Le « prix hédoniste » de la pollution devrait être le même pour tous, ce qui suppose la similitude des fonctions d’utilité, chaque individu attachant la même valeur aux divers déterminants de la valeur du logement (attributs).
Cette hypothèse est manifestement très réductrice : non seulement la perception subjective de la pollution, mais encore les « valeurs », attribuées à ces déséconomies, varient d’une personne à l’autre. Au bout du compte, c’est un mélange hétérogène de fonctions d’utilité qui se trouve ainsi évalué, de sorte que l’on ne pourra connaître avec précision ce que recouvrent les prix hédonistes mesurés.