En effet, l’introduction de groupements plus ou moins polaires sur les xénobiotiques absorbés permet aux enzymes de phase II d’agir (transferts de groupements facilitant l’élimination).
En effet, l’introduction de groupements plus ou moins polaires sur les xénobiotiques absorbés permet aux enzymes de phase II d’agir (transferts de groupements facilitant l’élimination).
oui , pendant la phase enzymatique les xénobiotiques se fixent sur les recpteurs et induisent les enzymes de la phase I (cytochromes P450). Il ya activation des recepteurs par fixation des ligands il s’en suit une augmentation de la transcription des enzyme de la phase I dont l’activation des xénobiotiques.
Des xénobiotiques sont parfois sous forme inactive à l’absorption et deviennent activés après les phases enzymatiques I et II
Les enzymes de la phase I introduisent des sites réactifs qui permettent la fixation de groupements chimiques divers. C’est la phase de conjugaison catalysée par les enzymes de la phase II en vue d’une élimination éventuelle de la substance conjuguée.
pendant la phase enzymatique les xénobiotiques se fixent sur les recpteurs et induisent les enzymes de la phase I . Il ya activation des recepteurs par fixation des ligands ensuite il ya une augmentation de la transcription des enzyme de la phase I dont l’activation des xénobiotiques.
L’activation des xénobiotiques par les complexes poli-enzymatiques de la phase I se réalise essentiellement à niveau de la fraction microsomiale hépatique, où la modification de leur structure aboutit à une augmentation d’hydrophilicité, qui facilitera l’intervention des enzymes de la phase II. Ceux derniers, catalyseront des réactions entre les molécules obtenues en phase I et des groupements glucuronide, sulphate, glutathion et certains aminoacides, comme la glycine. Les molécules hydrophiles obtenues seront plus facilement éliminées.
Oui car les enzymes de phase II permettent de rendre les xénobiotiques plus réactifs.
Oui car les enzymes de la phase 2 rendent plus réactifs les xénobiotiques.
c’est à partir de transferts de groupement vers les enzymes de phase II qui rends les xénobiotiques plus réactifs.
La phase enzymatique se déroule généralement dans le fois
les enzymes de la phase II assurent la détoxification afin de permettent l’élimination des toxines par les enzymes de la phase III
Oui c’est la phase II
Car les enzymes de phase II permettent de rendre les xénobiotiques plus réactifs.
Non, la phase enzymatique du métabolisme des xénobiotiques a essentiellement pour rôle la détoxification de l’organisme. Mais, le plus souvent, c’est la dose qui provoque l’activation des formes toxiques par saturation des enzymes de détoxification.
En effet, les enzymes de la phase II permet le transfert des groupements facilitant l’élimination:c’est l’essentiel.
Lorsque les molécules lipophiles ne peuvent plus traverser aisément les membranes cellulaires pour se retrouver à l’intérieur des cellules, il existe des enzymes responsables de l’introduction de groupes qui leurs confèrent une certaine hydrophilicité (phase I) et facilitent la deuxième phase. Celle-ci est à mettre au compte d’une autre catégorie d’enzymes (phase II) qui conjuguent des groupements spéciaux sur des sites prévus à cet effet (résultats des réactions de phase I), aboutissant à de grosses molécules hydrophiles pouvant facilement être éliminées.
L’induction enzymatique rend les enzymes capables de biotransformer un ou plusieurs xénobiotiques
oui parce que les enzymes de phase II agissent sur les xénobiotiques
Oui les enzymes sont aussi capables d’agir sur un ou plusieurs xénobiotiques pour les rendres soit plus réactifs soit moins toxiques....
Oui,les enzymes de la phase II assurent la détoxification afin de permettre l’élimination des toxines par les enzymes de la phase III.
Cette phase consiste plutôt à éliminer le xénobiotiques ou dans le cas contraire, ce qui est le cas des xénobiotiques sous forme inactive qui ne s’activent qu’après son passage dans le foie.
Les enzymes de phase II permettent de rendre les xénobiotiques plus réactifs et facilitent l’élimination.
La réponse est affirmative car les enzymes étant des catalyseurs biologiques sont impliquées dans le métabolisme des xénobiotiques et leur induction
Les enzymes de la phase I (cytochromes P450) sont induits par AhR, suite à la fixation d’un ligand. Il en est de même après activation d’autres récepteurs nucléaires orphelins dont les ligands sont des stéroïdes : Le récepteur à l’androstane constitutif (CAR), Le récepteur X au pregnane (PXR),
Les enzymes de la phase II sont généralement induits par des composés différents, électrophiles ou nucléophiles, ce qui correspond à l’action des enzymes en question qui catalysent le transfert de divers groupements (UDP-glucuronosyl, glutathion, sulfate, N-acetyl) sur les sites accepteurs de ces xénobiotiques. Les composés phénoliques ou les isothiocyanates induisent les gènes de la phase II. Quant aux enzymes de la phase III, il s’agit de transporteurs qui participent à l’élimination des xénobiotiques modifiés ou conjugués par les enzymes des phases précédentes. Il y a donc mise en place d’une action coordonnée de différents systèmes, activés en réponse au stress que représente la perception des xénobiotiques, dans le but de protéger l’organisme par rapport à ces atteintes "environnementales”.
les biotransformations sont des réactions de défense de l’organisme qui conduisent à des molécules moins toxiques et moins actives que la molécule parente. Néanmoins, les métabolites peuvent aussi être plus actifs ou plus toxiques que le médicament administré. Lorsque le principe actif est inactif et que son métabolite est actif, le médicament est appelé « prodrogue ». Par exemple, le valganciclovir est une prodrogue du ganciclovir.
Comme pour certains médicaments, il existe des xénobiotiques qui sont absorbés sous forme inactive. Ce n’est qu’après le passage par le foie que des formes toxiques seront produites. Le plus souvent c’est la dose qui provoque l’activation des formes toxiques par saturation des enzymes de détoxification.
Cela se produit pendant la réaction des xénobiotiques sur les enzymes au cours de la phase II.
Oui, parce que l’interventions des enzymes en deuxième phase rend plus réactifs les substances xénobiotiques.