsi que l’augmentation des statistiques généralement défaut dans les études antérieures des générations antérieures de l’aprés changement

    Oui le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 vous sont élevés par comparaison à d’autres situations connues

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  • 1). La norme d’exposition toujours en vigueur (52μg/m3) est presque 10 fois supérieure à la valeur plancher du niveau d’exposition considéré comme élevé (>5,8μg/m3).

    Ce niveau élevé d’exposition correspond à un OR pour les cancers du poumon estimé à plus de 20. Cet écart considérable entre la norme en vigueur et l’évaluation du risque résulte de la fixation en 1943 d’une norme qui n’a pris en compte que la toxicité aiguë (évaluée en fonction des perforations nasales chez les ouvriers) et non le risque lié à une exposition chronique. En conséquence, avec une telle norme, les industriels n’ont pas à faire d’efforts pour abaisser l’exposition des ouvriers, faisant subir à ces derniers des conditions de travail les soumettant à un risque extrêmement élevé de cancer du poumon (cela revient à accepter que les ouvriers « se tuent au travail », puisque le pronostic des cancers pulmonaires est très sombre).

    Cette norme est donc obsolète au regard des connaissances actuelles et apparaît absolument irréaliste et choquante : elle devrait de toute urgence être drastiquement revue à la baisse.

    **************************************************************************

    2). Au regard d’autres situations connues, cet OR de 20 apparaît élevé. On peut le comparer à des risque relatifs connus :

    - Il est comparable au risque relatif (RR) d’un fumeur régulier (un à deux paquets/jour) comparé à celui d’un non-fumeur, qui est estimé être compris entre 15 et 30.

    - Il est très supérieur à celui dû à une exposition professionnelle à l’amiante : le risque relatif global de cancer du poumon a été évalué à 1,63 par une méta-analyse* (risque potentialisé par la consommation de tabac**, et par la co-exposition à d’autres éléments toxiques comme certains métaux).

    * Goodman, Morgan et alii, 1999
    ** Hammon, Selikoff et Seidman, 1979 : RR > 50

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon liée aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon reste considérable.Elle est liée au facteur d’exposition en milieu professionnel en effectuant une évaluation des risques professionnels en milieu de travail.
    OUI, à mon avis cette valeur semble bien élevée car le risque moyen reste inférieur à 5.8µg/m2.

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  • La norme d’exposition, établie en 1943, et toujours en vigueur peut entraîner un excès de risque de cancer du poumon.
    Par exemple, une partie du Syndicat des Métallos avait demandé OSHA de réduire son PEL à partir du niveau actuel de 52 g u / m 3 à 0,25 g u / m 3.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 peut être considérées comme élevées et suceptible d’augmenter la probabilité du risque de développer un cancer

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  • La différence est élevée car la comparaison souffre d’un biais. La norme de 1943, a été fixée en fonction de la toxicité aiguë, qui entraîne des perforations nasales pour les ouvriers lourdement exposés alors que le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles. Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 me semble être élevé. Par comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs d’un paquet par jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non fumeurs.

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  • la norme d’exposition etablie par l’OSHA sont tres superieurs aux chiffres issus de l’etaudede risque.cela signifie que cette norme est mis en cause par beaucoup d’organisme pour reduire le risque de cancer dans les industries.
    la dose n’est pas elevé par rapport aux normes d’exposition de l’OSHA

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  • cela va permettre de mettre la barre très haut afin de préserver la santé des ouvriers.oui,il semble être élevé.

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon nous inspire la remarque suivante : les chiffres de 1943, 52μg/m2 ont été peut-être établis soit par des scientifiques du monde industriel soit avec des fonds provevant des industriels qui ont influencé les résultats en leur faveur.
    Non le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 ne nous semble pas si élevé par comparaison à d’autres situations connues.

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  • Cette norme de 1943 n’est pas protective pour les travailleurs de chrome hexavalent. De plus, elle expose ces travailleurs en grand danger.

    Oui, odds ratio À la dose de 5,8 μg/m2 est elevÉ.

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  • le développement des capacités d’études et leur maitrise et les données plus importantes aujourd’hui expliquent cette différence.
    Le odds ratio n’est pas élevé par papport à d’autres situations.

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  • La norme de 52microgrammes/m^3 préserve les personnes exposées aux effets aigus sur les poumons. Tandis que les chiffres affichés sur le tableau concernent le cancer du poumon, une maladie chronique, n’apparaissant qu’après des années d’expositions et à de faibles doses.
    Les odds ratio élevés peut être compare aux effets du tabagisme sur le cancer du poumon.

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  • cette différence nous inspire la volonté de l’industrie de s’opposer à la baisse de la norme d’exposition

    la dose est élevé comparée au chlorure de vinyle qui produit un cancer hépatique

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  • Cette norme confirme que ce sont encore les industriels qui influencent en leur faveur les différentes institutions pourront sensées être autonome pour promulguer des normes indépendamment de toute influence des industriels. Ce n’est manifestement pas le cas.
    La santé des ouvriers n’a que peut d’importance en comparaison des profils attendus.

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  • Par rapport a l’etude du risque de cancer de poumon, toute exposition superieure a 1,2μg/m2 entraine l’apparution de cancer chez les sujets. La norme d’exposition de 52μg/m2 établie par l’OSHA est trop elevee.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est tres elevee comparee au cancer de poumon des fumeurs (http://monographs.iarc.fr/ENG/Monographs/vol100D/100D-04-Table2.6.pdf)

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  • La différence entre la norme en vigeur et les résultats de l’étude, montrent que la substance n’est pas régulée à base de sa cancérogénéité. Je pense que si s’était le cas, elle ne devrait pas avoir de seuil de dose.
    Quant au OR je le touve assez élevé.

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  • La très forte différence (facteur 9) entre la norme d’exposition au CrIV établie en 1943 (52μg/m2) et les chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancer du poumon (> à 5,8μg/m2) démontre la seule prise en compte de la toxicité aiguë dans la norme en 1943.

    Le odds ratio est extrêmement élevé dans l’étude révisée ou non (OR de 6,9 à 20,2). De plus le odds ratio dans l’étude révisée n’est plus représentative car comme nous l’avons vu précédemment la taille n’est pas suffisante (sous dimensionnement) pour garantir la représentativité.

    A titre de comparaison l’exposition au tabac passif augmente de 25-35% le risque d’un accident coronarien ce qui est exprimé par un OR de 1,3.

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  • Cette différence nous permet de comprendre que le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles. Ceci dit l’on pourrait donc dire qu’en 1943, les études concernaient une exposition aigue. Et avec l’augmentation du risque d’apparition de cancers du poumon au fil des années l’OSHA aurait dû faire des révisions de l’étude mené par l’American Standard Institute (ANSI) et de redéfinir la norme (en baisse).

    Non, le odds ratio ne me semble pas élevé.

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  • La norme de 1943 encore en vigueur est très élevée par rapport à ce que préconisent les résults d’études actuelles. il est temps de reviser à la baisse le seuil d’exposition appliqué dans les entreprises industrielles.
    Cependant le odds ratio pour le cancer du poumon ne semble pas etre si élévé par rapport aux situations courantes.

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  • Il apparait évident que la norme étant largement sous-évaluée par rapport au risque encourru jusqu’à aujourd’hui, un très grand nombre de survenue de cancers du poumons auraient pu et pourrait être éviter.
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 semble beaucoup plus élevé par comparaison à d’autres situations connues (en général entre 2 et 3).

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  • oui, il me semble eleve car l’etude sur le cancer des poumons doit clarifier le dose concerne l’exposition chronique des ouvriers au chrome 6 et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles.Mais cette etude etait faite sur l’exposition aigue seulement.
    le risque de tabagisme en plus n’est pas ete declare ici

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque est que l’entreprise a cherché à protéger ses intérêts économiques en réhaussant la norme d’exposition ce qui fait que théoriquement le seuil d’exposition ne soit pas atteint alors que pratiquement le taux d’ exposition est plus basse , à partir de 5’8/m2.
    Par rapport à d’autres situation, le odds pour les cancers du poumons ne semble pas élevé ,

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  • La norme de 52 µg/m2 qui reste en vigueur pour l’OSHA et celle issue de l’étude (risque d’apparition de cancers du poumon) peut

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  • Il y a vraisenblament un vrai problème de mise à jours de la norme. La difference entre la norme et les résultats de l’études me semblent alarmante.
    Le odd ratio est très élevé ! (20 fois plus de chance de developpé un cancer avec une exposition "intermédiaire" de 5.8µg ! (soit 10 fois moins que la norme !)

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  • Les résultats obtenus démontrent un lien de causalité à un taux d’exposition beaucoup plus faible : norme à 52µg/m3 et un facteur de risque dès 1,2µg/m3, soit à une dose d’exposition environ 40 fois moins importante.
    Les calculs de l’OR et de l’Intervalle de confiance à 95% de l’OR présentent une association statistiquement significative entre l’exposition au Cr(VI) et l’apparition du cancer du poumon.
    2 critères de Bradfort-Hill sont en faveur d’une relation de causalité entre l’exposition au Cr(VI) et le cancer du poumon : la force de l’association et l’effet dose-réponse.
    On constate un OR élevé pour une dose de 5,8µg/m3 d’où une force de l’association.
    L’OR augmente à mesure que le degré d’exposition s’élève d’où une relation de dose à effet.

    Pour une dose > à 5,8µg/m, l’OR est de 20,2, ce qui représente un risque élevé. L’association entre l’exposition au Cr(VI) et le cancer du poumon est forte.

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon est due au fait qu’en 1943 la norme était fixée compte tenue de la toxicité aigue. Alors que le risque de cancer de poumon est déterminé par l’exposition chronique à de faibles doses de substance. Le odds ratio semble élevé. On peut prendre comme situation de comparaison le cancer de poumon chez les fumeurs.

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  • A la dose moyenne et supérieure d’exposition le risque de développer le cancer est élevé. Cette étude montre le lien de causalité car plus la dose d’exposition augmente plus le risque relatif augmente.Nous notons en plus qu’il n’ya pas le sous dimensionnement de l’échantillon car l’intervalle de confiance est significatif.

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  • Les méthodes des études et les normes applicable dans les années quarante mené à fixé une telle dose. Mais l’évolution de science environnemental et des techniques d’évaluation des risques à permet de révisé ou rectifié plusieurs normes fixé à l’époque après la pris en considération les nouvelles contrainte apparaitre ou cours de temps.

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  • la différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon designe une augmentation des risques des cancer des poumons avec l’augmentation des niveaux de l’exposition au Cr(VI)
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 apparait elevee lors de comparaison de l’autre sitauation au 1.2- 5.8 lors de l’exposition intermediaire de 4.9 comme OR avec une OR 20.2

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon est considérable. En effet, elle témoigne bien d’une exposition professionnelle.
    A la dose > à 5,8μg/m2, l’odds ratio pour les cancers du poumon nous semble effectivement élevé puisque le risque moyen est établi pour une exposition à une dose inférieure à la valeur sus citée.

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  • En inspirant l’étude du risque d’apparition du cancer suite à l’exposition au chrome, on peut dire que la norme fixée par OSHA depuis 1943 était dix fois plus élevée que la norme actuelle donnée par les récente étude.
    Le ratio 5,8µg/m2 semble être peut être élevé si on tient compte du cas ce chlorure de vinyle/

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  • Le paramètre le plus important est la taille ou l’effectif de l’échantillon ; la conséquence est que plus la taille est grande, plus on prend une décision statistiquement concluant à une différence significative.

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  • Les chiffres issus de l’étude sont passibles d’élever le risque d’apparition de cancer du poumon sont de loin inférieur à la norme en vigueur (52µg/m2). De plus, l’étude révèle qu’il existe un effet dose-réponse, cette différence étant énorme, nous pensons que l’organisme OSHA doit prendre ses responsabilités afin de réduire le plus tôt possible cet écart car l’ouvrier est massivement exposé.
    L ‘ouvrier exposé à la dose >5,8 µg/m2 présente un risque 20,2 plus élevé que celui exposé à moins de 1,2 µg/m2, et cette différence est statistiquement significative car l’intervalle de confiance exclue la valeur “ 1“ ; il en est de même pour la comparaison au groupe recevant 1,26< 5,8 µg/m2de Chrome hexavalent.

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  • Cette différence est bien préoccupant, en sachant qu’il existe des multiples études qui prouvent une augmentation considérable du risque de cancers du poumon dû à l’exposition au Chrome hexavalent. Est-ce le laxisme des normes qui ne limite pas l’intervention des industriels dans les études ou la rigidité des procédures conduisant l’établissement de la réglementation ou justement l’absence des mécanismes suffisamment forts et indépendants intervenant dans ce type de situations de risques connus ?
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 vous semble-t-il élevé par comparaison à d’autres situations connues ?
    Oui, par rapport à d’autres cas cités dans la littérature, qui n’atteigne pas une valeur de 18, mais qui montre que l’OR peuvent augmenter au fur et au mesurer d’une multi exposition, par exemple l’exposition au Chrome hexavalent plus le tabagisme. Mais dans cette publication la valeur est justifiée car comme expliqué dans l’article, elle est estimée par comparaison avec le groupe le moins exposé, conséquent avec des études précédentes qui montre une augmentation considérable du risque à faibles expositions. (Rapport VLEP, septembre 2009. AFSSET)

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  • cette norme mise en place était recommandé à l’origine en 1943 par le American National Standards Institute comme un niveau suffisant pour empêcher les perforations nasales chez les travailleurs exposés à du chrome mais de manière excessive. Par la suite, cette norme est restée alors qu’elle aurait du être modifié car les chiffres issus de l’étude du risque d’apparution de cancer du poumon a révélé une augmentation significative de ce risque chez les ouvriers exposés pour des niveaux d’exposition bien en dessous des normes actuelles.

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  • Déjà les valeur juste supérieures à 5,8 µg/m³ étaient considérés comme élevées, alors 52µg/m³ c’est encore très grave ou la pire comme exposition
    le Odd ratio de 20,6 est très élevé

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  • il semble clair que les enjeux économiques et les pouvoirs des industriels influencent les décisions et protégent leurs interets économique en premier lieu aux dépendants de prévention de la santé des travailleurs .La norme d’exposition de 1943 ne protége pas les travailleurs exposés contre l’apparition de cancers du poumon : cette différence est très important elle est de l’ordre d’un facteur 10 .

    il apparait que le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 élevé en comparaison des résultats obtenus avec le chlorure de vinyl et chez les fumeurs.

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  • Cette valeur dans tout les cas paraît trés élevé.

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  • La différence étant quasiment d’un facteur 10, on peut se poser des questions : comment la norme de 1943 a t’elle été mise en place, sur quels résultats ? manquerait’il un facteur de risque sur cette norme ?

    Oui, l’OR pour les cancers du poumon à la dose supérieur 5,8μg/m2 me semble élevé, si on prend celui de les résultats non révisée, en effet par exemple l’exposition au tabac passif augmente de 25-35% le risque d’un accident coronarien ce qui est exprimé par un OR de 1,3.
    il est à noter que la fourchette de l’indice de confiance est très large.

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  • Il y a un recul de l’administration face à la pression des industriels : avec même des expositions à 0,25ùg/m3 , l’on peut exclure de risque avéré de cancer pulmonaire. La norme de 1ùg/m3 devrait au moins adopotée déjà que l’EPA a détecté une augmentation sensible du nombre de cancers chez les travailleurs exposés. Rappeler que cette norme a été conçue au début sur la base de prévention des lésions nasales sans tenir compte de risque de cancer

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  • L’étude du risque d’apparition de cancers du poumon a révélé un niveau élevé de risque de cancer des poumons pour des expositions à des niveaux largement inférieures aux normes établies et en vigueur depuis 1943. Ce résultat confirme que le niveau de protection actuel des professionnels est très largement insuffisant pour un risque pourtant élevé et avéré.

    L’odds ratio, pour les cancers pour le groupe intermédiaire avec des expositions à des doses comprises entre 1,2 et 5,8μg/m3 et comparé groupe exposé aux niveaux les plus faibles<1,2μg/m3 est de 4,9, ce qui est déjà relativement fort (un odds ratio qui bien supérieur à 1 témoigne d’un excès de cas dans le groupe le plus exposé). A fortiori, l’odds ratio de 20,2 pour les cancers du poumon à la dose>5,8μg/m3, est excessivement élevée.

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  • La norme d’exposition de 52ug/m2 n’est pas aseez protectrice. Oui.

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  • Nous constatons que la norme en vigueur pour le chrome (Cr VI) (52µg/m2) est, pour une exposition moyenne, environ
    -  50 fois supérieur à la dose jugée faible,
    -  17 fois supérieur à la dose intermédiaire
    -  et 10 fois supérieur à la dose élevée.
    Cette situation montre que le risque de développer un cancer de poumon dû à une exposition au Cr VI est très élevé au sein de la population parce que la norme est vraiment trop tolérante, ce qui avantage les industriels mais expose le public en l’occurrence les ouvriers de ces industries à un grand risque de développement du cancer de poumon. C’est ce qui explique l’augmentation du risque de cancer depuis 50 ans.
    Oui le Odd ratio pour les cancers de poumon pour une dose supérieure à 5,6µg/m2 est très elevé (20,2), si on prend le cas du tabagisme passif qui augmente de 25 à 35% le risque d’un accident coronarien ce qui correspond à un Odd ratio de 1,3 (près de 16 fois inférieur).

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  • La différence nous fait penser à des situations d’exposition aigu avec de fortes doses ,or le risque d’apparition du cancer du poumon est lié à une exposition chronique donc avec des doses plutôt faibles. De même, le OR parait très élevé ,quant on sait qu’il s’agit d’une exposition chronique, ce qui est ici le cas du cancer.Un exemple serait celui d’un fumeur actif versus un fumeur passif.

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  • la différence n’est pas trop significative du moment que cette norme se trouve dans une gamme ayant un odd ratio de 4,9. cette norme est acceptable en milieu professionnel.
    ce odd ratio est très élevé puisque le risque est multiplié par 20.

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  • la norme d’exposition établie en 1943 de 52 ug/ m2 et qui est toujours en vigueur selon l’OSHA, a été établie sur la base de la toxicité aigue entrainant des perforations nasales chez les ouvriers exposes au CR
    Le cancer du poumon est dû à une exposition à long terme, exposition chronique, qui demande l’exposition à des doses faible de CR
    Prenant l’exemple du tabagisme ou l’odds ratio est beaucoup moins inferieur que l’odds ratio du cancer du poumon

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  • la norme de 52 μg / m2 :
    - Elle est fausse, basée sur une très vieille étude (sur les cas de perforations nasales) qui n’a même pas de relation avec le cancer du poumon.
    - Elle ne cadre pas avec les autres études sur le cancer du poumon (exemple : étude de ENVIRON), démontrant des risques plus élevés face à un niveau d’exposition plus faible.

    Le Odds Ratio :
    - Le ‘odds ratio’ du rapport original non publié est de 20.2 pour des doses d’exposition élevées, soit supérieur à 5,8 μg / m2, mais de seulement 6,9 dans l’étude publiée.
    - Ces résultats émettent des doutes quant à la véracité des preuves, supposant la manipulation des données pour brouiller les pistes qui rendraient la réglementation plus sévère.

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  • Le risque de cancer de Poumon est environ trois fois plus important d’après la révision de l’étude pour des expositions supérieures à la norme, il ya donc une sous estimation .

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  • La norme de 1943, et toujours en vigueur selon l’OSHA est de 52μg/m2. La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon nous inspire d’une part que les récentes découvertes et les démarches scientifiques entreprises sont constante évolution et les nouvelles méthodes d’étude sont en avance en ce qui concerne la précision des résultats que ceux de 1943.

    Cet odds ratio est très élevé puisqu’il est supérieur à 5.8µg, on a 20 fois plus de risque de développement d’un cancer du poumon. En comparaison à des situations telles que les effets du tabac qui est une pratique courante chez les ouvriers.

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  • La norme de 1943, est déterminé à partir de la toxicité aiguë, donc très élevée (52μg/m2) or le risque d’apparition de cancer du poumon survient à l’exposition chronique à des doses plus faibles. Cet odds ratio est très élevé puisqu’à une exposition à plus de 5.8µg, on a 20 fois plus de risque de développer un cancer du poumon. Par comparaison, nous pouvons prendre le risque de cancer du poumon chez les fumeurs versus celui des non fumeurs.

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  • La vieille norme a été établie en fonction des ouvriers atteints de perforations nasales, suite à exposition au chrome hexavalent. Comme dans le cas du chlorure de vinyle, il s’agit d’une évaluation sur la toxicité aigüe, alors qu’on doit considérer que les substances potentiellement cancérigènes doivent être évaluées sur des petites doses répétées et sur une longue période.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est élevé, c’est à dire qu’il y a une forte association positive entre maladie et exposition. Il est comparable au risque relatif (10 :1) d’un sujet qui fume un paquet de cigarettes par jour de développer un cancer du poumon par rapport à un non-fumeur.

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  • La norme est très en retard par rapport aux résultats de l’étude de risque d’apparition du cancer de poumon. En se basant sur des recherches qui remontent aux années 30, le seuil prescrit par la norme met en danger la santé des ouvriers exposés au chrome.
    En comparaison avec d’autres substances comme le tabac, Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 semble élevé.

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  • La différence est importante, les expositions ne sont pas les mêmes. D’un coté nous avons une exposition aiguë, c’est-à-dire une exposition de courte durée mais avec des effets immédiats, et une exposition chronique qui engendre des cancers du poumon. Cette norme est prêt de 10 fois la valeur à partir de laquelle l’exposition est considérée comme forte.
    Le odds ratio est un rapport de cote ou encore le rapport de chance, il peut sous certaines condition être une bonne approximation du risque relatif. En effet ici il est élevé, il est de 20,2 pour les cancers du poumon à la dose > 5,8. Le risque moyen d’un fumeur de développer un cancer du poumon est de 10 à 20 fois supérieur a un non –fumeur.

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  • La différence extrême entre les deux groupes de données reflète ici aussi (idem Chlorure Vinyl) une évolution claire des études de toxicité comme une prise de conscience sanitaire et scientifique. Comme indiqué dans le texte le taux initial « limite d’exposition autorisée » veillait à éviter une conséquence irréversible de perforation nasale. Cette notion d’exposition aigüe s’estompe pour mettre en évidence le risque d’exposition chronique et la conséquence finalement observée et étudiée de facteurs de cancer des poumons.
    L’odds ratio se révèle très élevé en cas d’exposition supérieure à 5,8µg/m3 en comparaison avec les facteurs de risques les plus élevés (exposition aigüe et chronique due au tabagisme, amiante) entre 1 et 5 si la comparaison est ici possible.

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  • Je pense que la norme d’exposition de 52μg/m2 établie en 1943 et toujours en vigueur selon l’OSHA, était à l’origine de l’augmentation des seuils d’exposition au cancer du poumon en milieu professionnel. Cette norme était donc non conforme.
    Je pense que l’odds ratio semble élevé (sauf erreur), aussi bien par rapport à l’ancienne publication (20,2) que celle qui revisitée (6,9).

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  • si le risque d’apparution du cancer de >5,8µg/m² est déja élevé ,bienque les 52μg/m2 appartiennent á cet intervalle,ce dernier serait bien exagéré !et je pense qu’á ce niveau on parlera plutôt de certitude.
    non compartivement á d’autre situation cette valeur tend vers la moyenne

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  • La différence entre la norme de l’OSHA 10fois supérieur au chiffres de l’étude, tout à fais normal que l’agence soit poursuivi pour revoir sa norme à la baisse.

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  • De 52 à 5,8, il y a réduction considérable du chiffre en matière d’exposition actuellement.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 vous semble-t-il élevé par comparaison à d’autres situations connues ? oui

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  • Le risque de développer un cancer du poumon pour les personnes fortement exposées (soit entre 6,2 et 65,4 µg/m3) est 20 fois plus élevé que les personnes faiblement exposées (<1,2 µg/m3).
    Pour les personnes du groupe intermédiaire (exposition entre 1,2 et 5,8 µg/m3), le risque est de 4,9 plus élevé que les personnes faiblement exposées.
    La norme proposée par OSHA en 2004 était de considérer les personnes exposées > à 1microg/m3, comme fortement exposées. Le groupe intermédiaire et une partie considérée comme faiblement exposée, dans l’étude, aurait été retenue dans les statistiques du groupe fortement exposés, aux normes demandées par OSHA : cela aurait augmenté le chiffre du risque de développer un cancer.
    En comparaison, parmi les hommes fumeurs, le risque, cumulé le long de toute la vie, de développer un cancer du poumon est de 17,2 % ; pour les femmes il est de 11,6 %. Ce risque est significativement plus bas chez les non-fumeurs : 1,3 % chez les hommes et 1,4 % chez les femmes.

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  • La norme de 1943 a été fixée en fonction de la toxicité aiguë qui entraîne des perforations nasales pour les ouvriers exposés.Elle ne faisait pas alors objet d’études profondes concernant les effets pour les expositions chroniques et sub-chroniques. Alors que le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique à des doses beaucoup plus faibles par rapport à celui de 1943. Il apparait alors que cette dose peut être qualifiée d’aberrant par rapport aux données récentes en Toxicologie qui indiquent des doses très très inférieures à celle là. Le risque relatif RR de cancer du poumon d’un fumeur est dix fois inférieur à l’OR attribué à la dose 5.8µg/m2

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  • La norme de 52µg/m3 a été établie en 1943. C’était le niveau adéquat pour prévenir les perforations nasales des travailleurs dues à l’exposition au chrome. C’est très probablement une norme établie sur base d’une toxicité aigüe alors que le risque d’apparition des cancers de poumon est inhérent à une exposition chronique.

    Par ailleurs, en vérifiant sur le site internet de l’OSHA, on peut y lire qu’à présent la limite d’exposition pour les travailleurs est une moyenne de 5 microgrammes de Cr (VI) par mètre cube d’air (5 ug/m³) pendant 8 heures. Il s’agit d’une réduction considérable par rapport à la limite précédente d’exposition admissible (PEL) de 52 ug/m³.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 était de 20,2 (Attention : 95% CI = 6,2 - 65,4). Ceci veut dire que, parmi les sujets de l’étude, le risque de développer le cancer du poumon était 20 fois plus important chez les sujets exposés que chez les sujets non exposés. Par analogie, en terme de cancer du poumon, on pourrait comparer cette situation à celle des fumeurs/non fumeurs.

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  • 1/ La norme d’exposition établie en 1943 de 52 µg/m3 pour prévenir toute perforation nasale est plutôt basée sur une toxicité aiguë alors que le risque d’apparition de cancer du poumon est associé à une toxicité chronique (faible dose mais longue durée).

    2/ Un OR de 20.2 signifie qu’une personne exposée au Cr (VI) a 20 fois plus de chance d’attrapper un cancer du poumon. Cela peut être comparé à la situation des fumeurs qui ont 20 plus de chance d’attrapper un cancer du poumon que les non fumeurs. En conclusion, cela ne me semble pas plus élevé.

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  • La différence de la norme d ’exposition est 10 fois plus élevée.le risque etait énormement sous estimé.
    plus l’odd ratio est élevé plus le rique est grand.L’exposition de 5,8mico gr\m2 corresppond à l’odd ratio de 20,2 ce qui est bien élevé en comparaison a l’exposion du tabac et risque coronien OR est 1,3

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  • Cette norme de 52µg/m² a été mise en vigueur à cause d’une exposition des ouvriers à forte dose (toxicité aiguë), ce qui se traduit par des perforations nasales. Pour les expositions à faible dose (toxicité chronique), il ya un risque de cancer de poumon.
    Le odds ratio pour le cancer du poumon à la dose supérieure à 5,8µg/m² et comparaison avec d’autres situations connues ; il est démontré que le risque d’apparition du cancer de poumon chez les fumeurs d’un paquet/j est de 10 à 20 fois plus élevé que chez les non fumeurs.

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  • La norme d’exposition en 1943 et toujours en vigueur 52 µg/m2 établie par l’OSHA.
    Cette norme a été établie sur la toxicité aiguë c’est-à-dire à un effet qui intervient immédiatement après exposition.Le cancer du poumon est lié à une exposition chronique à des doses plus faibles.Le odds ratio pour le cancer du poumon à la dose >5,8 µg/m2.Le odds ratio ou rapport de cote,s’il s’agit d’une exposition chronique, ce OR =20,2 semble très élevé pour le cancer de poumon.Comme l’exemple du tabagisme, le risque de développer un cancer de poumon pour un fumeur est de 10 à 20 fois supérieur de celui de non fumeur.

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  • La différence de chiffre dans la norme d’exposition montre que l’OSHA n’a pas actualisé ses données depuis, ceci dans le but de protéger le secteur industriel dont elle est reçois surement le gros de son financement.

    Je dirais non en tenant compte des OR des publications révisées (6,9), car il est légèrement en deçà de celui du cas du chlorure de vinyle. Mais si nous tenons compte des anciennes estimations (OR= 20), la réponse est oui le risque est très élevé.

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon a été abaissé d’un facteur divisé par 10. L’industrie a volontairement diminué la dose pour contenter le public. Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 nous semble faible par comparaison à d’autres situations connues.

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  • La norme d’exposition de 1943 toujours en vigueur (52μg/m3) est presque 10 fois supérieure à la valeur normale du niveau d’exposition considéré comme élevé (>5,8μg/m3).
    La norme de 1943, a été fixée en fonction de la toxicité aiguë, qui entraîne des perforations nasales pour les ouvriers lourdement exposés alors que le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles.
    OUI, à mon avis cette valeur semble bien élevée car le risque moyen reste inférieur à 5.8µg/m2. Par comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs d’un paquet par jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non-fumeurs.

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  • ce chiffre nous inspire une norme d’exposition très élevée par rapport aux résultats des normes sur le cancer de poumons.
    La dose > à 5,8μg/m2 est très faible par rapport à d’autres résultats connus

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  • La norme d’exposition de l’OSHA est d’un facteur dix fois plus élevés que le niveau d’exposition considéré comme élevé dans l’étude de risque. Il y a donc une forte incohérence entre la norme et le risque connu.

    En comparaison au odds ratio rencontré dans la littérature pour la benzène (cancérigène reconnu), le niveau initial de 20,2 paraît très (trop ?) important alors qu’il est plus cohérent avec la publication révisée (6,9).

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  • La différence de la norme d’exposition, établie en 1943, par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon est très grande. Cette norme est très ancienne et ne tient pas compte de l’évolution des risques d’apparition des cancers. Cela pourrait s’expliquer par l’influence des industriels qui exercent une pression sur les scientifiques dans le sens d’éviter l’évolution des normes.
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est élevé comparativement à celui du risque d’accident coronarien qui est de 1,3.

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  • La norme d’exposition ne reflète pas le réalité de la demande faite par le Syndicat Internationale des tavailleurs (OCAW) qui ont dressé une pétition que la norme actuel passe de 52 ug / m3 à 0,25 ug / m3 mesurée
    comme une moyenne pondérée dans le temps de 8 heures. Le adds radio reste une dose élevée de > 5.8 ug / m3.

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  • La norme d’exposition de 1943 se situe dans la zone d’exposition élevée. Elle serait établie à l’époque sur la base des effets aigüs et non à une exposition sur une longue période comme c’est le cas en milieu professionnel(exposition chronique à des faibles doses). Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 indiqu’il y a 20 fois plus de risque de développer un cancer du poumon.Cette situation est comparable à celle d’un fumeur de 1 paquet par jour.

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  • La différence du chiffre de la norme (52μg/m2) par rapport au chiffre de l’étude du risque de cancer (5,8μg/m2) est due à l’application d’un facteur 10 comme facteur de sécurité. Ces facteurs sont utilisés pour établir des normes afin d’éviter de fleurer de trop près des substances potentiellement dangereuses

    Oui, le OR de 6,9 à des doses > à 5,8μg/m2 nous semble élevé ; en le comparant par exemple à un OR de 1.37 dans le cas d’un risque de cancer bronchique suite à l’exposition chronique aux particules dans l’air ambiant. Toutefois, cette valeur de OR est plus faible que la valeur initiale de OR qui était de 20,2 ; ce qui montre une tentative de l’industrie de réduire la perception du risque.

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  • La différence du chiffre de la norme (52μg/m2) par rapport au chiffre de l’étude du risque de cancer (5,8μg/m2) est due à l’application d’un facteur 10 comme facteur de sécurité. Ces facteurs sont utilisés pour établir des normes afin d’éviter de fleurer de trop près des substances potentiellement dangereuses.

    Oui, le OR (6,9) à des doses > à 5,8μg/m2 nous semble élevé ; en le comparant par exemple à un OR de 1.37 dans le cas d’un risque de cancer bronchique suite à l’exposition chronique aux particules dans l’air ambiant. Toutefois, cette valeur de OR est plus faible que la valeur initiale de OR qui était de 20,2 ; ce qui montre une tentative de l’industrie de réduire la perception du risque.

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  • il faudrait caractériser le danger et rechercher une relation dose-effet avant établir des normes ;
    oui le odds ratio n’est pas élevé. En exemple le risque d’un accident coronarien est exprimé par un OR de 1,3.

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  • IL est très surprenant que des concentrations équivalentes à la norme n’aient pas été testé si on suppose que la norme est une valeur objectives où le risque est bas. Etant donné que les études réalisées ont été faites avec des concentrations plus de 10 fois inférieures, on peut supposer que les dangers de cette substance sont déjà connus pour des concentrations largement inférieures à la norme. Les odds ratio présentés sont très élevé et montrent des risques très importants lors d’expositions à de telles concentrations, bien que dix fois inférieures à la norme.

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  • La norme d’exposition toujours en vigueur est inclus dans l’exposition intermédiaire pour le risque d’apparition de cancers de poumon.Alors, il y aura toujours un risque mais seulement inférieur à l’exposition élevée.

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  • La norme établie par l’OSHA est de 52 μg/m2, ce qui est environ 10 fois supérieure au seuil d’exposition élevée donnée dans le tableau ci-dessus (5,8 μg/m2). Ainsi, les travailleurs sont continuellement et très fortement exposés au Cr(VI). On constate donc une norme décalée par rapport à la réalité et qui est bien loin de minimiser l’apparition de cancers du poumon.

    Un odds supérieur à 1 signifie un effet positif de l’exposition au Cr(VI) sur l’apparition de cancers des paumons. Or nous avons un odds de 20,2 (6,9 une fois la publication revisitée) ce qui est très supérieur à 1. Nous avons donc un risque très élevé d’apparition du cancer

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  • la différence de chiffre est énorme par rapport à la norme. 5,8 représente pratiquement le 10ième de valeur de la norme.

    le odds ratio me semble élevé si la norme reste en vigueur.

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  • La différence est que les chiffres issus de l’étude d’apparition du cancer du poumon ont été et pris en considération après révisés

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  • La norme de 52μg/m2 est bien trop élevée. L’étude montre qu’il y a déjà un risque pour 1μg/m2.
    L’Odds ratio semble trés élevé comparé à d’autre tel que peut l’être le méthylmercure par exemple (contenu dans le poisson).

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  • La norme d’exposition ne correspond pas à la dose sans effets nocifs observables qu’il conviendrait de recalculer en tenant compte des résultats de cette étude sur la toxicité chronique du chrome.
    L’odd ratio de 20,2 est très élevé, comparé à d’autres facteur de risques, tel que le radon.

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  • Cette différence est dans le but de modifier délibérément le seuil,cette même valeur est supérieure au seuil car le cancer est corrélé à l’ exposition,cette valeur est supérieure à la valeur révisée.

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  • Cette norme nous fait inspirer qu’il y a une énorme décalage entre celle de l’OSHA et de chiffres issus de l’étude. Ce décalage peut être causé par le manque de méthodologie pour étude épidémiologique de l’OSHA et aussi en fonction du temps et de circonstances. On remarque qu’au moment ou l’OSHA a établie cette norme, la constatation de l’effet carcinogène du produit n’est pas encore approuvée.
    L’odds ratio pour le cancer du poumon à cette dose est élevée par rapport à d’autres situations connues comme de 1.3 pour l’exposition au tabac passif ou le risque relatif.

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  • Ce qui concerne la première partie de question :
    La crédibilité d’OSHA et les propriétaires de l’industrie, et leur principale objectif c’est la protection de la santé humaine.
    Et ce qui concerne la deuxième partie de question :
    Les moyens de faire des études toxicologiques et épidémiologique d’avant et d’aujourd’hui ne sont pas les mêmes, il y a encore l’innovation numérique. Aussi l’état de l’environnement n’est pas pareil, chaque année la pollution progresse, alors l’homme peut exposé à beaucoup de dangerosité. D’une autre part les besoins habituelles des être humains s’augmentent en synergie avec le temps surtout après la deuxième guerre mondiale ou les nations ont changé leurs orientations idéologiques vers m’industrie et la technologie.

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon inspire la manipulation des normes antérieures établies par l’OSHA. L’industrie a biaisé les résultats à son avantage afin de ne pas s’exposer aux poursuites judiciaires, menaces de lourdes sanctions et versement des indemnités aux employés exposés à des seuils plus élevés que celui fixé par l’OSHA.
    Le odds ratio pour les cancers de poumons à la dose supérieure à 5,8 microgramme/m² n’est pas élevées par rapport aux autres situations connues mais cette dose pourrait conduire à une situation de cancer certain chez les individus exposés.

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  • La différence est que les doses sont beaucoup plus fable pour les risques d’explosion chronique de cancer de poumon dans le cas-ci.
    Par comparaison, prenons le cas d’un fumeur et de non-fumeur. Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est élevé chez le fumeur

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  • Dans l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon deux chiffres ont été utilisés (1,2μg/m2 et 5,8μg/m2). La norme de l’OSHA est près de 10 fois supérieures au deuxième chiffre, 5,8μg/m2. Cette différence peut s’expliquer soit par l’application d’un facteur de sécurité, soit par le type d’effet considéré lors de l’élaboration de la norme. En effet, selon que l’on considère les effets chroniques ou aigus, le seuil e peut être le même. De même que lorsqu’on établit la norme pour l’exposition professionnelle et celle de la population en général.

    L’odd ratio correspondant à la dose >5,8 µg est supérieur à 20. Cette, odd ratio à deux chiffre, grandeur n’est pas trop surprenant. En effet, une étude cas-témoins, réalisée en population hospitalière de cinq régions françaises, sur la relation entre antécédents d’exposition professionnelle à l’amiante et mésothéliome pleural (http://www.higieneocupacional.com.br/download/relation-dose-effet-y_ivatsubo.pdf) revèle quelque part un odd ratio d’une grandeur proche. Il y écrit : « Chez les femmes, l’odds ratio est de 18,8 (IC : 4,1 - 86,2) pour les expositions possibles et certaines. »

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  • C’est inquiétant de garder la norme de 52μg/m2 malgré les progès de la science ; Ce qui dénote de la lenteur dans la prise en compte de nouvelles découverte comme en témoigne l’arret de la cour.
    Cet OR est assez élévée car d’ordinaire on a des OR de 1,2 jusqu’à 3 environ...

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  • Il existe une augmentation significative du risque de cancer du poumon chez les ouvriers exposés au Cr(VI) pour des niveaux d’exposition bien en dessous des normes actuelles.
    Selon l’INSERM, les fibres d’amiante sont des facteurs de risque de cancer bronchique dans l’industrie textile avec un OR de 2 à 10. Ici, l’OR de 20,2 (6,9) est donc particulièrement élevé.

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  • La norme de 1943 fait référence à une exposition aiguë. Elle n’est donc pas adaptée au contexte du milieu professionnel et aux effets chroniques qui en résultent.
    Le odds ratio pour la dose > 5,8 µg/m² est de 20. Il est très élevé. Pour comparaison, celui pour les cancers du poumon chez les fumeurs est de l’environ 10.

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  • La norme de 52 μg/m2 correspond à un risque d’exposition aiguë. Il y avait une méconnaissance d’une possible émergence de pathologie à long terme liée à une exposition chronique au toxique.
    On peut comparer ce risque avec celui d’être touché par un cancer des poumons à celui du fumeur qui est 10 à 20 fois plus élevé que chez les non fumeurs.

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  • La norme d’exposition, établie en 1943, et toujours en vigueur selon l’OSHA est de 52μg/m2 et alors que le risque développer un cancer du poumon pour des expositions élevées est de 5,8ug/m2 par comparaison, nous pouvons dire que la différence est énorme et que le chiffre 5,8ug/m2 présente un risque très élevé de développer un cancer du poumon
    Par comparaison, le risque de développer un cancer du poumon chez un fumeur et e 10 à 15 fois plus élevé que chez le non-fumeur

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  • En 1943, les outils épidémiologiques n’étaient pas assez développés. La norme établie à l’époque est donc basée sur des effets aiguës,immédiats,alors que la dose minimale pour développer un cancer de poumon est basée sur des effets chroniques, qui agit à faible dose sur le long terme. C’est la seule explication que je vois, qui puisse justifier la trop grande différence entre les chiffres.

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  • La différence est élevée car la norme de 1943 a été fixée en fonction de la toxicité aiguë,qui entraîne des perforations pour les ouvriers lourdement exposés alors que le risque de cancer du poumon concerne l’exposition à la dose supérieur à 5,8mg /m2 me semble être élevé. Par comparaison pour le risque de cancers du poumon,celui des fumeurs d’un paquet par jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non fumeurs.

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  • A mon avis, la différence des chiffres de l’étude, supérieurs chiffres en vigueur témoigne du dépassement de ce chiffre et appelle ainsi une actualisation car, depuis 1943, plusieurs technologies ont apparus et portent atteinte à l’environnement.
    Aujourd’hui, ce chiffre semble être dépassé et n’est pas élevé ; quand on se rapporte aux chiffre contenus dans le tableau, on constate que ce chiffre en vigueur est moins fort par rapport à la réalité actuelle.

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  • la différence montre qu’il y eu biais.

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  • Il est difficilement concevable de voir que les normes en vigueur selon l’OSHA (52μg/m2) soit plus de dix fois la valeur déjà considérée comme dangereuse pour la santé (environ 5,8μg/m2). Il est probable que les efforts de l’industrie pour minimiser la dangerosité du Cr VI y soit pour quelque chose.
    Le odds ration étant bien supérieur à 1 (6,9 ou 20,2 selon les différentes études), il me semble donc élevé par rapport à d’autres situation où celui-ci serait dans les normes (cad de 1,00).

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  • La norme d’exposition, établie en 1943, et toujours en vigueur selon l’OSHA est de 52μg/m2. Que vous inspire la différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon ?

    La norme d’exposition toujours en vigueur depuis 1943, et toujours en vigueur selon l’OSHA, est de 52μg/m3 ce qui représente une valeur 10 fois supérieure à celle >5,8μg/m3 qui est un niveau d’exposition considéré comme élevé. De plus, durant 1943 le taux à été fixé en fonction de la toxicité aiguë. Cette toxicité a eu pour conséquence des perforations nasales pour des ouvriers extrêmement exposés. Les expositions chroniques ont pour conséquence le risque du cancer du poumon.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 vous semble-t-il élevé par comparaison à d’autres situations connues ?

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 me semble élevé mais comparable à d’autres situations connues tel que le tabac. Le risque de développer un cancer du poumon chez un fumeur occasionnel est entre 15 et 20 fois plus élevé que celui d’un non fumeur. Cependant, l’OR à la dose > à 5,8μg/m2 est très élevé, soit un risque relatif de 6,9 de développer le cancer.

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  • La dose est énorme par rapport à l’étude qui montre un risque de cancer plus élevé pour des doses bien plus faible (<5.8 ug/m3).En 1943, c’était la dose pour ne pas provoquer une perforation nasale mais la cancerogenicité n’avait pas été étudiée.
    L’Odds ratio de 20.2 est très très élevé, par exemple les PM10 et cancer bronchique il est de 3.4

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  • Le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles.Si on se base sur les chiffres officiels de 52µg/m2, il se dégage directement que la prévalence du cancer de poumon sera de 7 à 20 fois plus élevée dans les décennies à venir. Par principe de précaution, la dose >à 5,8µg/m2 peut etre élevée. On constate que la différence est énorme. En vue de l’obtention d’un élément indiciel comparatif pour le risque de cancers pulmonaires, le risque des fumeurs (tabagisme actif) d’un paquet.jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non fumeurs.

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  • - la multi provenance des chiffres pose un problème de validité des résultats
    - Une étude biaisée ne permet pas d’avoir des résultats fiables

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  • La norme ou la limite d’exposition admissible (PEL) de 52 μg / m3 de l’agence a été initialement recommandée en 1943 par l’American National Standards Institute en tant que niveau adéquat pour prévenir les perforations nasales chez les ouvriers exposés au chrome. En effet, il existe des preuves claires que l’exposition à ce niveau de PEL peut entraîner un excès de risque de cancer du poumon. Donc, un niveau plus faible, on pourra s’attendre à l’apparition de cancers du poumon.

    Le Odds ratio pour les cancers du poumon à la dose >à 5.8 mg/m3 (6.9) est marginalement bas par rapport au cas du tabagisme (le risque d’un fumeur à avoir le cancers de poumons est entre 7.9 à 19.6 que les non-fumeur). Pour plus de lecture sur ce sujet cf. A. Taytard, 2012, " cancer bronchique à petites cellules".

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  • La norme d’exposition éstimée à 52μg/m2, réste énorme par rapport au risque du cancer du poumon due à l’exposition au chrome, malgré que l’union international des travailleurs protestent la baisser de la norme à 0,25 μg/m3

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  • la différence est très élevé et ça peut entraîner une augmentation de risque de cancer de poumon.
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est trés élevé en comparaison avec des fumeur massif ou personnes exposé au PM 2.5

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  • Dans le résultat, le risque est élevé à partir de >5,8μg/m2, soit plus de 9 fois le seuil de risque de 52μg/m2. On a donc une surexposition au cancer du poumon à une dose très élevée. Oui cette situation est très élevée par rapport à d’autres situations connues.

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  • On peut supposer qu’il y ai un risque de cancer du poumon dès lors où il y a exposition chronique et qu’ainsi il y a un risque à des doses plus faibles que celles fixées par la norme de 1943.

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  • Il y a une contradiction entre la norme d exposition établie par l OSHA et les résultats sur le tableau (ceux de la publication révisée) cette contradiction peut s expliquer par, ou bien l industrie falsifient les donnés, ou bien la valeur établies en 1943 par l OSHA est exagérée mais d après ce qu’on vient de voir plus haut c est la première hypothèse qui est exacte (adaptation des résultats pour l industrie) Pour certains composé leur odds ratio est plus élevée.

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  • La norme d’exposition (52 µg/m2) est environ 10fois supérieure à 5,8 µg/m2 seuil à partir du quelle, l’exposition est jugée élevée.
    Concernant odds ratio, lui est 20 fois supérieur par rapport aux non fumeurs.

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  • Non cela ne nous semble pas élever car la cancer du poumon se traduit par une exposition chronique

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  • La différence par rapport à l’étude du risque d’apparition du cancer résulte du fait que la norme établie en 1943 faisait référence à l’intoxication aiguë, alors que le cancer est une maladie chronique (donc peut être une exposition sur le temps, à faible dose).

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  • le risque d’atteindre le cancer poumon lie au chrome est significatif meme a un taux au dessous de 5ug/m2

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  • je passe cette, elle me parait difficile

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  • D’un coté, le poids de l’industrie peut nous aider à comprendre telle maintien de la norme d’exposition. C’est -à-dire, le fait de financer des études inconclusifs sur la relation entre l’exposition et l’apparition de cancers du poumoun. D’autre cote, en continuation aux études inconclusifs, la norme ne changera que s’il y a des études que montrent la casualité entre les seuils d’exposition et l’apparition des cancers du poumon.

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  • D’un coté, le poids de l’industrie peut nous aider à comprendre telle maintien de la norme d’exposition. C’est -à-dire, le fait de financer des études inconclusifs sur la relation entre l’exposition et l’apparition de cancers du poumoun. D’autre cote, en continuation aux études inconclusifs, la norme ne changera que s’il y a des études que montrent la casualité entre les seuils d’exposition et l’apparition des cancers du poumon.

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  • La norme actuelle en vigueur compte tenu de l’étude de risque qui montre un toxicité significative à exposition dite intermédiaire ou élévée à des niveaux 10 fois inférieurs à ceux de la norme représente un risque pour les populations et plus particulièrement les populations vulnérables liées notamment à l’exposition professionnelle au chrome. Ce sujet m’inspire une prise de risque des autorités sur la foi des études ou lobby industriels qui ont fournis des études subjectives. par ailleurs en matière de temporalité, une norme actuellement en vigueur et établie en 1943 pose la question immédiate de sa crédibilité d’autant plus que des sources chiffrées du risque ont été de nouveau proposées.

    par ailleurs en rapport à d’autre exposition, les chiffres proposés en exposition à source élevé sont similaires à des chiffres de toxicité retrouvé par exemple pour l’amiante mais inférieur à ceux du tabac actif. En somme l’OR montre une majoration du risque qui laisse supposé un problème d’exposition important de la population et une élément de préoccupation en matière de santé publique.

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  • La norme d’exposition de 52μg/m2 semble très élevée par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon. En sachant que l’odds ratio est de 20,2 pour des expositions à des niveaux supérieurs à 5,8μg/m2, on peut supposer que que la norme d’exposition actuellement en vigueur ne permet pas la protection des personnes exposées.

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  • - La norme d’exposition, établie en 1943 et toujours en vigueur selon l’OSHA qui est de 52 ug/m2 était établie pour les toxicités sévères ou graves. Cependant, des nouveaux travaux ont montré que le cancer de poumon aigu peut survenir à des faibles doses.

    - Par comparaison à d’autres situations connues, le cas de l’apparition du cancer de poumon chez les fumeurs.

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  • Ce qui est bon a savoir avant tout la règlementation des normes de 1943 n’est pas une fin en soi mais
    car elle n’empêche pas l’apparition du cancer du poumon car ce mal être peut être lié au facteur temps c’est à dire que Le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique qui se déclencher à des doses plus faibles.

    Oui nous pouvons dire que le odd ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 comparaison à d’autres situations connues est élevé.

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  • Exposition au Cr(VI) est de de 52μg/m² ce qui est très levé à la moyenne considérée par l’évaluation du risque de cancer du poumon qui est estimée à (>5,8μg/m2). ceci représente un grand danger

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  • Exposition au Cr(VI) est de 52μg/m² ce qui est très supérieur par rapport aux (>5,8μg/m2) estimé par l :élévation du risque de cancer du poumon. ceci représente un danger

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  • Exposition au Cr(VI) est de 52μg/m² ce qui est très supérieur par rapport aux (>5,8μg/m2) estimé par l :élévation du risque de cancer du poumon. ceci représente un danger

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  • Exposition au Cr(VI) est de 52μg/m² ce qui est très supérieur par rapport aux (>5,8μg/m2) estimé par l :élévation du risque de cancer du poumon. ceci représente un danger

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  • Le terme sous dimensionner veut dire qu’ils n’ont pas donné les vrais résultats de l’étude, leurs études est mené de manière insuffisante afin de réduire les vrai effets de Cr(VI), réduction de a gravité de de la substance et protéger leurs intérêts industriels.
    Le paramètre important est la séparation des données de plus que ils n’ont pas fourni à temps les résultats à l’organisme compétent (l’OSHA)
    La conséquence principale est sur la vie de ouvriers et les exposé a cette substance Cr(VI), des vies humaines qui sont en danger ;

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  • Le Cr (VI) a été classé comme cancérogène pour l’homme par le programme national de toxicologie, la norme de 52μg/m2 est très élevés, En 1993, a demandé à l’OSHA de réduire son PEL du niveau actuel de 52 µg / m3 à 0,25 µg / m3, mesurée en moyenne pondérée dans le temps sur 8 heures, ce que veut dire que 0,25 µg / m3 est acceptable pour une exposition chronique, donc le Cr (VI) peut apparaitre même a des exposition très faible 208 fois plus faible que 52 µg / m3

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  • Par rapport aux populations soumise au risque, les apparition de cancers du poumon durant une durée donnée, le mode de vie, l’environnement.

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  • Cela m’inspire la mise en question de la fiabilité des résultats des recherches scientifiques.

    Au fait, il y a disparité par rapport a la manipulation de certains financeurs de recherches.

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  • La norme d’exposition (52μg/m2)établie par l’OSHA en 1943, concerne l’exposition dont le risque est très élevé.
    Pour le cancer du poumon, cette dosene semble pas trop élevé, mais justifie le fait que le cancer du poumon peut se manifester à des doses beaucoup plus faibles par rapport a d’autres situation.

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  • La différence nous inspire que la norme est fixée pour des cas de toxicité sévère chez les ouvriers.
    Le risque de cancer de poumon prends en compte les expositions chroniques.

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  • Cette différence montre que la norme d’exposition de 1943 n’a pas été fixée selon les mêmes modalités que l’étude du risque d’apparition de cancers de poumon. Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose> à 5,8µg/m2 ne me semble pas élevé par rapport à d’autres situations connues.

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  • Les normes d’exposition sont établies en 1943 pour limiter le niveau de toxicité aigüe pouvant entrainer des conséquences pour la santé. Cependant, les normes d’exposition varient en fonction des maladies. Le ratio 52μg/m2 est la valeur maximale pouvant entrainer des perforations nasales. Par contre, l’apparition du cancer de poumon se fait dans le long terme nécessitant une exposition chronique et donc nécessairement moins élevé d’où la norme 5.2 μg/m2.
    Ce ratio de 5.2 μg/m2 est bien évidemment élevé si l’on se refaire au rapport soumis par ENVIRON à l’IHF (Industrial Health Foundation) en septembre 2002. Dans ce rapport les auteurs démontrent un risque élevé de mortalité par cancer du poumon associé à exposition au Cr (VI) dans les nouvelles installations à faible exposition c’et-à-dire 1ug/m2

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  • Les normes d’exposition sont établies en 1943 pour limiter le niveau de toxicité aigüe pouvant entrainer des conséquences pour la santé. Cependant, les normes d’exposition varient en fonction des maladies. Le ratio 52μg/m2 est la valeur maximale pouvant entrainer des perforations nasales. Par contre, l’apparition du cancer de poumon se fait dans le long terme nécessitant une exposition chronique et donc nécessairement moins élevé d’où la norme 5.2 μg/m2.
    Ce ratio de 5.2 μg/m2 est bien évidemment élevé si l’on se refaire au rapport soumis par ENVIRON à l’IHF (Industrial Health Foundation) en septembre 2002. Dans ce rapport les auteurs démontrent un risque élevé de mortalité par cancer du poumon associé à exposition au Cr (VI) dans les nouvelles installations à faible exposition c’et-à-dire 1ug/m2

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  • La norme d’exposition établi en 1943 (absence de technologie pour détection des maladies) est mise en place pour des toxicités sévères (les perforations nasales des travailleurs exposés au chrome avec un niveau très élevé), alors que des études récentes montrent que le cancer des poumons (cas chronique) apparaît à des doses plus faibles.
    On compare se cas avec le cas des fumeurs et l’apparition de cancer des poumons.

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  • (1)La norme d’exposition,établie en1943, est toujours en vigueur selon l’OSHA est de 52μg/m2. La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon, me conduit à poser un certain nombre de questions, et plus particulièrement, qui est-ce qui engendre la stabilité de ce consensus scientifique, et ce processus fixe ?. Après consultation du site de l’OSHA, j’ai compris que cette valeur, est attribuée en fonction de chaque période et le paramètre de pondération de cette fonction est le degré de la toxicité aiguë, qui endommage les cellules respiratoires nasales, pour les employés-ouvriers les plus démunis, c’est à dire, les plus exposés au danger. L"exposition permanente, dire-je même, chronique entraine et augmente les risques de développer un cancer du poumon. Si je tiens compte du degré d’exposition, qui ne peut pas rester toujours au seuil, c’est à dire, au maximum ; le risque de développer un cancer de poumon est atténuer. je remarque qu’il y a une relation proportionnel entre l’exposition au danger, et la capacité de développer le cancer du poumon.(2) Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 me semble élevé par comparaison à d’autres situations connues. Pour être bien concis, je prends pour le simple exemple, le fumeur positif ( personne en addiction) et le fumeur négatif ( personne normale, considérée comme fumeur négatif parce que de loin ou de prêt, elle est impliquée dans l’assimilation de la substance par voie nasale). Le processus entre la substance cancérigène pour chacun deux cas est différentes, en terme de dommages, de dangers et de risque de développer un cancer du poumon. Dont le premier cas, est considéré comme étant plus exposé et donc, des perforations nasales importantes et une toxicité aiguë, alors que pour le deuxième cas le facteur de pondération( exposition au danger) diminue, et les risques collatéraux diminues avec. le risque augmente, avec l’augmentation de l’exposition au danger.

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  • La norme de 1943, ne se base que sur une toxicité lourde et des ouvriers fortement exposés, ici perforation nasale. Cependant l’exposition répétée à plus faible dose provoque des risque de cancer du poumon. Cette norme est très élevée car cela signifie que les ouvriers ont 20 fois plus de chance de développer un cancer du poumon. Néanmoins, un fumeur d’un paquet par jour a aussi 20 fois plus de risque de développer un cancer qu’un non fumeur.

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon nous inspire que les démarches scientifiques entreprises et les récentes découvertes et nouvelles méthodes sont en avance par rapport à la précision des résultats de ceux de 1943.
    Oui, par comparaison à d’autres cas cités n’atteignant pas une valeur de 18, le odds de ratio peut augmenter au fur et à mesure d’une multi exposition.

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  • Cette différence m’inspire que le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles. Or auparavant en 1943, les études concernaient une exposition aigue. Et avec l’augmentation du risque d’apparition de cancers du poumon au fil des années les experts auraient ont fait des révisions de l’étude et on redéfinit la norme. Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 ne semble pas élevé par comparaison à d’autres situations connues

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  • La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon montre que la norme de 1943, a été fixée en fonction de la toxicité aiguë de cette époque alors que le risque de cancer du poumon est dû à l’exposition chronique qui apparaît à des doses plus faibles.

    Les odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 me semble élevé par comparaison à d’autre situation comme celle de l’exposition des fumeur passif.

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  • Le norme d’exposition de 1943 a été établit dans des zones ou la toxicité a été très élevé. Tans ce cas la dose faible peut être à la base de cancer par l’exposition chronique.

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  • l’etude revisé montre qu’il ya danger a des doses inferieur au seuil toujours en vigueur.

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  • a des doses beaucoup plus faibles provoque Le risque de cancer du poumon
    2 oui

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  • Une exposition au Cr VI est considérée comme élevée lorsqu’elle atteint plus de 5,8 µg/m², alors que la norme d’exposition en vigueur selon l’OSHA est de 52 µg/m². Nous pouvons donc constater qu’il existe un facteur 10 entre les chiffres de l’étude et la norme, ce qui est énorme et alarmant. Cette différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon doit soulever un enjeu économique pour l’industrie. Le risque d’apparition de cancer du poumon a longtemps été sous estimé.
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose supérieure à 5,8 µg/m² est de compris entre 6 ,2 et 65,4, ce qui est très élevée comparé à des expositions telles que la consommation de tabac.

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  • La norme de 52μg/m2 ne concerne que les effets aigus. Il faudrait donc l’abaisser considérablement afin de prendre en compte les effets chroniques à moyen et long terme.

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  • La norme d’exposition est presque 10 fois supérieure à celle établie par l’étude du risque d’apparition du cancer du poumon. Cette différence peut en partie être expliquée par le fait que la norme de 1943, est déterminé à partir de la toxicité aiguë, donc très élevée (52μg/m2) et que le risque d’apparition de cancer du poumon survient à l’exposition chronique à des doses plus faibles.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est élevé comparativement à d’autres situations connues, le cas par exemple d’apparition du cancer de poumon chez les fumeurs.

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  • ERREUR PRÉCÉDEMMENT.
    (vraie réponse à la question 1/ sur le sous-dimensionnement :

    Le sous-dimensionnement concerne l’importance du champ d’étude pris en compte. Si l’étude est effectuée a minima, elle sera moins représentative. L’intervalle de confiance des résultats ne sera donc pas le même. On ne peut pas réellement se fier à une étude où l’intervalle de confiance est mauvais. )

    Réponse question 2/ :

    Entre la norme d’exposition de 52μg/m2 établie en 1943 et toujours en vigueur selon l’OSHA, et les chiffres issus de l’étude sur le risque d’apparition de cancers du poumon, il y a une grande différence.

    La norme de l’OSHA reste très faible par rapport aux constats issus de l’étude de cohorte de quatre usines. Le risque associé à une exposition au Cr(VI) et notamment l’odds ratio de mortalité par cancer du poumon chez les travailleurs montre que, même le groupe ayant une exposition intermédiaire était exagérément exposé par rapport à la limite maximale d’exposition permise de 1 ug/m3 proposée par l’OSHA en 2004. Cela implique un risque élevé de cancer du poumon.
    Toutefois, c’est la prise en compte de l’exposition chronique et non de la toxicité aiguë qui change les résultats et qui fait donc varier les normes.

    L’odds ratio semble élevé. On peut comparer avec la situation des fumeurs/non fumeurs

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  • l’etude revisé montre qu’il ya danger a des doses inferieur au seuil toujours en vigueur.

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  • La norme de 1943 a été fixée en fonction de la toxicité aiguë, qui entraîne des perforations nasales pour les travailleurs fortement exposés, alors que des études récentes montrent que le cancer des poumons (cas chronique) apparait à des doses plus faibles. Pour avoir un élément de comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs d’un paquet par jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non-fumeurs.

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  • la dose de 52 ug/m3 a été initialement recommandée comme un niveau adéquat pour prévenir les perforations nasales chez les travailleurs exposés au chrome. tandis que le risque de cancer vient de s’exprimer malgré la limite d’exposition autorisé.
    L’ odds-ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 me semble très élevé de 20 fois plus par comparaison à d’autres situations connues (il est de 1 dans les faibles expositions et de 20 à forte exposition)

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  • La norme de 1943 est déterminé a partir de la toxicité aiguë.
    le risque d’apparition du cancer poumon est du a une exposition chronique, avec des doses très faibles.
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est élevé comparativement à d’autres situations connues (le cas d’apparition du cancer de poumon chez les fumeurs).

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  • L’exposition élevée au Cr est (>5,8μg/m2) dans cette étude, et en comparaison à la norme d’exposition établie en 1943 qui est de 52ug/m2, on constate que c’est très faible comme concentration, je pense que puisque cette norme supérieure à 5,8ug/m2 est établie dans le but de diminuer le seuil d’exposition en milieu professionnel donc c’est une norme qui concerne l’exposition chronique, et celle de 52ug/m2 concerne l’exposition aigue au Cr.
    Il me semble pas que l’Odds ratio est si significatif pour avoir un risque accru et considérable de développer un cancer de poumon, d’autres situations d’expositions à d’autres facteurs de risque peuvent engendrer un risque plus considérable.

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  • on remarque que la norme d’exposition, établie en 1943, et toujours en vigueur selon l’OSHA est de 52μg/m2 est très élevé par rapport au chiffre issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon qui est > à 5,8μg/m2 la seule prise en compte de la toxicité aiguë dans la norme en 1943

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  • Cette norme fixée en 1943 ; en fonction du degré de toxicité aiguë, qui entraîne des perforation nasales pour les ouvriers lourdement exposés. Le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles.

    Pour avoir un élément de comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs d’un paquet. jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non fumeurs.

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  • cette norme ne prend pas en compte les publications recentes alors que l’odds ration pour le cancer du poumon est elevé pour des expositions beaucoup plus faibles

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  • La norme de 52µg/m² me semble énorme par rapport aux bornes du tableau, estimant qu’au dessus de 5,8µg/m² on est dans le cas d’une exposition elevée.

    20,2 me semble être un Odds ration très élevé !

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  • Si 52μg/m2 est aujourd’hui considéré une norme d’exposition au CR, cela signifierait qu’il s’agit de la limite d’exposition au-dessous de la quelle on ne rencontre pas de dommages. Or, selon l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon, seulement les expositions inférieures à <1,2μg/m2 sont considérés ayant un odds ratio 1(c’est-à-dire qu’au-dessous de cette dose, l’exposition à la substance n’influence pas une augmentation du risque de survenue du cancer). Cela m’inspire ainsi une sous-évaluation du risque de la part de la norme d’exposition de l’OSHA. En partant du postulat que si la valeur des OR est supérieure à 1, le facteur analysé peut représenter un risque, les odds ratio pour la dose de CR > 52μg/m2 (20,2) me semblent très élevées. Si on compare cela à un autre exemple, par exemple, au tabac, nous nous rendons compte de la sensibilité de ce paramètre : l’exposition au tabac passif augmente le risque d’un accident coronarien de 25 – 35%, ce qui exprimé par un OR de 1,3 ; nous pouvons affirmer que le OR 20,2 représente dans cette étude un lien de probabilité très fort entre l’exposition à la substance et la survenue du cancer

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  • Cette norme fixée en 1943 ; en fonction du degré de toxicité aiguë, qui entraîne des perforation nasales pour les ouvriers lourdement exposés. Le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique (apparaît à des doses beaucoup plus faibles).
    Pour avoir un élément de comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs d’un paquet. jour est de 10-20 fois supérieur à celui des non fumeurs.

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  • La norme d’exposition est bien supérieure à la limite d’exposition démontrée dans l’étude (<1,2 µg/m2). Alors on se demande pourquoi cette norme est si élevée ? Soit les résultats ont été intentionnellement omis, soit ils ne servaient pas les intérêts des sponsors à prendre en compte.
    L’incidence du cancer du poumon à des doses >5,8μg/m2 me semble élevée par rapport aux résultats obtenus avec le chlorure de vinyle.

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  • L’exposition à une dose de 5,2μg/m2 est qualifiée d’intermédiaire selon le tableau joint et l’Odds ration qui y correspond est de 4,9. On sait que l’Odds ration est relativement proche du risque relatif, ce qui fait qu’une telle exposition peut à court terme provoquer des effets néfastes. Le cancer pulmonaire apparaît à long terme(exposition chronique) et pour des doses beaucoup moins faibles.
    Pour une exposition > à 5,8μg/m2 au Chrome hexavalent l’Odds ration est de 20,2 ce qui exprime un risque important de développer un cancer pulmonaire ; et qui reste proche du risque qu’encourt un fumeur de développer un cancer bronchique par rapport à un non fumeur.

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  • La forte disparité est due au fait que la norme de 1943 était établie en fonction de la toxicité aiguë, conduisant à la perforation chez les travailleurs fortement exposés, alors que le risque de cancer du poumon lié à l’exposition était supérieur à 5,8mg/m2 me parait élevé.
    Comparé au risque de cancer du poumon celui d’un fumeur d’un paquet/jour est 10 à 20 fois plus élevé que celui d’un non-fumeur.

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  • La norme de 1943 est déterminé a partir de la toxicité aiguë qui entraîne des perforations nasales chez les ouvriers exposés. le risque d’apparition du cancer poumon est du a une exposition chronique, avec des doses très faibles.
    Pour avoir un élément de comparaison pour le risque de cancers du poumon, celui des fumeurs à celui des non fumeurs.

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  • La norme de 1943 était basée sur la toxicité aiguë qui provoquerait une perforation des narines chez les travailleurs exposés. Le risque de cancer du poumon est associé à une exposition prolongée à des doses beaucoup plus faibles. Comparer le risque de cancer du poumon chez les fumeurs et les non-fumeurs.

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  • La norme d’exposition établie en 1943 a été fixée en fonction de la toxicité. La différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon est due au fait que le risque de cancer du poumon apparaît à des doses beaucoup plus faibles et es procédés et démarches scientifiques sont en perpétuelle évolution .
    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 est relativement élevé par rapport à d’autres situations.

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  • la différence par rapport aux chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon est
    liée au degrés de toxicité et d’exposition. la norme de 1943 est fixée en fonction de la toxicité à laquelle les ouvriers étaient exposés.

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  • La norme semble relativement élevée par rapport aux chiffres issus de l’étude sur le risque de cancers du poumon lié à l’exposition au chrome hexavalent.
    et pour le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 vous semble-t-il élevé par comparaison à d’autres situations connues ? oui , l’odds ratio de 20,2 pour les doses supérieures à 5,8μg/m2 est considéré comme élevé par rapport à d’autres situations connues.

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  • La norme d’exposition actuelle de l’OSHA pour le chrome hexavalent, établie en 1943, est de 52 μg/m3. Cependant, elle avait montré comme insuffisante pour protéger les ouvriers contre les risques de cancer du poumon associés à l’exposition au chrome hexavalent. Dans une analyse, le rapport de cotes de mortalité par cancer du poumon parmi les ouvriers ayant l’exposition annuelle la plus élevée (≥ 5,8 ug/m3) était de 20,2 (IC à 95 % = 6,2 à 65,4), par rapport au groupe le plus faiblement exposé (< 1,2 ug/m3). Pour le groupe d’exposition intermédiaire (1,2 ug/m3 – < 5,8 ug/m3), l’odds ratio était de 4,9 (IC à 95 % = 1,5 – 16,0), également par rapport au groupe d’exposition le plus faible. Ainsi, le groupe intermédiaire comprend une exposition à des niveaux à peine supérieurs à la limite d’exposition admissible de 1 ug/m3 proposée par l’OSHA en 2004, et présente un risque élevé de cancer du poumon à ce niveau. Toutes ces données impliquent la nécessité d’une révision de la norme d’exposition actuelle de l’OSHA pour le chrome hexavalent afin de mieux protéger les travailleurs contre les risques de cancer du poumon associés à cette substance.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m3 est considéré très élevé par rapport à d’autres situations connues (4 fois plus élevé par rapport à celui du niveau intermédiaire), il suggère une forte relation entre l’exposition au chrome hexavalent à des niveaux élevés et le risque de cancer du poumon. En outre, il implique l’importance et la gravité des risques pour la santé associés à des niveaux d’exposition élevés puis renforce la nécessité de mesures de protection adéquates pour les ouvriers qui ont été exposés à cette substance.

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  • La norme d’exposition actuelle de l’OSHA pour le chrome hexavalent, établie en 1943, est de 52 μg/m3. Cependant, elle avait montré comme insuffisante pour protéger les ouvriers contre les risques de cancer du poumon associés à l’exposition au chrome hexavalent. Dans une analyse, le rapport de cotes de mortalité par cancer du poumon parmi les ouvriers ayant l’exposition annuelle la plus élevée (≥ 5,8 ug/m3) était de 20,2 (IC à 95 % = 6,2 à 65,4), par rapport au groupe le plus faiblement exposé (< 1,2 ug/m3). Pour le groupe d’exposition intermédiaire (1,2 ug/m3 – < 5,8 ug/m3), l’odds ratio était de 4,9 (IC à 95 % = 1,5 – 16,0), également par rapport au groupe d’exposition le plus faible. Ainsi, le groupe intermédiaire comprend une exposition à des niveaux à peine supérieurs à la limite d’exposition admissible de 1 ug/m3 proposée par l’OSHA en 2004, et présente un risque élevé de cancer du poumon à ce niveau. Toutes ces données impliquent la nécessité d’une révision de la norme d’exposition actuelle de l’OSHA pour le chrome hexavalent afin de mieux protéger les travailleurs contre les risques de cancer du poumon associés à cette substance.

    Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m3 est considéré très élevé par rapport à d’autres situations connues (4 fois plus élevé par rapport à celui du niveau intermédiaire), il suggère une forte relation entre l’exposition au chrome hexavalent à des niveaux élevés et le risque de cancer du poumon. En outre, il implique l’importance et la gravité des risques pour la santé associés à des niveaux d’exposition élevés puis renforce la nécessité de mesures de protection adéquates pour les ouvriers qui ont été exposés à cette substance.

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  • Les chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancers du poumon nous montrent que la norme d’exposition de 52 µ g/m 3 est bien au-delà d’un risque d’exposition raisonnable pour les travailleurs. Odd ratio supérieur à 1 dès une exposition faible del’ordre de <1,2μg/m2
    Le odd ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 me semble particulièrement élevé.

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  • La norme d’exposition actuelle au chromate de chrome hexavalent (Cr(VI)) est de 52 μg/m3, établie en 1943. Cependant, l’étude révèle des risques de cancer du poumon à des doses aussi basses que 5,8 μg/m3, bien en dessous de cette norme. Cela suggère que la norme actuelle peut ne pas être assez protectrice.
    L’odds ratio élevé de 20,2 pour les doses supérieures à 5,8 μg/m3 signifie un risque considérablement accru de cancer du poumon. En comparaison avec d’autres situations, cela indique une forte association entre l’exposition au Cr(VI) et le risque de cancer du poumon. En résumé, les niveaux actuels d’exposition semblent poser des risques importants pour la santé, justifiant une réévaluation de la norme pour mieux protéger les travailleurs.

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  • la norme d’exposition établie en 1943, qui est toujours en vigueur selon l’OSHA qui est de 52μg/m2, est une valeur élevée par rapport a celle donnés par d’autres études du risque de développement d’un cancer du poumon.

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  • La très forte différence (facteur 10) entre la norme d’exposition au Cr VI établie en 1943 (52μg/m2) et les chiffres issus de l’étude du risque d’apparition de cancer du poumon (> à 5,8μg/m2) démontre la seule prise en compte de la toxicité aiguë dans la norme en 1943.
    Cet odds ratio est très élevé puisqu’il signifie que si l’on est exposé à plus de 5.8µg, on a 20 fois plus de risque de développer un cancer du poumon. Cette situation est comparable à celle du tabac (fumeur de 1 paquet par jour).

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  • Il est stupéfiant de constater que les normes établies par l’OSHA (52 μg/m2) sont dix fois plus élevées que la valeur déjà considérée comme nocive pour la santé, soit environ 5,8 μg/m2. Il est possible que les efforts de l’industrie visant à minimiser la dangerosité du Cr VI aient contribué à cette disparité. Avec un rapport de cotes bien supérieur à 1 (6,9 ou 20,2 selon les différentes études), ces chiffres me semblent extrêmement élevés.

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  • La norme d’exposition de 52μg/m2 établie en 1943 par l’OSHA peut sembler obsolète à la lumière des études actuelles sur le risque de cancers du poumon. Un odds ratio élevé (>5,8μg/m2) suggère une association significative entre l’exposition et le risque de cancer du poumon,mais la comparaison avec d’autre situations dépend de la spécificité de l’étude et des contextes particuliers.

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  • La norme de 52 µg/m² semble inadapté en regard du risque de cancer qui survient à des doses beaucoup plus faibles. Les OR sont déja très importants à partir de la dose de 5,8µg/m².

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  • La différence entre les deux norme réside dans l’étude la norme de 1943 qui se basée sur la toxicité aiguë et la dernière repose sur une exposition chronique.

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