Il est logique que l’accumulation d’un xénobiotique sera proportionnelle au volume sanguin qui passe dans cet organe.
Les différences de l’étendue de la toxicité d’un organe à l’autre peuvent être dues :
Il est logique que l’accumulation d’un xénobiotique sera proportionnelle au volume sanguin qui passe dans cet organe.
Après l’absorption, le xénobiotique se trouve sous forme libre ou lié dans la circulation sanguine et se diffuse dans différents compartiments. La richesse en vaisseaux vasculaires est considérée comme un élément pouvant être la cause de l’importance de la différence de toxicité entre organes. Le foie qui est richement vascularisé est un important organe d’élinmination mais en même temps peut être victime d’intoxication.
La présence de récepteurs pour le xénobiotique est aussi un facteur important.
Oui à l’importance de l’irrigation vasculaire car un organe richement vascularisé aura une forte capacité d’absorption du xéno biotique. C’est le cas des intestins, de la muqueuse buccale sublingual.
Oui à l’importance de l’irrigation vasculaire car un organe richement vascularisé aura une forte capacité d’absorption du xéno biotique. C’est le cas des intestins, de la muqueuse buccale sublingual.
S’il ya un défaut au niveau de l’irrigation vasculaire, l’élimination devient lente
Non, le xénobiotique n’arrivera pas dans le tissu avant d’être éliminé.
plus l’organe est vascularisé, plus il reçoit des quantités importantes du toxique
En effet. Plus un flux sanguin transportant un xénobiotique irrigue un organe, avec possibilité d’accumulation, l’étendue de la toxicité va augmenter.
oui, le xénobiotique sera proportionnelle lors de l`accumulation au volume sanguin passant dans cet organe.
Oui à l’importance de l’irrigation vasculaire car un organe richement vascularisé aura une forte capacité d’absorption du xéno biotique. C’est le cas des intestins, de la muqueuse buccale sublingual.
La possibilité d’un organe d’absorber une certaine quantité de xénobiotique est directement proportionnelle à la concentration de ce dernier. C’est pour ça que les organes les plus irrigués sont souvent les plus atteints.
Oui car plus le sang est "fluide", plus le xénobiotique aura facile à atteindre son organe cible. Puisque l’irrigation vasculaire sera importante...
Oui car plus l’irrigation d’un organe est importante, plus le stockage du xénobiotique sera important.
Car l’accumulation d’un xénobiotique sera proportionnelle au volume sanguin qui passe dans cet organe.
le sang étant le principal conducteur des xénobiotique, l’importance de l’irrigation vasculaire influe sur la toxicité entre les organes.
Plus l’organe est irrigué par les vaisseaux sanguins plus il va subir les effets du xénobiotique.
Plus l’organe est irrigué par les vaisseaux sanguins plus il va subir les effets du xénobiotique.
Oui, plus l’organe est irrigué plus le risque d’accumulation est élevé
plus l’organe est vascularisé, plus il reçoit des quantités importantes du toxique
Non, le système vasculaire peut être emprunté par les toxines, mais la lente circulation du sang fait qu’il contribue peu à la diffusion des toxines d’un organe à un autre.
L’accumulation d’un xénobiotique sera proportionnelle au volume sanguin c’est à dire plus ils s’accumulent plus le volume sanguin est intéressant dans cet organe.
A partir du site d’absorption, le xénobiotique diffuse au niveau des différents compartiments de l’organisme selon un processus qui obéit à des règles biophysiques. Plus le compartiment est richement vascularisé, plus la toxicité de la substance diminue. Donc les différences de l’étendue de la toxicité d’un organe à l’autre peuvent être dues à l’importance de l’irrigation vasculaire
l’abondance de la toxicicité accroit la vascularité d’un organe
la concentration du xénobiotique est égal à la quantité de sang qui traverse l’organe
oui ça pourrait être le cas aussi
Oui ,l’importance de l’irrigation vasculaire car un organe richement vascularisé aura une forte capacité d’absorption du xénobiotique. C’est le cas du riche réseau vasculaire intestinal qui converge vers la veine porte qui arrive au niveau du foie,un organe qui assure d’importante fonctions dont la détoxification et ou bio transformation
Plusieurs paramètres gèrent le temps de transit et les passages de la substance dans les divers organes. Certains organes disposent de fonction de biotransformation ce qui leur confère un pouvoir de transformation de la substance d’où la différence de l’étendue de la toxicité à un autre organe à autre avec une autre population cellulaire qui peut la rendre plus vulnérable.
L’étendue de la toxicité d’un organe dépendrait plutôt de la capacité de la substance à traverser les membres biologiques jusqu’à sa distribution dans le sang donc à l’atteinte d’autres organes, ce qui n’est pas toujours le cas, le corps humain disposant d’autres organes capable d’éliminer le produit sans que ce dernier ait pu atteindre la circulation sanguine.
L’absorption d’un xénobiotique
l’accumulation de xénobiotique sera proportionnelle au volume sanguin qui passe dans cet organe.
Les organes internes fortement irrigués atteignent généralement la plus forte concentration toxique dans le temps le plus court ; de même, l’état d’équilibre entre ces organes et le sang est atteint plus rapidement. La captation des toxiques par les tissus moins perfusés est plus lente, mais la rétention y est plus forte et la durée de séjour plus longue (accumulation) en raison de la faible perfusion.
l’accumulation d’un xénobiotique est égale au volume de sang passant par cet organe.
L’irrigation des tissus est un facteur limitant de la distribution tissulaire des xénobiotiques . Les tissus les plus vasculaires sont le cœur, rein, foie, poumons…ces tissus reçoivent rapidement des grandes quantités des xénobiotiques mais ce ci sont également rapidement éliminés en raison du débit sanguin élevé.
La concentration du xénobiotique est égale à la quantité de sang qui traverse l’organe qui aura une forte capacité d’absorption
L’absorption en fonction de la quantité de xénobiotique par organe augmente plus sa toxicité.
Evidemment à l’importance de l’irrigation vasculaire, l’exemple de l’intestin.