Il nous est bien sûr aujourd’hui difficile de ressentir (ou parfois d’admettre) une "connexion" à la Nature comme nous le constatons encore face aux peuples que l’on qualifie d’autochtones et, pourtant, l’histoire de l’humanité nous montre que par le passé il en était autrement, au moins jusqu’au XVIIème siècle.
L’histoire retracée dans le texte joint est forcément partielle, elle ne déroule que quelques fils, ne mentionne pas tous les protagonistes. Mais, elle vise à faire ressortir la dialectique entre les idées et les pratiques qu’elles rendent possibles et leurs contributions aux transitions, en fonction des circonstances historiques et culturelles.
Comme dans le reste des cours je reste dans le passé, en vous laissant la possible transposition à la situation actuelle. Il ne s’agit en aucun cas de me faire dire qu’il était mieux avant. Pour autant, je constate que des thèmes, rites, croyances, traditions, réémergent, s’opposent, remplacent, se combinent, affectant les trajectoires. Alors, quelle place occuperaient les symboles, les récits, dans toute tentative de transition vers un avenir souhaité ? Y a-t-il plus que la froide (et normalement désintéressée) rationalité scientifique ? Vous avez ici la piste pour un autre sujet de devoir à présenter pendant les TD.