Toxicité chronique exprimée par un REL (ou ERU) plutôt qu’un MRL

La voie orale est plus efficace, d’où un excès risque unitaire correspondant à une concentration plus élevée pour l’inhalation, extrapolée à partir d’expériences d’exposition alimentaire. L’ERU correspond à une VTR sans effet de seuil, ce qui a été obtenu à partir d’études toxicologiques animales d’induction de tumeurs (en l’occurrence hépatiques pour la TCDD).

L’OEHHA préconise pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation et un ERU de 10-5 par μg/kg/j pour une exposition alimentaire. Commentez cette différence et donnez la signification du terme ERU (ou REL en anglais).

154 Messages de forum

  • La toxicité de la 2,3,7,8-TCDD exprimée par un ERU ou REL est 4 fois plus toxique par voie respiratoire que par voie orale. Cette différence peut s’expliquer par la volatilité de ce composé et surtout par le volume de gaz échangé par les voies respiratoires.
    ERU est l’excès de risque unitaire pour une groupe de personne exposé et appliqué dans le cas la toxicité sans seuil

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  • L’E.R.U., ou Excès de Risque Unitaire, représente le nombre de cas attribuables à une exposition à une unité de dose pour une population et une durée d’exposition données ; ici, 4 cas de cancers pour 100000 habitants pour une exposition chronique par inhalation, 1 cas pour 100000 habitants par voie orale. L’OEHHA considère donc que le risque est 4 fois plus élevé par inhalation par rapport à la voie orale (moindre absorption du toxique par voie digestive ?).

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  • Un excès de risque unitaire (ERU) est une VTR sans seuil, pour le risque cancérigène. Ces valeurs de l’OEHHA montrent que la voie inhalation est moins sensible que la voie alimentaire pour les dioxines. Les dioxines sont donc plus toxiques lorsqu’elles sont ingérées. Les résultats de l’OEHHA ont probablement été construits par extrapolation voie à voie.

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  • L’ERU est "un excès de risque unitaire". Il correspond en fait à l’augmentation de probabilité de développer un cancer quand on augmente d’une unité de dose la substance toxique. Cette VTR est basé sur les effets sans seuil de certaines substances toxiques.
    La différence entre les deux valeurs est peut-être liée à l’absorption différente des composés par l’organisme. Le mode de circulation dans l’organisme entre l’inhalation et la voie orale est différent, l’éloignement des organes cibles et les effets pourront donc être différents.

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  • Les valeurs d’ERU montrent que la substance est plus toxique par inhalation que par ingestion.
    L’ERU c’est l’excès de risque unitaire qui traduit la probabilité d’observer un effet (cancer) pour une unité de dose.

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  • La différence entre les deux valeurs s’explique par la voie d’exposition. On note une une différence entre les deux valeurs car le mécanisme admet un effet sans seuil.
    Le terme ERU signifie l’excès de risque unitaire ou plus précisément la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose

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  • La différence entre les deux valeurs s’explique par la voie d’exposition. On note une une différence entre les deux valeurs car le mécanisme admet un effet sans seuil.
    Le terme ERU signifie l’excès de risque unitaire ou plus précisément la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose

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  • La différence entre les les ERU pour l’exposition par inhalation et celle de l’exposition par ingestion résulte du fait que lors de l’inhalation toute la quantité de dioxine 2,3,7,8-TCDD inhalé ne passe pas dans le sang alors que pour l’ingestion la quantité ingérée a de fortes chance de se retrouver dans l’organisme humain a cause des possibilités de liaison avec d’autres subtances ingérées conconmitament et augmenter ainsi le risque de survenu du cancer.

    ERU : c’est l’excès de risque unitaire, il sert à déterminer la valeur toxicologique de référence dans les situations sans seuil

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  • cette difference s’explique par le fait que l’homme à une exposition de prés de 95% provenant de l’alimentation par rapport à l’exposition par inhalation.
    ERU est l’excés de risque unitaire

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  • ERU est une VTR pour des substances sans effets de seuil (cas de cancers) obtenu par des études toxicologiques expérimentales sur des animaux.
    On constate que la voie orale présente un ERU plus faible, elle est donc plus efficace que l’inhalation qui a un ERU plus élevé.

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  • ERU EST L’EXCES DE RISQUE UNITAIRE (ERUI= PAR INHALATION)
    C’est l’estimation de l’ERI (exces de risque individuel ) pour une exposition vie entière égale a une unité de doses d’agent dangereux c’est un indice VTR pour les effets toxiques sans seuil.
    Pourquoi pas le MRL car c’ est un VTR utilise pour les effets toxiques a seuil dose (voie orale)
    La différence des résultats est du la biodisponibilité de chacun des organes respiratoires et digestif.

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  • ERU ou excés de risque sanitaire d’un groupe correspond à un valeur toxique de référence sans seuil pour les risques de cancer.
    Selon les études de l’OEHHA, la voie d’exposition par inhalation a un ERU 4 fois plus élévé que par voie orale.Un exposition orale est donc plus efficace avec un ERU moins elevé.

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  • Pour établir des normes d’exposition pour des substances sans effet de seuil, il faut estimer la probabilité aux faibles doses. Il existe différents modèles, le plus simple consistant à tracer la droite entre la limite supérieure de l’intervalle de confiance de la plus faible dose causant le cancer et l’origine. La pente de cette droite exprime le différentiel de risque (excès de risque) par unité de dose. L’ERU est cet excès de risque unitaire.

    Ici, l’ERU pour une exposition chronique par inhalation de dioxine 2,3,7,8- TCDD est 4 fois supérieur à l’ERU pour une exposition alimentaire (ingestion)
    Ce qui signifie qu’il faut une dose 4 fois supérieure pour atteindre le même excès de risque par inhalation que par ingestion. Donc la toxicité par inhalation est moins importante que par ingestion, les dioxines absorbées vont être métabolisées et stockées dans les réserves d’adipocytes. L’arbre pulmonaire va réussir à en éliminer un peu plus et pas à tout absorber.

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  • Cette différence d’ERU entre l’inhalation et l’ingestion alimentaire montre que le 2,3,7,8-TCDD est plus toxique par ingestion alimentaire que par inhalation. L’exposition par ingestion alimentaire incorpore plus rapidement cette dioxine dans l’organisme. ERU est l’exès de risque unitaire.

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  • cette différence signifie qu’un individus exposé au 2,3,7,8 -TCDD par l’alimentation courent 4 fois plus de risque de développer une pathologie, qu’un individus exposé à la même substance par inhalation.
    ERU = excès de risque unitaire. Il exprime la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapportés à une mesure de l’incidence.

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  • Par inhalation ERU=4.10-5ug/kg/j et par voie alimentaire 10-5ug/kg/j. Ceci signifie que le risque est 5 fois plus élevé pour les exposition par la voie alimentaire. En effet, vu que les aliments ont un long parcours, la réaction de l’organisme face au xénobiotique n’arrive pas à s’organiser effeicacement pour éliminer la substance toxique.

    ERU signifie excès de risque unitaire.

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  • l’exposition humaine au dioxine est alimentaire à près de 95%. Les dioxines etant des toxiques avec une lipophilicité très élevé , la voie digestive est plus exposée pour l a formation des complexes avec les molécules lipidiques depuis les aliments à ingérer jusqu’au métabolites de la digestion. Or les particules de TCDD dans l’atmosphère sont maintenues pendant un temps plus court pour etre fortement inhalées, donc il s’établit une logique qu’une faible proportion de TCDD inhale correspond plus à une quantité importante qui sera ingérée avec l’alimentation, expliquant du coup la hausse du ERU pour une exposition chronique alimentaire en comparaison à une exposition chronique par inhalation .

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  • L’ERU signifie Excès de Risque Unitaire. Sa valeur plus grande au niveau de la voie orale (inhalation) signifie qu’il faut faut respirer 4 fois plus de TCDD soit (0,0004 µg/kg/j) pour être en situation de risque comparer à la voie alimentaire ou il en faut juste (0,0001 µg/kg/j). Cela donc montre que la voie alimentaire présente un risque élevé par rapport à la voie orale ; cela se justifie par le fait que le TCDD s’accumule dans les graisses (aliments) et donc plus être digérés ou s’accumuler dans les tissus ; au contraire de l’exposition orale pour lequel une part de l’air inspiré sera expiré avec un rejet donc de TCDD.

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  • - L’ERU préconisé pour une exposition chronique par inhalation est 4 fois supérieur que l’ERU pour une exposition alimentaire à cause de la forme particulaire prédominante des dioxines. Ce qui fait que la contamination atmosphérique est beaucoup moindre que celle alimentaire.
    - ERU ou excès de risque unitaire est la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose, pour les effets sans seuil.

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  • La 2,3,7,8-TCDD est une substance liposoluble et par conséquent, existe de façon moins forte dans l’air. La voie d’exposition majeure et significative demeure la voie alimentaire dont la valeur est plus élevée ERU.
    REL : Risk Effect Level

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  • Cette différence serait due au fait que la voie orale soit plus facile (exposée) que la voie alimentaire. En d’autres termes, le risque est plus élevé par la voie alimentaire, donc ERU (excès de risque unitaire élevé)

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  • La différence d’exposition pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation et un ERU de 10-5 par μg/kg/j pour une exposition alimentaire par l’OEHHA s’explique par le mode d’absorption qui varie non seulement avec les substances, mais aussi avec les concentrations ou la voie d’exposition. Généralement, le degré de toxicité d’un xénobiotique diffère selon les lieux d’exposition (cutané, alimentaire, inhalation etc.).
    ERU correspond aux nombres de cas supplémentaires pour une dose donnée et une exposition vie entière (typiquement 70 ans) et la dose reçue par l’individu (concentration et durée d’exposition) extrapolée vie entière.

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  • Les resultats different par le mode d’administration de la dose journalière .
    Eru ou excés de risque unitaire résulte d’une relation postulée comme lineaire entre une dose ou une concentration d’exposition et la probabilité d’occurrence d’un cancer dans une population.

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  • cette différence montre que la voie orale est plus efficace, c’est pourquoi l’excès de risque unitaire est plus élevé que celui de la voie alimentaire. ERU signifie Excès de Risque Unitaire et correspond à la VTR lorsqu’il n’y a pas de seuil ( VTR=ERU).

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  • La voie orale est plus efficace d’ou un exces de risque unitaire corresponadant à une concentration plus elevée pour l’inhalation évoquee à partir des experiences d’exposition alimentaire montre moins de risque par rapport à la premiere.
    L’ERU signifie :valeur toxcilogique de reference sans effet de seuil

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  • L’ERU désigne un effet néfaste par unité de dose ou bien un Excès de Risque Unitaire.
    La différence entre les valeurs que nous avons montre que l’exposition par voie alimentaire est plus importante que celle par inhalation. Cela s’explique par le fait qu’il faut 4 fois plus de TCDD pour une exposition chronique par inhalation de poussières contaminées (4.10-5 μg/kg/j) que pour une exposition alimentaire qui est de seulement 10-5 (0.001 μg/kg/j). La dose d’exposition par voie d’inhalation est 4 fois supérieure pour un excès de risque que celle par voie alimentaire. De plus, les études ont montré à 95% que l’exposition de l’homme est principalement d’origine alimentaire

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  • ce cela veut dire qu’il faut 4 fois la dose effet de la 2,3,7,8-TCDD d’exposition par voie respiratoire par rapport à la voie orale. pour être exposé par voie orale ; il suffit d’une petite dose, soit 1/4 de la dose prévue par voie respiratoire.un ERU est l’Excès du Risque Unitaire (ERU).Pour la dose effectivement reçue par individu, le risque se trouve au niveau de la faible dose.

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  • Compte tenu des propriétés physico-chimiques de la 2,3,7,8-TCDD, en particulier sa lipophilie, elle peut être absorbée par plusieurs voies (cutanée, respiratoire et digestive). Du fait de cette même lipophilie, elle est capable de s’accumuler dans la chaîne alimentaire et on estime que l’exposition humaine provient pour 90 à 95% des cas de l’alimentation. Ceci explique la raison pour laquelle les normes d’exposition fixées par l’OEHHA sont plus faibles que celles pour la voie digestive que la voie respiratoire.

    L’ERU correspond à la probabilité supplémentaire, par rapport à un sujet non
    exposé, qu’un individu contracte un cancer s’il est exposé pendant sa vie entière à une unité de
    dose de la substance cancérogène. Il s’agit généralement de la limite supérieure de l’intervalle
    de confiance à 95 % de la pente de la droite (« slope factor ») qui relie la probabilité de réponse
    à la dose toxique et dont la plage de validité correspond généralement à un risque compris entre
    0 et 1 % [67].
    Cet indice est l’inverse d’une dose et s’exprime en (mg/kg/j)-1 ou (g/kg/j)-1

    .

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  • Compte tenu des propriétés physico-chimiques de la 2,3,7,8-TCDD, en particulier sa lipophilie, elle peut être absorbée par plusieurs voies (cutanée, respiratoire et digestive). Du fait de cette même lipophilie, elle est capable de s’accumuler dans la chaîne alimentaire et on estime que l’exposition humaine provient pour 90 à 95% des cas de l’alimentation. Ceci explique la raison pour laquelle les normes d’exposition fixées par l’OEHHA sont plus faibles pour la voie digestive que celles pour la voie respiratoire.

    L’ERU correspond à la probabilité supplémentaire, par rapport à un sujet non
    exposé, qu’un individu contracte un cancer s’il est exposé pendant sa vie entière à une unité de
    dose de la substance cancérogène. Il s’agit généralement de la limite supérieure de l’intervalle
    de confiance à 95 % de la pente de la droite (« slope factor ») qui relie la probabilité de réponse
    à la dose toxique et dont la plage de validité correspond généralement à un risque compris entre
    0 et 1 % [67].
    Cet indice est l’inverse d’une dose et s’exprime en (mg/kg/j)-1 ou (g/kg/j)-1

    .

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  • L’ERU (excès risque unitaire) est la probabilité supplémentaire qu’un sujet soit intoxiqué (et contracte la maladie) par rapport à un individu non exposé, s’il est exposé pendant sa vie entière à une unité de dose de la substance concernée (ici à 1 μg/j).
    L’ERU étant une probabilité de survenue de l’intoxication, on peut en déduire, au vu des chiffres donnés dans l’énoncé, que le risque de toxicité du 2,3,7,8 TCDD par inhalation (4.10-5 μg/kg/j, soit 4 cas pour 100 000) est supérieur au risque de toxicité par ingestion (10-5 μg/kg/j, soit 1 cas pour 100 000). Mais je sais que cette explication ne correspond pas avec ce que l’on sait des dioxines, en particulier que leur toxicité est bien plus grande par ingestion que par inhalation.

    En lisant les échanges postés au niveau du TD, suite à un message de l’un des étudiants (qui a visiblement suivi le même raisonnement que moi), j’ai compris que ce raisonnement est erroné. Mais j’avoue ne pas avoir totalement compris l’explication qui a été postée, notamment la dernière phrase… Ce que j’en ai compris, c’est que la dose « efficiente » du toxique est 4 fois moins grande par ingestion et donc qu’elle est plus dangereuse, car nécessitant une moindre concentration pour être toxique, et donc présentant le plus de risque.

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  • ERU = excès de risque unitaire indique la probabilité de développer une pathologie par unité de dose d’exposition.

    Les valeurs données ici correspondent à l’exposition journalière (chronique) nécessaire pour augmenter la valeur de l’ERU.

    Donc il faut une exposition chronique par inhalation 4 fois supérieure à une exposition alimentaire pour produire les mêmes effets (sur l’ERU). Ce qui est compatible avec le fait que 90 à 95 % de l’exposition aux dioxines est d’origine alimentaire et avec le fait que la dioxine est stockée dans les graisses de l’organisme.

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  • Les expositions chroniques sont des expositions à long terme et sont administrées directement à l’homme par contre au niveau des aliments l’exces de risque est faible car il se trouve que cette concentration peut avoir un effet cumulatif chez l’homme apres consommation des aliments.

    Les effets sans seuil de dose sont exprimés au travers d’un indice représentant un excès de risque
    unitaire (ERU) qui traduit la relation entre le niveau d’exposition chez l’homme et la probabilité de
    développer l’effet. Les ERU sont définis à partir d’études épidémiologiques ou animales.

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  • ERU= Excès de Risque Unitaire
    Cette difference reste parfaitement logique : au niveau pulmonaire, une partie du xénobiotique va être exhalée, une autre va être prise en charge par l’ascenseur mucociliaire, etc. Par contre, par voie orale, la TCDD (liposoluble) dans le bol alimentaire va être digérée et passer (comme les nutriments) dans le sang puis se stocker dans les adipocytes

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  • Les dioxines ont un comportement similaire dans les organismes animaux et humains. Chez
    l’homme, les données concernent à peu prés exclusivement la 2,3,7,8-TCDD. Les différences
    toxicocinétiques entre dioxines et entre esp ces semblent provenir surtout de variabilités
    relatives et l’affinité pour les graisses, la vitesse de métabolisation, la solubilité dans le
    véhicule d’administration ou l’adsorption sur des matrices environnementales. A travers la peau, la 2,3,7,8-TCDD est faiblement absorbéenpar inhalation n’ont pas été rapportées, mais il est probable que l’absorption soit compléte dans ce cas (INSERM, 2000). La distribution se fait en fonction de la teneur en graisse des différents tissus et de leur concentration en cytochromes P450, auxquels les dioxines se fixent d’autant mieux qu’elles sont plus chlorées. Dans l’espèce humaine, la métabolisation de la 2,3,7,8-TCDD par les CYP n’est sans doute pas importante aux concentrations habituellement rencontrées et c’est la teneur en lipides des tissus qui détermine sa r€partition (INSERM, 2000).
    Le métabolisme conduit à la substitution de chlore par des groupements OH et à la formation
    de dichlorocatéchol pour la 2,3,7,8-TCDD.

    ERU : Excès de Risque Unitaire.

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  • ERU est 4fois plus élevé pour l’exposition chronique par inhalation. Cela veut dire que le produit est plus toxique par voie digestive ou la probabilité de développer une maladie est 4 fois plus probable par voie digestive.
    ERU= excès de risque unitaire.

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  • La voie orale est plus efficace c’est ainsi qu’ un excès risque unitaire correspondant à une concentration plus élevée pour l’inhalation à partir d’expériences d’exposition alimentaire. .
    ERU est l’excès de risque unitaire pour une groupe de personne exposé et appliqué dans le cas de la toxicité sans seuil

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  • REL : Reference Exposure level, c’est la dose limite d’un produit sans avoir des effets toxique (non-cancerinogene).
    par la voie d’entree digestive, les effets toxiques peuvent etre plus remarquables que en voie respiratoire, et puis la chance d’entrer dans l’organisme est superieure quand il s’agit d’un moleule presente dans les aliments plus que dans l’air pollue ou des facteurs peut varier la concentration dans l’air.

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  • Le terme ERU (Excès de risque unitaire) renvoie à la détermination d’une VTR pour une substance sans seuil. Si elle est plus forte pour l’exposition chronique par inhalation, cela signifie que le risque est 4 fois moins fort que dans le cas d’une ingestion alimentaire. On peut supposer que le mode oral favorise l’absorption et la diffusion de la substance dans l’organisme, davantage que l’inhalation.

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  • Une ERU de 2,3,7,8-TCDD pour un cancer donné est de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation et 10-5 pour une exposition par voie orale, cela veut dire que le risque de développer ce cancer du fait de 2,3,7,8-TCDD est 4 fois supérieure par voie alimentaire que par voie respiratoire. il en ressort que la voie alimentaire représente la voie d’exposition permettant un effet cancérigéne rapide du 2,3,7,8-TCDD. Cela pourrait s’expliquer par le fait que les dioxines dans l’organisme humain,se fixent d’abord dans le foie et les muscles, puis sont redistribuées dans les tissus graisseux. Les dioxines absorbées par la voie respiratoire subissent donc une élimination plus intense avant d’atteindre les organes et les tissus cibles.

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  • La différence existant entre la 2,3,7,8-TCDD pour une exposition chronique par inhalation et une exposition alimentaire réside particulièrement dans les résultats qui peuvent être qualifiés d’ambigus. Le récepteur humain aux hydrocarbures aromatiques présente une constante de dissociation (kd) similaire à celle de la souris résistante DBA/2. Il peut être qualifié comme ayant une faible affinité. La capacité du récepteur à médire une réponse biologique peut également varier en fonction de la molécule (dérivés simples, analogues de structure) et de l’espèce.
    Dans ce cas, un ERU se construit pour les substances qui traduisent des effets cancérogènes pour des substances toxiques, le plus souvent génotoxiques mais pas exclusivement. L’intoxication de la 2,3,7,8-TCDD se fait par la voie alimentaire. Les plus fortes concentration conduisent à des intoxications de type chronique par inhalation à très faibles doses de particules contenues dans l’air ambiant à la suite d’une exposition prolongée.

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  • Cette différence entre exposition chronique par inhalation et exposition alimentaire s’explique par l’utilisation de la TEF(04 fois supérieur)

    ERU excès de risque unitaire c’est à dire excès de risque par unité de dose

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  • Cette difference est due à l’efficacité de la voie digestive qui exige une dose plus faible.

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  • L’ERU préconisé pour une exposition alimentaire est 4 fois plus bas que l’ERU préconisé pour une inhalation, ce qui est logique car par la voie d’exposition alimentaire, le xénobiotique va être absorbé et donc passer facilement dans la circulation sanguine, alors qu’au niveau pulmonaire, il y aura des barrières ou mécanismes de protection plus difficiles à franchir pour le xénobiotique (rôle des cellules ciliées+mucus pour évacuer les particules vers l’extérieur) : il faut une dose 4 fois plus importante de xénobiotique par voie pulmonaire que par voie alimentaire pour un excès de risque donné.
    Le terme ERU signifie Excès de Risque Unitaire et représente le nombre de cas supplémentaires pour une dose donnée et une exposition vie entière. Cet indice est la valeur toxicologique de référence pour les effets toxiques sans seuil. Il représente la pente de la borne supérieure de l’intervalle de confiance de la courbe dose-réponse.

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  • ERU de A : excès de risque unitaire, est l’excès attendu de cas d’une pathologie donnée, consécutif à l’exposition continue (24h/24), sur une vie entière (70 ans), à une concentration de 1 unité de la substance A.
    Les valeurs différentes de l’ERU pour les deux voies s’expliquent par le fait que, les voies étant différentes, le calcul se fait pour l’intoxication par voie orale et un facteur est appliqué pour une extrapolation de voie à voie.

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  • Une substance peut avoir plusieurs VTR en fonction du mode ou de la voie d’exposition. "ERU" est l’excès de risque unitaire qui s’agit de la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose

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  • ERU = Excès de Risque Unitaire, sert à déterminer la VTR pour les situations sans seuil. Il exprime la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapporté à une mesure de l’incidence. En réalité MRL ou ERU correspond au nombre de cas supplémentaire pour une dose donnée et une exposition vie entière (typiquement 70 ans) et la dose reçue par l’individu (concentration et durée d’exposition) extrapolée vie entière.

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  • L’ERU est la limite d’exposition recommandée professionnelle qui protecte la sante des travailleurs pendant toute une vie de travail si elle est utilisée en combinaison avec la pratique des contrôles d’ingénierie et de travaux, l’exposition et un suivi médical, l’affichage et l’étiquetage des risques, la formation des travailleurs et des équipements de protection individuelle.
    La limite pour une exposition chronique par inhalation (chez les travailleurs) est plus elevee que celle pour une exposition alimentaire peut etre parce que les entreprises font pression concernant les limites.

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  • L’ERU est un VTR sans seuil, il s’agit de la probabilité de survenue d’un cas supplémentaire par rapport à un sujet sain tout au long de la vie.
    Pour la 2,3,7,8 TCDD, il est préconisé une ERU en cas d’inhalation plus importante qu’en cas absorbtion alimentaire, cela signifie qu’en cas d’absortion alimentaire le risque est 4 fois plus élevé, qu’en cas d’inhalation. cela s’explique par le fait qu’en cas d’absorbtion la substance toxique entre en plus grande quantité dans le systéme biologique.

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  • ERU signifie excès de risque unitaire c’est la dose au dessus de la quelle la probabilité de développer un cancer par un exposé augmente par rapport au non exposé. La différence résulte du fait que la voie orale est la plus dangereuse que la voie respiratoire en particulier pour ces produits qui sont lipophiles donc bien absorbés

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  • L’ERU est l’excès de risque unitaire. On utilise l’excès de risque unitaire pour caractériser une situation d’exposition avec effet sans seuil. Ici (4x10^ (-5) par ygramme et par jour) veut dire : pour une inhalation de 1 microgramme par kilogramme et par jour pour une vie entière, 70 an, on a un risque de 4/10000 de développer une manifestation clinique (comme le cancer). En comparant les résultats (inhalation et ingestion) on constate que l’ERU par inhalation est 4 fois supérieur à celui par ingestion pour une dose identique de 1 microgramme par kilo et par jour.

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  • ERU signifie exces risque unitaire , ERU d’exposition d’inhalation est determine par l’ERU d’exposition alimentaire puisque l’ERU sert a determiner le VTR pour les situations sans seuil et ERI

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  • À fin de calculer une valeur de référence chez l’homme, il faut déterminer la dose sans effet nocif observable - DSENO (NOAEL), calculer aussi le facteur d’incertitude global (UF) et un facteur de « confiance » accordé au données (MF).
    Grâce à la courbe on peut déduire une DSENO égal à 0,1 µg/Kg/j TCDD, valeur la plus haute n’ayant pas d’effets nocif par rapport au groupe témoin (rouge).
    Ensuite, un facteur d’incertitude global (UF) de 100, correspondant à un facteur 10, pour l’extrapolation animal-homme (valeur par défaut, compte tenu de l’absence de données sur l’espèce utilisé pour l’étude) et un autre facteur 10 pour la variabilité humaine.
    Finalement, autres facteurs peuvent être inclus, comme un facteur modificateur de 0,7 (ATDRS, 1998), qui correspond à un ajustement due à la disponibilité accrue des TCDD administrés par voie orale, et d’autres encore selon la population ciblé (variabilité de la susceptibilité).
    On devrait connaitre aussi la dure d’exposition (aigüe, chronique ou subchronique) pour bien situer le problème, en vue des analyses pour une application réglementaire par exemple.
    Donc, MRL = NOAEL / (Facteur d’incertitude global)
    MRL= 0,1 µg/Kg/j TCDD / (100 x 0,7)
    MRL= 0,0014 µg/Kg/j TCDD
    Valeur Toxicologique de Reference= MRL TCDD = 1,4x10E-3 µg/Kg/j

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  • Ces deux valeurs sont issues d’une étude de toxicité chronique chez le rat exposé à la 2,3,7,8- TCDD via l’alimentation à des doses de 1, 10 ou 100 ng/kg/j durant deux ans (Kociba et al., 1978). A la dose de 100 ng/kg/j, divers effets ont été notés, notamment une augmentation de la mortalité…. A 10 ng/kg/j, les effets étaient moindres, avec toujours des lésions hépatiques et pulmonaires. La dose de 1 ng/kg/j n’a pas produit d’effets toxiques décelables et est donc considérée comme un NOAEL dans cette étude.

    Facteurs d’incertitude : un facteur 100 a été appliqué. Un facteur 10 pour l’extrapolation des données animales à l’homme (variabilité interspécifique) et un facteur 10 pour la variabilité au sein de la population (variabilité intra spécifique).
    L’ERU a donc été calculé de la façon suivante :
    L’ERU : 0,001 g/kg/j x 1/100 = 10 pg/kg/j = 10-8 mg/kg/j = 10-5 µg/kg/j
    Pour le calcul de la valeur par inhalation, une extrapolation voie à voie a été effectuée, en utilisant un facteur de 3 500 µg/m3 par mg/kg/j.
    L’ERU : 10-8 mg/kg/j x 3 500 µg/m3= 3,5.10-5 µg/m3 (arrondi à 4.10-5)
    Par voie orale, la TCDD (liposoluble) par ingestion va être digérée et passer (comme les nutriments) dans le sang puis se stocker. Tandis qu’au niveau pulmonaire, le xénobiotique va être distribué à plusieurs endroit c’est la raison pour laquelle la ERU par voie orale est 4 fois supérieure à celle par inhalation.

    L’ERU correspond à la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose. Ou encore c’est le nombre de cas supplémentaire pour une dose donnée et une exposition vie entière et la dose reçue par l’individu extrapolée vie entière.

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  • L’ERU s’applique pour les effets sans seuil de dose et signifie l’excès de risque unitaire c’est-à-dire la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose.

    Selon la préconisation de l’OEHHA, la dose nécessaire pour provoquer cet excès (pathologie) est 4 fois plus grande pour l’exposition alimentaire. C’est donc cette voie d’ exposition qui présente le plus haut risque.

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  • L’OEHHA préconise un ERU plus élevé pour une exposition chronique par inhalation que pour une exposition alimentaire, car en effet la 2,3,7,8-TCDD est beaucoup plus "efficace" par voie orale que par inhalation du fait de ses propriétés (liposoluble).

    l’ERU (Excès de Risque Unitaire) = Nombre de cas attribuable à l’exposition pour 100 000 individus et par année. Correspond à la VTR pour les effets sans seuil.

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  • D’après le graphique, la dose sans effet nocif observable DSENO/NOAEL correspond à 0,1µg/kg/j de TCDD car c’est la dose testée immédiatement inférieure à la dose minimale à effet observable DMEO/LOAEL correspondant à 1µg/kg/j de TCDD. La valeur de référence chez l’homme ne pourrait pas être extrapolée à partir de la dose critique DESNO/NOAEL à partir de cette expérimentation animale sans précision des données relatives à la détermination des facteurs d’incertitude (UF) à appliquer pour le calcul.

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  • Ces données montre la vulnérabilité acrue du tube digestifs par rapport au risque d’exposition. En effet le seuil de toxicité est 4 fois supérieur par inhalation que par ingestestion. Cela peut etre du à la physiologie qui permet l’assimilation complete de la substance toxique par voie digestive et son rejet partiel par voie aérienne.

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  • ERU (excès de risque unitaire) est un paramètre qui permet d’établir des VTR à différentes circonstances d’exposition à des substances sans seuil d’effet. Il correspond à un différentiel de risque par unité de dose.
    Les valeurs préconisées par l’ OEHHA montrent que l’ERU pour une exposition chronique par inhalation est 4 fois supérieure à celle de l’ERU par voie orale alimentaire. Cela suppose donc que l’exposition alimentaire à la dioxine est plus nocive. Les études ont montré que 95% de l’exposition humaine à la dioxine s’effectue par l’alimentation.

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  • D’apres ces données,il ressort que la voie orale presente plus de risque que la voie respiratoire.En effet le risque est quatre fois plus important quand la voie de contamination est orale par rapport à la voie respiratoire.
    ERU (Excès de Risque Unitaire)

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  • ERU est une valeur de reférence des subtances sans seuil. La différence entre les valeurs depend de la strucure et de la sensibilité des celulles exposées. Par inhalation ce sont les cellules du système respiratoire qui sont exposées et celles du système digestif par voie alimentaire. On remarque que la 2,3,7,8-TCDD est 4 fois plus toxique par inhalation que par ingestion.

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  • ERU (l’excès de risque unitaire est la VTR pour les effets sans seuil.
    La différence d’ERU préconisée par cet organisme concernant ce polluant montre tout simple que l’exposition par voie alimentaire est beaucoup plus supérieure à l’exposition par inhalation de ce polluant.

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  • ERU ou excès de risque unitaire exprime la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapporté à une mesure de l’incidence. Il sert à déterminer les VTR pour les situations sans seuil.
    Cette différence s’explique par pour la voie respiratoire est obtenue par extrapolation à partir de la voie orale car les études toxicologiques ne prennent pas toujours en compte cette voie d’exposition.

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  • Pour la 2,3,7,8-TCDD, l’OEHHA identifie :

    - un ERU = 4.10-5 par µg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation,

    - un ERU = 10-5 par µg/kg/j pour une exposition alimentaire.

    La probabilité d’apparition du cancer aux faibles doses peut être calculée par l’ERU (excès de Risque Unitaire = différentiel de risque par unité de dose) qui permet de déterminer la VTR pour des effets sans seuils.
    C’est la probabilité pour individu de développer un cancer lié à une exposition égale, en moyenne sur sa durée de vie, à une unité de dose de la substance toxique.

    L’ERU du TCDD est de 4.10-5 par µg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation, cela signifie que le risque de développer ce cancer du fait de l’inhalation du TCDD est de 4.10-5 pour une personne exposée tous les jours et durant toute sa vie à une concentration de TCDD de 1 µg/l.
    Pour une exposition alimentaire au TCDD, ce risque est de 10-5.

    Sur une population de 100 000 personnes exposées tous les jours et durant toute leur vie à 1 µg/kg de TCDD, en moyenne, le nombre de cas de cancer du fait de l’exposition au TCDD sera probablement de 4 cas pour une exposition chronique par inhalation et de 1 cas pour une exposition alimentaire.
    Le 2,3,7,8-TCDD est 4 fois plus toxique par inhalation que par ingestion.

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  • la probabilité d’une exposition chronique par inhalation est plus elévé d’une exposition alimentaire.pour cela on remarque cette difference ,et aussi par la voie alimentaire il y possibilité plus elévé d’elimination de TCRR par les fèces.
    ERU signifie excès de risque unitaire

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  • La différence est due au fait que cette substance se propage d’abord par voie aérienne avec dépôt secondairement sur le sol d’où se contamine les aliments.
    Les VTR sans seuil de dose s’expriment sous la forme d’un ERU (excès de risque unitaire) et se définissent comme une augmentation de la probabilité, par rapport à un sujet non exposé, qu’un individu exposé lors de sa vie entière à une unité de dose de la substance développe une pathologie.

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  • C’est cet excès de risque unitaire qui sert à déterminer la VTR pour les situations sans seuil (une VTR sans effet de seuil). Il exprime la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapportés à une mesure de l’incidence (l’excès attendu de cas d’une pathologie donnée, consécutif à l’exposition continue (24h/24), sur une vie entière (70 ans), à une concentration de 1 unité de la substance toxique.

    Il est claire que la voie orale est plus efficace, d’où un excès risque unitaire correspondant à une concentration plus élevée pour l’inhalation, extrapolée à partir d’expériences d’exposition alimentaire.

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  • l’ERU est la valeur toxicologique de référence pour les effets toxiques sans seuil.

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  • La différence est due principalement à la voie d’exposition. L’absorption de substance par voie digestif est plus efficace que la voie pulmonaire. Cela due à la pénétration de substance dans la circulation sanguine a cause de leur forme et affinité.
    L’ERU Il s’agit d’une méthode qui permet d’estimer par calcul les risques pour la santé auxquels est soumise une population exposée à une pollution particulière d’origine industrielle ou naturelle. Cet outil est utilisé pour évaluer des risques sanitaires liés à une exposition future, il sera alors de type prédictif.

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  • ERU : excès de risque unitaire sert à déterminer le VTR pour les substances sans seuil,il exprime la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapporté à une mésure d’incidence.
    Les VTR sont spécifique pour un effet, pour une voie d’absorption ceci explique qu’il s’agit des deux voies d’absorption différente par inhalation et par voie digestive.

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  • La voie orale presentant des dangers plus grand (grand excès de risque unitaire) l’etude a apliqué une concentration plus élevée que pour l’inhalation.
    L’ERU correspond à une VTR sans effet de seuil, obtenu à partir d’études toxicologiques animales.

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  • ERU pour une exposition par inhalation est plus faible que celui de l’alimentation, car les substances agissent plus sur les poumons par inhalation que par ingestion avec les aliments

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  • l’ERU est l’excès de risque unitaire (VTR sans seuil) et le fait que cette valeur soit plus faible pour une exposition alimentaire s’explique (facteur de 4) par une plus grande sensibilité du corps humain à la dioxine pour l’ingestion qu’à une exposition chronique par inhalation.

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  • cette différence indique que la dose déterminant l’excès de risque est quatre fois supérieure par voie respiratoire par rapport à la voie orale ;

    Excès de risque unitaire (ERU) représente une dose additionnelle d’exposition que peut subir un individu pendant toute la vie pour provoquer la probabilité de survenue d’un cancer par rapport à un individu non exposé

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  • L’E.R.U., ou Excès de Risque Unitaire, Excès attendu de cas d’une pathologie donnée, consécutif à l’exposition chronique sur une vie entière (70 ans), à une concentration de 1 unité de la substance A.

    on peut déduire que la voie d’exposition par inhalation (un ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation )est 4 fois plus important comparé à l’exposition par voie alimentaire (un ERU de 10-5 par μg/kg/j pour une exposition alimentaire)

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  • L’ERU est l’Excés de Risque Unitaire. Il représente l’excés attendu de cas d’une pathologie donnée, suite à l’exposition continue (24h/24h), sur une vie entiére (70ans), à une concentration de 1 unité d’une substance toxique considérée généralement comme cancéreuse. Ici pour la substance 2,3,7,8-TCDD l’OEHHA préconise pour une personne exposée à cette substance par inhalation un risque de développer une pathologie ou un cancer de 4.10-5 par μg/kg/j à cause de cette substance, si durant toute sa vie il y a été exposé de façon continue à une concentration de cette substance de 1 µg/kg/j.
    Aussi l’OEHHA nous apprend que le risque est 4 plus dangeureux par inhalation que par voie alimentaire.

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  • ERU : excès de risque unitaire qui sert à déterminer la VTR pour les situations sans seuil. En le multipliant à la dose effective reçu par l’individu, on obtient l’excès de risque individuel(ERI).

    D’ après les valeurs indiquées, qui concernent la dioxine "SEVESO" qui est la plus toxique. On peut comprendre que le risque par exposition alimentaire est plus important que le risque par inhalation car la dose est 4 fois inférieure.

    A noter, l’exposition humaine à la dioxine se fait par la voie alimentaire dans 90 à 95% des cas. Les dioxines sont des molécules lipopiles, qui s’accumulent dans les tissus adipeux des animaux, la dose augmente dans la chaine alimentaire, et est donc la plus haute lors de l’ingestion par un humain. Ces molécules sont très résistanes aux systèmes de désintoxification.

    La valeur pour l’exposition alimentaire est donc plus faible car le risque est plus important et que plus la valeur est faible moins il y a de risques encourus.

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  • L’OEHHA exprime la toxicité chronique de la 2,3,7,8-TCDD par un ERU, ou Excès de Risque Unitaire, qui correspond au nombre de cas supplémentaires pour une dose donnée et une exposition vie entière (typiquement 70 ans). L’ERU est utilisé pour des effets sans seuil.

    Pour une exposition par inhalation, l’OEHHA propose un ERU de 4.10^5 par μg/kg/j et de 1.10^5 pour une exposition alimentaire. La voie d’exposition principale aux dioxines est par ingestion et ces substances, il est donc logique d’obtenir un ERU et donc une dose plus basse pour la voie orale.

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  • En effet , on peut se permettre un ERU pour une exposition par inhalation légèrement supérieur à celui d’une exposition par l’alimentation, car par ingestion et via la digestion, le TCDD diffuse rapidement et en quasi totalité dans le sang, renforcé par son caractère lipophile.Par contre par inhalation une partie est retenue même au niveau des narines grace à la muqueuse nasale, une bonne partie est éliminée par exhalation une autre est retenue dans les voies respiratoires internes, donc la partie qui arrive au sang est minimisée. L’ ERU (Excès de Risque Unitaire) quant-à lui désigne la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose, il est établit pour les effets sans seuil, pour les produits cancérigènes comme c’est le cas avec le TCDD

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  • La dose préconisée par l’inhalation est 4 fois supérieure à celle d’une exposition alimentaire. Cette différence s’explique par le fait qu’au niveau pulmonaire une partie du xénobiotique peut ressortir et une partie peut se perdre avant d’atteindre les poumons tandis que par la voie alimentaire, toute la quantité de xénobiotique au niveau du bol alimentaire va directement dans le sang par le biais des nutriments. Le risque doit être logiquement plus élevé par voie d’exposition alimentaire que celui par voie respiratoire, ce qui justifie la différence des chiffres notée.
    L’ERU est l’excès de risque unitaire qui est la valeur toxicologique de référence appliquée aux effets sans seuil (substances cancérogènes).

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  • L’ERU est l’exces de risque unitaire et traduit la probabilité de survenue d’un cancer par l’exposition à une unité du toxique. Dans le cas du 2,3,7,8,TCDD, on sait que c’est une molécule très volatile, donc plus facilement inhalée que ingérée, la préconisation de l’OEHHA tient compte de la voie d’exposition et des propriétés chimiques du composé qui sont 4 fois plus susceptible d’être inhalée que ingérées pour une exposition chronique.

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  • cette différence est due aux moyens de protection mis en oeuvre en milieu professionnel face aux expositions élevés et chronique.
    l’ ERU correspond à un risque pour un individu exposé à un facteur de risque durant sa vie entière de développer une pathologie par à celui qui n’est pas soumis à ce facteur.

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  • Cette différence s’explique par le niveau d’efficacité de la dose selon la voie d’exposition. Ainsi la voie d’exposition orale (correspondant à un ERU de 10-5) est 4 fois plus efficace que celle par inhalation (avec un ERU de 4. 10-5). Autrement dit, à égalité de dose, les effets toxiques sont plus sévères si l’exposition intervient par ingestion plutôt que par inhalation.

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  • ERU veut dire excès de risque unitaire. Il traduit la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapportés à une mesure de l’incidence. On note que l’excès de risque pour la 2,3,7,8-TCDD est fonction de la voie d’exposition. L’ERU par inhalation (4.10-5 par μg/kg/j) vaut 4 fois celui par voie alimentaire (10-5 par μg/kg/j). Cela montre que l’organisme est plus vulnérable par la voie alimentaire.

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  • La voie orale est plus efficace, d’où un excès risque unitaire correspondant à une concentration plus élevée pour l’inhalation, extrapolée à partir d’expériences d’exposition alimentaire. L’ERU correspond à une VTR sans effet de seuil, ce qui a été obtenu à partir d’études toxicologiques animales d’induction de tumeurs (en l’occurrence hépatiques pour la TCDD).

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  • L’élément manquant dans cet énoncé est le type d’exposition aigüe ou chronique. Cette connaissance permettrait de connaître la durée d’exposition et donc d’affiner ce résultat.

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  • J’annule la réponse 8979 qui est la réponse pour la question :Toxicité chronique exprimée par un REL (ou ERU) plutôt qu’un MRL et je maintiens la réponse 8990

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  • ERU : Signifie excès de risque unitaire,nombre de cas supplémentaire pour la dose déterminée pour un effet sans seuil. La différence vient du fait que l’exposition alimentaire est plus dangereuse que celui de l’exposition chronique par inhalation.

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  • La voie orale est plus efficace, ce qui montre un excès risque unitaire correspondant à une concentration plus élevée par inhalation.L’ERU est "un excès de risque unitaire". Il correspond en fait à l’augmentation de probabilité de développer un cancer quand on augmente d’une unité de dose la substance toxique. Cette VTR est basé sur les effets sans seuil de certaines substances toxiques.

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  • la dose par inhalation est ici égale à celle par voie alimentaire.
    ERU est l’excès de risque unitaire

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  • L’ERU est l’Excès de Risque Unitaire, c’est l’excès attendu de cas d’une pathologie donnée consécutif à l’exposition continue (24h/24), sur une vie entière (70 ans) à une concentration de 1 unité de la substance. Ceci est principalement utilisé pour les pathologie cancéreuse.

    L’ERU correspond a la Valeur Toxique de Référence VTR sans seuil.

    Ici l’OEHHA considère qu’il y a 4 fois plus de risque par inhalation de développer un cancer que par ingestion. LA dose déterminant l’ERU est donc 4 fois supérieur par voie respiratoire que par voie d’ingestion par le biais de l’alimentation, c’est bine celle qui présente le plus de risque .

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  • L’exposition par l’inhalation présente un ERU (Excès de risque unitaire) 4fois supérieur à celui de la digestion (orale). Pour l’inhalation, la dose donnant l’ERU est 4fois supérieure à celle qui donne l’ERU de l’orale. c’est qui signifie possiblement que l’exposition orale présente beaucoup plus de risque que l’exposition pulmonaire.

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  • L’ERU est l’excès de risque unitaire, sans seuil pour les substances cancérigènes, comme les dioxines.
    Elles sont plus toxiques par voie alimentaire, en raison de leur lipophilie ; c’est pour ça que les limites sont 4 fois plus faibles pour cette voie d’exposition.

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  • Le terme ERU est l’excès de risque unitaire, il est utilisé lorsque l’effet observé est sans seuil.
    Cette différence est due aux voies d’expositions : voie respiration pour l’exposition chronique par l’inhalation et voie digestive pour l’exposition alimentaire. Nous savons que les voies d’expositions au même toxique ont des effets différents.

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  • L’ERU ou excès de risque unitaire sert à exprimer la VTR pour une situation sans effet de seuil obtenu par des études toxicologiques animales.Donc un excès de ERU correspondant à une concentration plus élevée pour l’exposition par inhalation par rapport à l’exposition alimentaire,obtenu par extrapolation.

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  • La toxicité de la 2,3,7,8 exprimée par un ERU ou REL est 4 fois plus toxique par voie respiratoire que par voie orale ; à partir d’expérience pour une exposition alimentaire.
    L’ERU est l’excès de risque unitaire et correspond à une VTR (Valeur Toxicologique de Référence) sans effet de seuil.

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  • ERU= excès de risque unitaire pour les valeurs --------> pour les effets sans seuils ! C’est la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose ! Donc, l’effet néfaste est plus important pour une exposition alimentaire que pour une exposition chronique par inhalation pour le 2,3,7,8-TCDD.

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  • L’excès de risque unitaire (ERU) est la probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose. L’excès de risque unitaire est utilisé pour les effets sans seuil.

    Partant de cette définition, l’exposition alimentaire (10-5 par μg/kg/j) est plus "exposée" (effet néfaste) que l’exposition par inhalation (4.10-5 par μg/kg/j).

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  • L’OEHHA préconise pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation et un ERU de 10-5 par μg/kg/j pour une exposition alimentaire. Ceci s’explique par le fait que l’exposition par inhalation présente plus de risque que l’exposition alimentaire. En effet, l’ERU constitue l’excès attendu de cas d’une pathologie donnée, consécutif à l’exposition continue sur une vie entière (70ans) à une concentration de 1 unité de la substance A. il est principalement utilisé pour les pathologies cancéreuses.

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  • L’ERU est l’excès de risque unitaire. Il correspond au nombre de cas supplémentaires (pour une dose donnée et une exposition vie entière = 70 ans). La différence entre l’ERU par inhalation et l’ERU alimentaire peut s’expliquer par le cumul d’exposition possible dans l’alimentaire : un facteur de sécurité plus rigoureux est alors appliqué.

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  • ERU ou dose à laquelle on a un excès de risque.
    Cette dose est 4 fois supérieur par voie respiratoire que par voie orale.Donc 4 fois moins de chance d’être affecter par voie respiratoire que par fois orale.

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  • Valeurs toxicologiques de référence pour des effets avec seuil

    Justification scientifique des valeurs toxicologiques de référence

    L’OEHHA propose un REL de 4.10-5 μg /m3 pour une exposition chronique par inhalation et un REL de 10-5 μg /kg/j pour une exposition chronique par voie orale (2003).

    Ces deux valeurs sont issues d’une étude de toxicité chronique chez le rat exposé à la 2,3,7,8-TCDD via l’alimentation à des doses de 1, 10 ou 100 ng/kg/j durant deux ans (Kociba et al., 1978). A la dose de 100 ng/kg/j, divers effets ont été notés, notamment une augmentation de la mortalité, un amaigrissement, une augmentation de l’excrétion des porphyrines et de l’acide delta aminolévulinique urinaires, une augmentation de l’activité sérique d’enzymes hépatiques (-GT, phosphatase alcaline…). Des changements histopathologiques ont été mis en évidence au niveau du foie, des tissus lymphoïdes, pulmonaires et vasculaires. Une prolifération du réticulum endoplasmique granuleux a été décelée dans le foie.

    A 10 ng/kg/j, les effets étaient moindres, avec toujours des lésions hépatiques et pulmonaires.

    La dose de 1 ng/kg/j n’a pas produit d’effets toxiques décelables et est donc considérée comme un NOAEL dans cette étude.

    Facteurs d’incertitude : un facteur 100 est appliqué. Un facteur 10 pour l’extrapolation des données animales à l’homme (variabilité interspécifique) et un facteur 10 pour la variabilité au sein de la population (variabilité intra spécifique).

    Calcul : 0,001 μg /kg/j x 1/100 = 10 pg/kg/j = 10-8 mg/kg/j = 10-5 μg /kg/j

    Pour le calcul de la valeur par inhalation, une extrapolation voie à voie a été effectuée, en utilisant un facteur de 3 500 μg /m3 par mg/kg/j.

    Calcul : 10-8 mg/kg/j x 3 500 μg /m3= 3,5.10-5 μg /m3 (arrondi à 4.10-5)
    L’OEHHA préconise pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation et un ERU de 10-5 par μg/kg/j pour une exposition alimentaire. Commentez cette différence et donnez la signification du terme ERU (ou REL en anglais).

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  • L’excès de risque unitaire est l’excès attendu de cas d’une pathologie donnée / effet néfaste, lié à l’exposition continue sur une vie entière à une concentration de 1 unité d’une substance toxique. Il est utilisé pour mesurer la valeur toxique de référence des substances / effets sans seuil, généralement cancérigènes.

    C’est un rapport de probabilité. Dans le cas théorique où une exposition continue (24 h) sur une vie entière (70 ans) la probabilité est de 1/100 000, l’OEHHA fixe l’ERU de la dioxine 2,3,7,8-TCDD à un rapport de 4.100 000 dans le cas d’une absorption orale, soit un rapport de probabilité 4 fois plus élevé que dans le cas d’une inhalation, due au mécanisme de diffusion par voie orale.

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  • Cette différence se justifie par la différence des voies de contamination qui se trouve être de 4 personnes exposées en exposition chronique par inhalation et aucune personne recommandée en exposition aigue par ingestion alimentaire.

    L’ERU = Excès de Risque Unitaire » en français et « Unit Risq » en anglais, correspond à une VTR pour un niveau de risque acceptable ou encore le niveau d’exposition par lequel le risque acceptable n’est pas dépassé. Il s’agit d’une exposition maximale recommandée.

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  • l’ERU pour une exposition chronique par inhalation de dioxine 2,3,7,8- TCDD est 4 fois supérieur à l’ERU pour une exposition alimentaire (ingestion) Ce qui signifie qu’il faut une dose 4 fois supérieure pour atteindre le même excès de risque par inhalation que par ingestion.l’ERU est l’excès de risque unitaire pour une groupe de personne exposé et appliqué dans le cas la toxicité sans seuil

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  • Les RU sont différents selon les voies d’expositions, qu’elles soit inhalée ou alimentaire. Selon ces indications l’ERU est plus important en une exposition chronique par inhalation. La 2,3,7,8 est lipophile et s’accumule dans les tissus graisseux. l’ERU est égale à l’excès de risque individuel rapporté à la dose effectivement reçue. Il est fonction d’une dose sans effet de seuil.

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  • L’ERU est défini tel l’excès de risque unitaire. La pente de cette droite exprime le différentiel de risque (excès de risque) par unité de dose. C’est cet excès de risque unitaire qui permet de déterminer la VTR. L’ERU exprime un effet sans seuil cependant l’exposition chronique par inhalation est 4fois plus élevée à l’exposition alimentaire qui elle a une dose très faible.cela se justifie par le fait que l’intoxication par la voie alimentaire présente un danger élevé.

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  • pour passer de l’animal à l’homme nous choisissons un facteur d’incertitude le plus élevé qui est égal à 10.on aura une valeur de référence (RfD)
    Pourcentage de décès NOAEL (Ug/kg/j) RfD homme (Ug/kg/j)
    95% 0,01 0,1
    75% 1 10
    40% 10 100
    10% 100 1000

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  • Cette différence s’explique car lorsqu’il y’a une exposition alimentaire les xénobiotiques sont transformés par les enzymes de la phase I et II et cela s’effectue d’une manière indirect par ingestion alors que l’exposition chronique par inhalation s’effectue d’une manière directe à travers l’appareil respiratoire. Les particules très fines qui ne sont pas éliminé par les alvéoles se collent dans les poumons et ensuite passe dans le sang et dans le corps.
    REU (excès du risque unitaire) c’est la probabilité qu’a un sujet exposé de développer un cancer s’il est exposé pendant sa vie entière à une unité de dose de la substance

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  • ERU (Excès de risque unitaire) ou REL (Reference Exposure Level) est une VTR sans seuil qui désigne la probabilité d’apparition d’une pathologie suite à une exposition à une dose de substance cancérigène pendant toute la vie.
    La principale source d’exposition aux dioxines est l’alimentation. L’ERU par inhalation est 4 fois plus élevé que celui par ingestion. Ainsi, la voie orale qui a l’ERU moins élevé est la plus efficace.

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  • Les ERU en tant que VTR sont spécifiques d’un effet, d’une voie et d’une durée d’exposition. Ici, les voies d’exposition sont différentes alors les mécanismes d’action de toxicité ne sont pas identiques.
    ERU ou Excès de Risque Unitaire signifie le nombre de cas attribuables à l’exposition pour 100000 individus par année.

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  • En comparant les chiffres on constate que l’excès de risque unitaire correspondant à une exposition par inhalation est 4 fois supérieur à celui de l’exposition alimentaire. La voie orale serait préférable à la voie respiratoire .L’ERU est l’excès de risqué unitaire, il correspond à une VTR sans effet de seuil.

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  • L’ERU est l’excès de risque unitaire. Il correspond au nombre de cas qui survient pour une pathologie donnée pour une exposition continue et sur une vie entière. Il est utilisé comme référence lorsqu’il n’y a pas de seuil de doses c’est-à-dire que l’effet ne dépend pas de la dose mais est probabiliste.

    D’après les valeurs données, le risque de développer une pathologie par une inhalation chronique de 2,3,7,8-TCDD est de 4.10-5 et elle est de 1.10-5 pour une exposition alimentaire. Ainsi pour une population de 1 000 000 personnes, il y aurait 4 cas de développement d’une pathologie par inhalation contre 1 cas par ingestion. L’exposition chronique par inhalation est donc plus dangereuse que par ingestion.

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  • Le terme ERU se définit par l’excès de risque unitaire pour une estimation dans une vie.
    Une exposition chronique par inhalation comporte plus de risque qu’une exposition alimentaire plus ponctuelle.

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  • EUR c’est l’excès de risque unitaire qui correspond aux nombre de cas supplémentaires pour une dose donnée et une exposition vie entière (typiquement 70 ans) et la dose reçue par l’individu (concentration et durée d’exposition) extrapolée vie entière. Il s’applique pour les VTR sans seuil de dose. La différence montre que l’exposition par inhalation de la TCDD est 4 fois plus toxique que l’exposition alimentaire selon l’OEHHA

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  • ERU c’est l’excès de risque unitaire qui correspond aux nombre de cas supplémentaires pour une dose donnée et une exposition vie entière (typiquement 70 ans) et la dose reçue par l’individu (concentration et durée d’exposition) extrapolée vie entière. Il s’applique pour les VTR sans seuil de dose. La différence montre que l’exposition par inhalation de la TCDD est 4 fois plus toxique que l’exposition alimentaire selon l’OEHHA

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  • L’ERU préconisé pour la voie d’exposition par inhalation est quatre fois supérieur à celui préconisé pour la voie digestive. cette substance reste 4 fois plus toxique par voie respiratoire que par voie digestive. Le degré de toxicité de cette substance diffère selon le mode d’absorption. ERU est l’excès de risque unitaire pour un groupe de personne exposé et correspond aux nombre de cas supplémentaires pour une dose donnée et une exposition vie entière (typiquement 70 ans) et la dose reçue par l’individu (concentration et durée d’exposition) extrapolée vie entière.

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  • ERU probabilité d’observer un effet néfaste par unité de dose pour les effets sans seuil. L’exposition par les voies aériennes est plus efficace que par l’ingestion ce qui explique l’ERU plus élevé.

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  • L’Excès de risque unitaire (ERU) est utilisé pour les effets sans seuil. il sert à établir notamment les ERI (excès de risque individuel). Il correspond au nombre de cas supplémentaires pour une dose donnée et une exposition sur la vie entière (en général 70 ans). L’ERU indiquée ici par inhalation chronique correspond à un risque 4 fois plus important que par exposition alimentaire. Autrement dit, une exposition chronique par inhalation à 1 ug/kg/jr sera responsable de 4 cas supplémentaires pour 100000 personnes, alors qu’une exposition alimentaire à la même dose ne sera responsable que d’un cas de cancer supplémentaire pour 100000 personnes. Cette différence est probablement due à la voie d’absorption et le fait que l’absorption par ingestion est moins directe que par la voie respiratoire.

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  • L’ingestion est la voie la plus efficace, d’où un excès risque unitaire correspondant à une concentration plus élevée pour la voie respiratoire, issue d’exposition alimentaire. L’ERU signifie une valeur toxicologique de référence utilisée par les organismes sans effet de seuil, ce qui a été obtenu par hépatiques pour la TCDD.

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  • l’ERU est l’excès de risque unitaire.
    Sa valeur pour une exposition chronique par inhalation est 4 fois plus élevée que pour une exposition alimentaire pare qu’il est plus difficile aux substances de pénétrer l’organisme par les voies aériennes,

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  • – Les deux valeurs de l’excès de risques indiquent qu’il faudrait 4 fois plus de TCDD par voie respiratoire contre 1 fois par voie orale pour provoquer un cancer chez un individus dont l’espérance de vie est à 70 ans. La voie orale présente donc plus de risque que la voie respiratoire.
    – ERU = Excès de Risque Unitaire ; Il exprime la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapportés à une mesure de l’incidence :
    Pour prendre l’exemple du cancer, c’est le nombre de cas attribuables à l’exposition pour 100000 individus et par année.

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  • La principale voie d’exposition au 2,3,7,8-TCDD est la voie orale. L’ERU étant défini comme Excès de Risque Unitaire il sera donc plus élevé par inhalation du fait que cette inhalation peut se faire directement par la bouche sans passer par aucun produit alimentaire comme c’est le cas de l’ingestion.
    Le terme ERU signifie Excès de Risque Unitaire qui est le risque de développer un cancer du fait d’une substance suite à une exposition continuelle sur toute la vie

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  • L’ERU signifie Excès de risque unitaire. Il s’agit de la dose pour laquelle le risque correspond à un nombre de cas rapportés à une mesure de l’incidence. C’est le paramètre de base pour calculer une VTR pour les effets sans seuil, qui concernent les substances à effet stochastique ou probabiliste pour lesquels la fréquence des effets augmente avec la dose (par exemple les cancers).
    La différence entre les valeurs de l’ERU déterminées par l’OEHHA pour une exposition chronique par inhalation et pour une exposition alimentaire 2,3,7,8-TCDD s’explique par le fait que l’absorption d’une substance par l’organisme dépend notamment de la voie d’exposition et, qu’en fonction de celle-ci, la concentration nécessaire pour que la substance soit absorbée n’est pas la même.

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  • La voie d’absorption orale est plus considérable, d’où un excès risque unitaire correspondant à une concentration plus élevée par inhalation. à partir d’expériences de comparaison toxicologique entre la voie respiratoire et d’exposition alimentaire.

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  • L’ERU correspond à une VTR mais en retirant l’effet seuil. Il semblerait que l’exposition par inhalation est plus efficace car la valeur ERU est plus importante.

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  • Nous constatons que l’ERU pour l’exposition orale est quatre fois supérieure à ERU par inhalation. Cette différence est due au faite que les substances qui pénètrent dans les voies respiratoires sont éliminées en grande partie par le mécanisme « mucociliaire escalator » tandis que les substances ingérées (voie orale) pénètrent directement dans le sang par absorption intestinale.

    L’ERU signifie Excès de Risque Unitaire. Il correspond à la probabilité supplémentaire pour qu’un individu exposé à un facteur de risque développe une pathologie par rapport à un individu non exposé.

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  • L’E.R.U (Excès de Risque Unitaire) représente le nombre de cas attribuables à une exposition à une unité de dose pour une population et une durée d’exposition données. Ce paramètre est utilisé pour les effets sans seuil. Les deux ERU peuvent s’interpréter comme ceci :

    -  ERU (exposition chronique par inhalation) = 4.10-5 par μg/kg/j , 4 cas de cancers pour 100000 habitants et ;
    -  ERU (exposition chronique par ingestion) = 10-5 par μg/kg/ 1 cas pour 100000 habitants.

    Pour cette source, l’OEHHA, la voie d’exposition par inhalation est plus dangereuse que par ingestion ; la quantité d’aliment ingérer en même tant que la substance pouvant influencer sa concentration mais aussi son action (contact avec certains organes).

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  • ERU signifie excès de risque unitaire. Il est calculé pour les substances à effets sans seuil à partir d’une courbe montrant les probabilités de survenue d’effets en fonction d’une dose ou d’une concentration.
    Les différences s’expliquent ici parce que le premier ERU est déterminé à partir d’une exposition chronique et par inhalation alors que le second à partir d’expositions alimentaires.

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  • Pour une exposition chronique par inhalation les risques sont plus élevés que une exposition alimentaire ce qui explique cette différence.
    Par exemple pour une exposition chronique le risque de développer un cancer serait plus élevé que celle de l’exposition alimentaire.
    ERU:Exposition Route Unity

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  • La différence concerne les voies d’exposition. La voie orale est la plus efficace et donne donc lieu à un ERU plus faible.
    ERU : Excès de risque unitaire, est une VTR utilsée pour les substances sans effet de seuil de dose.

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  • cette différence explique le fait qu’il y a 4 fois plus de risque lors d’une exposition chronique . cela peut s’expliquer par la protection des organes par la vois alimentaire

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  • cette différence explique le fait qu’il y a 4 fois plus de risque lors d’une exposition chronique . cela peut s’expliquer par la protection des organes par la vois alimentaire

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  • ERU signifie Excès de Risque Unitaire

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  • ERU : Excès de Risque Unitaire utilisé dans le cas d’effet sans seuil de dose.
    L’instance préconisant ces ERU différencie une exposition chronique par inhalation et une exposition alimentaire. Les VTR étant spécifiques d’un effet, d’une voie d’exposition et d’une durée d’exposition, il est normal que les valeurs obtenues soient différentes. La voie orale expose à un plus grand risque donc la valeur d’ERU préconisée est plus faible.

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  • L’ERU ou excès de risque unitaire exprime le différentiel de risque (Excès de risque) par unité de dose et ser à déterminer la VTR pour les situations sans seuil. Il exprime la dose pour laquelle lerisque correspond à un nombre de cas rapportés à une mesure de l’incidence.
    L’ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition par inhalation contre une ERU de 0-5 par μg/kg/j pour exposition alimentaire est la preuxve que le risque associé à une substance dangereuse varie en fontion des conditions d’exposition, notamment, de la voie d’absorption.

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  • La toxicité de la substance " 2,3,7,8-TCDD "exprimée en ERU ou REL est 4 fois plus toxique par voie respiratoire que par voie orale. Cet écart pourrait s’expliquer par la volatilité de cette substance ainsi que le volume de gaz échangé au niveau des voies respiratoires.
    ERU est l’excès de risque unitaire pour un ensemble d’individus exposé si situation de toxicité sans seuil

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  • L’excès de risque unitaire (ERU) est la probabilité supplémentaire par rapport à un sujet non exposé qu’un individu contracté un cancer s’il est exposé pendant sa vie entière à une unité de dose de la substance. L’ERU pour l’exposition par inhalation est quatre fois plus élevés que celui par voie alimentaire, cela est due à la volatilité de la substance. Il y’a beaucoup plus de perte quand la substance est sous forme gazeuse.

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  • L’ERU par inhalation est moins efficace (car rejet à l’expiration) que par voie orale qui a plus de contact direct avec les organes.

    L’Excès de risque unitaire correspond à la valeur toxicologique de référence pour les effets toxiques sans seuil

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  • L’OEHHA préconise pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation et un ERU de 10-5 par μg/kg/j pour une exposition alimentaire. Commentez cette différence et donnez la signification du terme ERU (ou REL en anglais).

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  • La difference est que le risque de toxicite pour l’exposition chronique par inhalation d’une personne est plus eleve que le risque de toxicite pour une exposition alimentaire .

    Signification du terme ERU = Exces de Risqué Unitaire

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  • Cette substance est plus toxique par inhalation que par exposition alimentaire. Donc la voie orale serait plus efficace que la voie digestive ; car par voie orale l’ERU est 4 fois supérieure à celui de la voie digestive.

    ERU= Excès de Risque Unitaire

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  • On observe que l’ERU par une exposition chronique par inhalation est 4 fois supérieur par rapport à l’ERU pour une exposition alimentaire. Ceci s’explique du fait que l’exposition alimentaire est liée à la forme particulaire des dioxines. On trouve donc une concentration plus élevée pour l’inhalation que pour l’exposition alimentaire. Ainsi L’OEHHA préconise pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU 4.10-5 par μg/kg/j qu’ils sont plus faibles par les voies digestives que par les voies d’inhalation. L’ERU = VTR sans effet de seuil qui est obtenu grâce à l’étude.

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  • On observe que l’ERU par une exposition chronique par inhalation est 4 fois supérieur par rapport à l’ERU pour une exposition alimentaire. Ceci s’explique du fait que l’exposition alimentaire est liée à la forme particulaire des dioxines. On trouve donc une concentration plus élevée pour l’inhalation que pour l’exposition alimentaire. Ainsi L’OEHHA préconise pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU 4.10-5 par μg/kg/j qu’ils sont plus faibles par les voies digestives que par les voies d’inhalation. L’ERU = VTR sans effet de seuil qui est obtenu grâce à l’étude.

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  • La difference s’explique par la voie d’exposition : inhalation et ingestion. Les voies d’assimilation, de métabolisation et d’élimination étant differente, les valeurs seuils le sont également. Notons dans le cas présent qu’elle est 4 fois plus toxique par voie alimentaire (ingestion) que par voie respiratoire (inhalation), car il faut 4 fois moins de 2,3,7,8-TCDD pour être toxique.
    L’ERU, ou excès de risque unitaire, correspond à une VTR sans effet de seuil (potentiellement cancérigène) là ou le QD (coéficient de danger) s’applique aux VTR avec effet de seuil.

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  • Par définition l’excès de risque unitaire (ERU) = ERI/Ci (concentration moyenne inhalée ou ingérée dans l’exemple ci dessus)
    la valeur de l’exposition chronique est supérieure à. Celle de l’exposition aigue (alimentaire) cela indique que la concentration moyenne inhalée de façons chronique est inférieur à celle ingérée par l’alimentation.

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  • Pour les DIOXINES :
    La mortalité, un amaigrissement, une augmentation de l’excrétion des porphyrines et de l’acide delta aminolvulinique urinaires, une augmentation de l’activité sérique d’enzymes hépatiques (-GT, phosphatase alcaline…). Des changements histopathologies ont mis en évidence au niveau du foie, des tissus lymphoïdes, pulmonaires et vasculaires. Une prolifération du réticulum endoplasmique granuleux décelé dans le foie. A 10 mg/kg/j, les effets étaient moindres, avec toujours des lésions hépatiques et pulmonaires. La dose de 1 mg/kg/j n’a pas produit d’effets toxiques décelables et est donc considère comme un NOAEL dans cette étude. Facteurs d’incertitude : un facteur 100 est appliqué. Un facteur 10 pour l’extrapolation des donnes animales l’homme (variabilité interspécifique) et un facteur 10 pour la variabilité au sein de la population (variabilité interspécifique). Calcul : 0,001 g/kg/j x 1/100 = 10 mg/kg/j = 10-8 mg/kg/j = 10-5 g/kg/j Pour le calcul de la valeur par inhalation, une extrapolation voie a effectue, en utilisant un facteur de 3 500 g/m3 par mg/kg/j. Calcul : 10-8 mg/kg/j x 3 500 g/m3= 3,5.10-5 g/m3 (arrondi 4.10-5)
    Il faut 4 fois plus (0,0004 µg/kg/j) de TCDD par voie respiratoire
    contre 0,0001 µg/kg/j par voie orale.
    C’est du reste parfaitement logique : au niveau pulmonaire, une partie du xénobiotique va être exhalée, une autre va être prise en charge par l’ascenseur mucociliaire, etc. Par contre, par voie orale, la TCDD (liposoluble) dans le bol alimentaire va être digérée et passer (comme
    les nutriments) dans le sang puis se stocker dans les adipocytes. Il faut bien comprendre que l’ERU vous donne une dose ...et elle est 4 fois supérieure pour un un excès de risque (= un risque supérieur à la normale).
    Autrement dit, la DOSE déterminant l’excès de risque est 4 fois supérieure par voie respiratoire (4 versus 1), donc en toute logique la dose par voie orale est 4 fois inférieure, ce qui signifie bien que
    c’est celle qui présente le plus de risque (produits laitiers, etc.)

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  • Pour les DIOXINES :
    La mortalité, un amaigrissement, une augmentation de l’excrétion des porphyrines et de l’acide delta aminolvulinique urinaires, une augmentation de l’activité sérique d’enzymes hépatiques (-GT, phosphatase alcaline…). Des changements histopathologies ont mis en évidence au niveau du foie, des tissus lymphoïdes, pulmonaires et vasculaires. Une prolifération du réticulum endoplasmique granuleux décelé dans le foie. A 10 mg/kg/j, les effets étaient moindres, avec toujours des lésions hépatiques et pulmonaires. La dose de 1 mg/kg/j n’a pas produit d’effets toxiques décelables et est donc considère comme un NOAEL dans cette étude. Facteurs d’incertitude : un facteur 100 est appliqué. Un facteur 10 pour l’extrapolation des donnes animales l’homme (variabilité interspécifique) et un facteur 10 pour la variabilité au sein de la population (variabilité interspécifique). Calcul : 0,001 g/kg/j x 1/100 = 10 mg/kg/j = 10-8 mg/kg/j = 10-5 g/kg/j Pour le calcul de la valeur par inhalation, une extrapolation voie a effectue, en utilisant un facteur de 3 500 g/m3 par mg/kg/j. Calcul : 10-8 mg/kg/j x 3 500 g/m3= 3,5.10-5 g/m3 (arrondi 4.10-5)
    Il faut 4 fois plus (0,0004 µg/kg/j) de TCDD par voie respiratoire
    contre 0,0001 µg/kg/j par voie orale.
    C’est du reste parfaitement logique : au niveau pulmonaire, une partie du xénobiotique va être exhalée, une autre va être prise en charge par l’ascenseur mucociliaire, etc. Par contre, par voie orale, la TCDD (liposoluble) dans le bol alimentaire va être digérée et passer (comme
    les nutriments) dans le sang puis se stocker dans les adipocytes. Il faut bien comprendre que l’ERU vous donne une dose ...et elle est 4 fois supérieure pour un un excès de risque (= un risque supérieur à la normale).
    Autrement dit, la DOSE déterminant l’excès de risque est 4 fois supérieure par voie respiratoire (4 versus 1), donc en toute logique la dose par voie orale est 4 fois inférieure, ce qui signifie bien que
    c’est celle qui présente le plus de risque (produits laitiers, etc.)

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  • l’ERU se calcule pour les toxiques sans effet de dose, souvent pour les effets cancérigènes,c’est l’excès de risque de cancer pour une unité de dose reçue vie entière. La TCDD est donc 4 fois plus toxique par inhalation que par ingestion.

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  • L’OEHHA préconise pour la 2,3,7,8-TCDD un ERU de 4.10-5 par μg/kg/j pour une exposition chronique par inhalation et un ERU de 10-5 par μg/kg/j pour une exposition alimentaire.
    Selon l’ADEME, une exposition chronique est caractérisée par une exposition persistante, continue ou discontinue, se produisant sur une longue période (ayant lieu sur une période comprise entre plusieurs années et la vie entière). Pour cette molécule de dioxine ( 2,3,7,8-TCDD ), quand l’exposition est orale, l’excès de risque unitaire ou REL est plus faible que quand cette même substance est administrée ou dont l’exposition se fait par voie respiratoire.
    Donc, une personne chroniquement exposée par voie respiratoire (inhalation) reçoit une plus forte dose de produit toxique ( 2,3,7,8-TCDD ) dans son organisme que si elle était exposée par voie alimentaire ou le risque est plus faible.

    ERU ou REL (Excès de Risque Unitaire) est l’excès attendu de cas d’une pathologie donnée, consécutif à l’exposition continue (24h/24), sur une vie entière (70 ans), à une concentration de 1 unité de la substance A.

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  • Il est obligatoire de prendre en compte le facteur d’incertitude pour convertir en dose journalière admissible, la DSENO de 0,1 μg sera divisée par 3 pour le passage à l’homme, puis par 10 pour la variabilité humaine. Une première valeur de référence pourrait être 0,0033 μg/kg/j, arrondie à 3.10-6. Il est possible d’appliquer un facteur de correction supplémentaire pour tenir compte de la biodisponibilité alimentaire usuelle puis que la TCDD a été délivrée aux animaux
    La courbe dose-réponse peut être facilement interprétée cependant elle manque la précision pour dire si l’exposition et aigu ou chronique dans la graphique présentée.

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  • La voie alimentaire est plus adaptée et plus risquante.
    L’ERU est une VTR (unité de mesure dans les données sur les études animales toxicologiques portant sur les tumeurs).

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  • La voie alimentaire est plus adaptée ainsi et plus risquante.
    L’ERU est une VTR(unité de mesure dans les études expérimentales sur les animaux portant sur les risques cancérigènes)

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