décisions en termes de politique publique ExternE_question 5_TD1

En termes de politique publique, l’étude doit pouvoir aider les pouvoirs publics à prendre leur décision (« quel type de centrale favoriser dans le long terme ? ») en pleine connaissance de cause.

Quelles décisions en termes de politique publique pourraient-elles être mises en oeuvre en conséquence des résultats obtenus par les études ExternE ?

277 Messages de forum

  • Les résultats dégagés par ExternE pourraient peser dans les orientations des politiques énergétiques au niveau national ou communautaire, les coûts de production dans chaque filière devant aussi bien entendu être pris en compte.

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  • Cette étude pourrait permettre d’effectuer des choix de politiques énergétiques dans un pays afin de limiter les quantités de polluants rejetés et donc les dépenses potentiellement liées aux effets sur la santé et sur l’environnement de certains modes de production énergétique.

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  • avec la maitrise de nouvelles technologies appliquées à l’utilisation du nucléaire, technologie qui minimise les risques d’accident nucléaire et aussi un bon contrôle contre la prolifération nucléaire, les décisions en terme de politique publique à mettre en œuvre pour la production d’électricité sont celles de l’utilisation de l’énergie nucléaire dont le cout externe est le plus bas quelque soit l’actualisation et avec un cout d’effet de serre presque nul.

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  • Selon les résultats de ces études, les coûts externes de l’électricité sont en réalité plus bas. Logiquement, les taxes sur l’électricité devraient baisser et se répercuter jusqu’aux consommateurs finaux.

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  • les décisions en terme de politique publique qui pourraient être mises en œuvres sont : compte tenu des incertitudes sur le cout externes du CO2, il parait nécessaire de comparer les filières entre elle d’abord hors effet de serre et ensuite de les comparer entre elles vis à vis des jets de CO2
    aussi, la valeur statistique de la vie humaine est prise à 17millions de francs et l’évaluation monétaire des décès est faite par une méthode majorante, consistant à multiplier le nombre de décès par la valeur statistique de vie humaine.

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  • De favoriser l’utilisation de telle ou telle forme de production d’énergie.

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  • Un transfert fictif de ressources au profit des pays en développement afin de rapprocher les valeurs de la vie humaine dans les pays en développement de celles utilisées dans les pays industrialisés.

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  • En conséquence des résultats, la politique publique doit encourager les sources d’énergie à moindre pollution et promouvoir une politique de réduction des émissions polluantes, après avoir pris connaissance de l’évaluation des coûts ExternE des différentes sources d’énergie.

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  • L’étude ExternE constitue une avancée méthodologique de nature à guider très utilement les travaux d’évaluation des coûts externes de la production d’électricité.
    Le gouvernement devrait intégrer l’évaluation des dommages à sa réflexion concernant l’évaluation des coûts de référence de la production d’électricité.
    Il serait souhaitable que, dans la mesure où la réduction des émissions de CO2 a été décidée par les gouvernements, l’impact de celle-ci sur le coût du kWh soit pris en compte.
    Le gouvernement devrait faciliter l’accès physique et économique du gaz
    Il devrait promouvoir et développer l’industrie des énergies renouvelables

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  • Les résultats des études externes permettent aux pouvoirs publics de prendre des décisions tout en sachants les risques.

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  • Sur la base des résultats d’ExternE, les décisions politiques publiques seraient :

    - La promotion de l’utilisation des énergies nucléaire, du gaz et de la biomasse dont les coûts externes faibles traduiraient une moindre agression de l’environnement et de la santé des populations.

    - En terme de réduction de l’effet de serre, une politique publique serait la promotion du gaz dont le coût externe est faible comparativement aux autres sources. L’énergie nucléaire étant très propre mais non accessible à tous à large échelle

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  • Une décision pourrait être par exemple de favoriser la filière la moins coûteuse en terme de coûts externes, au détriment des autres (ex : le nucléaire) : politique publique de construction de centrales nucléaires, de vente de centrales nucléaires aux pays étrangers…

    Autres décisions possibles : taxation des énergies les plus polluantes et coûteuses comme le charbon.

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  • Ces études pourront donc permettre aux pays concernés de faire un choix raisonné sur la forme de production d’énergie à privilégier en considérant le facteur coûts-bénéfices liés à ces formes d’énergie.
    Aussi la connaissance des couts externes liés à ces formes de production peuvent être intégrés par le biais d’impôts ou de charges ou utiliser en tant qu’indicateurs des dommages sur l’environnement et la santé.

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  • Les résultats d’ExternE font apparaître un classement nettement en faveur du nucléaire au détriment du charbon et du pétrole, et cela quelque soit le taux d’actualisation retenu, et même avec les actualisations apportées par l’étude de 98 (hors CO2/ avec prise en compte effet de serre, avec les modifications de la valeur de la vie etc...).

    Les 3 filières les plus attractives , et dont les résultats sont proches , sont le gaz, le nucléaire, l’éolien et la biomasse, si l’on ne tient pas compte de l’effet de serre.
    Si l’on tient compte du coût externe du CO2, alors on ne retient plus que le nucléaire, la biomasse et l’éolien. Les résultats du gaz sont relativement médiocres.
    En ce qui concerne les énergies renouvelables, l’éolien et la biomasse paraissent devoir être privilégiées, mais leur apport demeure encore marginal.

    Au niveau des politiques publiques, l’étude ExternE paraît confirmer la validité des stratégies arrêtées de longue date (choix du Général de Gaulle) par la France, qui a privilégié la filière nucléaire ; cependant on peut aussi mentionner que tout en validant ce choix, la prévention des risques d’accidents et la gestion des déchets doivent demeurer des priorités.
    L’étude montre également l’intérêt de développer les filières biomasse et éolien, comme alternative (future) au charbon et au pétrole.
    Enfin, l’étude plaide en faveur de la mise en place à l’échelle européenne d’une taxe carbone, le coût de la tonne de CO2 se situant dans une fourchette de 18 à 46 euros, afin de limiter progressivement les filières charbon et pétrole.

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  • les résultats obtenus par les études ExternE peuvent permettre aux politiques publiques de décider de choisir le nucléaire comme principal mode de production de l’énergie. la réduction des autres modes de production de l’énergie qui ont des coûts externes élevés et leur utilisation comme source d’énergie secondaire.

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  • Les résultats des études de 1995 renseignent que les coûts externes actualisés sont relativement faibles pour l’énergie d’origine nucléraire.
    Dans une perspective de développement durable, les politiques énergitiques doivent s’orienter dans la mise en place d’énergie nucléaire.

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  • Politiques de promotion d’énergies nouvelles renouvelables (bien que celles-ci n’ont pas un coût nul sur la santé publique (ceci en es un danger à cause des calculs faussés) :
    Prise en charge des effets sur la santé publique, les rejets, les accidents et du bruit (cas de l’énergie éolienne)

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  • selon les résultats de l’étude, les coûts externes de l’éolien et de l’hydroélectricité
    sont extrêmement réduits. Aussi, les coûts externes du nucléaire sont relativement faibles. cependant, en ce qui concerne le nucléaire,les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le
    terrorisme.
    Ainsi en terme de politiques publiques, ces résultats permettent de suggérer la mise en œuvre de politiques de promotion des formes d’énergie comme l’éolien et de l’hydroélectricité.

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  • Ces résultats pourraient pousser les politiques à mettre sur pied de bonnes décisions quant au choix des centrales à utiliser préférentiellement et leur devenir (impacts futurs, durée d’exploitation...)

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  • les deux études ExternE 1995 et ExternE 1998 conduit à faire passer le coût de la tonne de
    CO2équivalent de 38,1 à 188,7 F344, soit une multiplication par près de 5 du coût.
    Ceci montre bien le rôle clé de la valeur de la vie humaine, dans l’estimation du coût externe du CO2 par la méthode
    des dommages et les limitations de cette dernière
    La Commission indique clairement les limites de l’exercice ExternE pour le cas du nucléaire.
    Les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme.
    Ainsi en terme de politique publique les dirigeants et les collectivités ont un atout sérieux qui va les guider dans le choix du type d’énergie à promouvoir dans leur localité, pour le mieux vivre des populations

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  • on pourrait utiliser cette méthode pour l’évaluation des risques d’accidents pour l’ensemble des filières de production

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  • Les résultats de l’étude ExternE pourraient permettent d’orienter la politique énergique vers la production d’énergie la moins couteuse, notamment en termes d’impacts sanitaires (mortalité et morbidité) et environnementaux CO2 et effet de serre).

    Le texte proposé peut par exemple donner à penser que l’énergie nucléaire est la moins couteuse (aujourd’hui et dans l’avenir).

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  • la décision peut être la réduction de l`utilisation des filières de production de l`énergie qui génère une forte production de gaz carbonique notamment le charbon et le pétrole et d`encourager l`utilisation de l`énergie éolien, biomasse et nucléaire moins polluantes.

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  • Les prochaines études doivent prendre en compte la non fiabilité de la précédente pour initier une autre étude plus complète. La commission indique clairement les limites de l’exercice ExternE pour le cas du nucléaire. Les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération du nucléaire et le terrorisme. Ces lacunes pourraient être significatives et doivent être clairement soulignées pour toutes autre évaluation

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  • l’évaluation indique les limites de l’ exercice ExternE pour le cas
    du nucléaire. Les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents
    nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le
    terrorisme. Face à ces lacunes le décisions publiques pourraient aller dans le sens d’une réévaluation ou évaluation complémentaire avant toute décision afin d’optimiser l’action( réduction des effets externes dues à la production d’électricité).

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  • Les decisions en terme de politique publique vont s’inscrire dans la logique de la promotion des energies à faible cout externe pour la protection de la sante publique et de l’environnement. C’est notamment le nucleaire et le gaz. il s’agit d’oeuvrer de la consommation des principales formes d’energies que sont le charbon et petrolequi dispose des couts externes avec effet de serre important.

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  • Les décisions en terme de politiques publique mises en œuvre portent sur la promotion des énergies renouvelables telles l’éolien et la biomasse, même si elles n’ont pas un coût nul sur la santé publique elles ne sont pas exemptes de coûts et leur effets doivent être pris en charge sur la santé des populations en cas de rejets et d’accidents.

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  • En fournissant des indications sur les coûts sociaux et environnementaux,les études ExternE aideraient à définir des normes de production, de transport et de gestion des déchets pour les différents types de sources de production d’énergie. Elles faciliteront la décision quand un choix entre les différents types d’énergie s’avère nécessaire car les études sont avant tout comparatives.

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  • Les décisions visent l’approfondissement de questions fondamentales comme : l’évaluation de l’impact des différentes énergies en termes d’ effets de serre, comme la valeur statistique de la vie humaine, l’amélioration de la prise en compte des accidents majeurs, et la définition d’intervalles de confiance pour les résultats obtenus.

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  • Faire reconnaître la dimension politique et admettre les pproches tutélaires. Définir des décisions réglementaires et d’investissement de sécurité.

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  • Previliger le Gaz comme un source d’electricite par rapport au petrol ou de charbon.

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  • Dans la prise d’une décision publique,l’étude doit pouvoir aider à faire le choix des décisions sur le type de centrale à choisir en cernant tous les risques à long terme.

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  • Apres les resultats de 1995, les politiques publiques devraient tendre vers l’utilisation des énergies nucléaires car jugées très satisfaisantes cependant les résultats obtenus en 1998 montrent clairement les limites de l’étude de 1995. Les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme. Ces lacunes pourraient être significatives et doivent être clairement
    Soulignées pour toute évaluation.
    Les nouvelles méthodes ‘évaluations sont à développer pour arriver à des resultats acceptés par les politiques

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  • On pourrait décider l’augmentation de la production des centrales nucléaires au détriment des centrales à charbon, voir même la construction de centrales nucléaires et/ou la fermeture de centrales à charbon.

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  • Cette étude peut aider les pouvoirs publics sur différentes décisions. Par exemple :
    - comment orienter la politique énergétique et le soutien aux différentes filières à court, moyen et LT (ex : soutien aux énergies renouvelables)
    - comment réintégrer les externalités environnementales et sociales sur les filières appropriées (par des taxes sur la production ou la consommation d’énergie fossile par exemple)
    - à quel niveau impliquer chaque filière dans la lutte contre le changement climatique

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  • Transfert fictif de ressources au profit des pays en voie de développement est effectué afin de rapprocher les valeurs de la vie humaine dans les pays en voie de développement.

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  • une décision en termes de politique publique sera de dimunier la production des combustibles, notamment du CO2

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  • Les décisions en termes de politique publique qui pourraient-elles être mises en œuvre en conséquence des résultats obtenus par les études ExternE sont que cette étude sur l’énergie a été décidée dans le but de porter sur l’évaluation des externalités environnementales de l’utilisation de l’énergie. Elle est d’une très grande ampleur a mobilisé plusieurs équipes de recherche dans plusieurs pays de l’Union européenne et s’est déroulée en deux temps.

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  • Décisions en termes de politique publique ExternE :

    révision de la hausse du coût de la tonne de CO2(par prise en compte de la mortalité anticipée résultant d’un réchauffement climatique.

    limites de l’exercice ExternE pour le nucléaire(estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires,les déchets radioactifs,la prolifération nucléaire et le terrorisme).ces lacunes pourraient etre significatives et doivent etre clairement soulignées pour toute évaluation

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  • La politique publique qui pourrait être mise en oeuvre en conséquence des résultats issus de cette étude est la continuation de l’evaluation de externalité dans le cas du nucléaire (qui présente un avantage par rapport au gaz et aux autres combustibles) car, la Commission indique clairement les limites de l’exercice ExternE pour le cas du nucléaire. Les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme. Ces lacunes pourraient être significatives et doivent être clairement soulignées pour toute évaluation.

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  • une mesure sera prise à l’endroit de chacune des énergies ayant un impact sérieux sur la santé , mésuré en terme physiques et en termes monétaires dans tout le cycle du combistible depuis l’extraction jusqu’à la gestion des déchets tout en incluant l’exploitation et les accidents.

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  • A ce niveau, il s’agira de préconiser pour les futures activités de production d’électricité les énergies qui auraient les coûts environnementaux les plus bas c’est-à-dire pour lesquelles on aura constaté des bénéfices énormes et qui engageraient de faibles coûts (utilisation du gaz, par exemple).

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  • C’est l’impact sur l’environnement et la santé qui est étudié pour chacune des énergies, impact mesuré en termes physiques et en termes monétaires. La totalité du cycle du combustible est prise en compte dans les évaluations, depuis l’extraction jusqu’à la gestion des déchets en passant par la production d’énergie, celle-ci incluant l’exploitation et les accidents.

    La conséquence directe peut être l’aval de l’utlisation du nucléraire comme source d’energie du future, par le parlement europeen.

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  • Si les pouvoirs publics se basent sur les études ExternE pour comparer les coûts externes liés aux différents modes de production d’électricité, ils vont clairement décider de développer la filière nucléaire

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  • Les resultats obtenus mis à la disposition des politiques permettent de prendre des décisions politiques visant à adopter le choix energétique les moins polluants .
    Des décisions politiques orientés pour pour atténuer leur ’impact sur la santé et l’environnement .

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  • Les resultats obtenus lors de l’étude pour les couts externes hors C02 et les couts externes CO2 de meme que ceux hors effet de serre montrent que l’UE devra mettre l’accent sur les énergies du nucléaire , gaz et de l’eolien
    Les autres sources d’energies provoquent beaucoup de dommages physiques et économiques

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  • la comparaison des coûts de plusieurs énérgies nouvelles renouvelables
    la valorisation du capital humain prend en compte d’autres paramètres que le PIB/hbt

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  • En termes de politique publique, l’étude doit pouvoir aider les pouvoirs publics à prendre leur décision (« quel type de centrale favoriser dans le long terme ? ») en pleine connaissance de cause.

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  • cette étude sur l’energie a décidée pour determiner les marges d’erreur pour les valeurs des côut externes et definir une courbe se basant sur les caractères statistiques de la distribution des valeurs proposées pour les différents côuts. c’est donc l’impacte de l’environnement et la santé qui sont étudiés pour chacunes des énergies, mesurés en terme physiques et en terme monetaires.

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  • réduction des énergies fossiles.
    promotion des énergies propres(nucléaires) et des énergies renouvelables.

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  • L’étude ExternE est censée apporter des connaissances et des appuis pour les décisions en termes de politique publique.

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  • Les decisions pourraient etre la fabrication des materiaux utilises dans le cycle et la reduction des emissions polluants

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  • Certaines décisions de politique publique pourraient étre prises.
    Un changement de politique énergetique, avec un virage vers les énergies renouvelables combinées au nucléaire pour une vision à long terme.
    Des limites et des normes internationales imposées aux entreprises et industries polluantes, avec en cas de non respect des sanctions.
    Des politiques d’assainissements des zones polluées jusque là.

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  • A partir des résultats obtenus, multiple sont les décisions pouvant être prises : le choix de la source d’énergie principale, la taxation des diverses sources (internalisation de l’externalité) mener des campagnes de sensibilisation des citoyens afin de promouvoir un mode de vie plus économe en terme d’énergie (marcher au lieu de prendre l’auto, l’usage des lampes a basse consommation,…).

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  • les résultats obtenus pourraient inciter les politiques publiques à favoriser l’énergie nucléaire mais on doit tenir compte du fait que les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents
    nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le
    terrorisme.

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  • Corriger les lacunes de cette étude et réévaluer, avec des méthodes peut-être plus "poussées", les estimations pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme.

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  • réorientation de la politique énergétique vers les filières qui ont un cout externe plus bas pour la santé et l’environnement

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  • L’étude ExternE a récemment
    - exposé une approche originale et prometteuse
    visant à déterminer les marges d’erreur pour les valeurs des coûts externes
    calculés pour la France.
    - définis une courbe enveloppe pour les résultats
    des coûts externes, en se basant sur les caractéristiques statistiques de la
    distribution des valeurs proposées pour les différents coûts.
    Ainsi, compte tenu des incertitudes sur les émissions, sur la dispersion, sur
    l’exposition et sur les effets sanitaires
    On constate que les incertitudes sur les coûts externes en fonctionnement normal
    ne remettent pas en cause la hiérarchie des coûts.
    La même démarche reste à faire pour l’évaluation des risques d’accident pour
    l’ensemble des filières de production de l’électricité

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  • Notamment celles concernant le développement, le contrôle et la gestion des activités concernant la production d’énergie. Telles comme la législation sur les normes de qualité environnementale, valeurs limites d’émissions pour les sites industriels : L’analyses des politiques locales et nationales, l’évaluation des plafonds d’émission, une règlementation plus stricte ou l’optimisation des centrales existantes, l’élaboration de stratégies de traitements de déchets, la révision de la gestion et le développement des projets, l’établissement ou révision des taxes sur la pollution, etc.

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  • Décisions de politique énergétique : réduire la consommation d’énergies polluantes et favoriser le développement d’ énergies moins polluantes-couteuses pour la santé humaine et environnementale.

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  • les décisions en termes de politique publique qui pourraient être prisent sont les suivantes :
    -  Définition du montant exact des coûts externes de production d’électricité ;
    -  La révision à la hausse du coût de la tonne de CO2 ;
    -  Réduction ou augmentation des couts externes de production ;

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  • Les energies faussiles sont les plus pollantes. La decision en terme de politique publique serait de les réduire ou fixer d’avantages de normes contraignantes et privilegier les énergies renouvelables et le nucléaire

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  • les politiques peuvent etablir des limites et plus de précaution pour l’utilisation des combustibles,

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  • Les décisions qui peuvent être prises en terme de politiques publiques seraient :
    De promouvoir la (les) filière(s) énergétique(s) pour laquelle(s) les externalités sont les moins importantes ;c’est à dire la filière qui produit moins de dommages environnementaux et de santé publique. Imposé des mesures de protection plus efficaces aux filières énergétiques dont les externalités sont importantes ou très fréquents (à toute les étapes).

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  • En termes de politique publique, l’étude permet aux pouvoirs publics de faire le choix d’un type de centrale en toute connaissance de cause.

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  • D’après les résultats obtenus par ExternE, les décisions publiques à mettre en œuvre pourraient d’orienter vers la priorisation des énergies nucléaires, des énergies renouvelables et du gaz (coûts externes de production d’énergie et de CO2 faible) et la limitation de la production des énergies fossiles (coûts externes de production d’énergie et de CO2 élevées).

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  • L’encouragement des énergies renouvlables ;
    Une politique sanitaire qui considère les risques eventuels ;
    la considération de toutes les nuisances dans leur impact sur l’environnement ;
    l’inclusion de la valeur de la vie humaine dans la conception des politiques publiques.

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  • La principale decision qui decoule de l’étude est le choix de la source d’energie. Il semble evident que la production d’energie fossile (surtout charbon et fuel) est désormais à bannir. L’orientation vers le nucléaire ou les energie renouvenable étant moins dangereuse en terme de santé publique.

    D’autre decisions secondaire peuvent être prise comme la taxation des énergie fossile pour obtenir un "juste prix" pour les utilisateurs.
    Mais encore : - des avantages fiscaux pour les utilisateurs d’energie durable et moins polluante.
    - Appliquer le principe de "pollueur-payeur".
    - équilibrer l’effet de serre créé par la pollution (en favorisant l’accroissement des forets et des aires de verdure)
    - favoriser le progrès technique pour augmenter l’efficacité energetique, mais aussi pour réduire/supprimer les déchets de la production.

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  • En Terme de politique publique, il peut aider a choisir le type d’energie convenable pour reduire le taux globale de CO2 et son impact sur la santé en accord avec le cas de pays soit developpes ou industriels.

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  • Les décisions en termes de politique publique qui pourraient-elles être mises en oeuvre :

    - choix justifiée de source de production d’énergie electrique moins couteux et ayant moins d’impacts sanitaires et environnementaux ;
    - controle des sources d’énergie dans les installations classée.

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  • Les études ExternE ont pour objectif, l’évaluation des externalités environnementales de l’utilisation de l’énergie.

    Les résultats des études doivent aider les décideurs politiques à opter pour les meilleurs choix à opérer en matière d’énergie afin de limiter les dommages environnementaux et sanitaires ; amélioration de la prise en compte des accidents majeurs et la définition des intervalles de confiance.

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  • Les études ExternE ont porté sur l’évaluation des externalités environnementales de l’utilisation de l’énergie.

    Les résultats de ces études doivent aider les décideurs politiques dans les meilleurs choix d’énergie en vue de limiter les dommages environnementaux et sanitaires ; l’amélioration de la prise en compte des accidents majeurs, de la valeur de la vie humaine et la définition des intervalles de confiance.

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  • Les ajustements méthodologiques pour l’évaluation des externalités.
    La prise en compte du coût externe de CO2 et l’analyse du cycle de vie de chaque filière.
    L’étude donne plus d’avantage au nucléaire et au gaz par rapport au charbon et au fuel même s’il y a des lacunes pour l’évaluation des risques d’accident et la gestion des déchets radio actifs.

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  • En termes de politique publique, cette étude peut être une ressource d’outils d’aide à la décision des pouvoirs publics en particulier dans le choix de type de centrales électriques à favoriser dans le long terme connaissant les données du moment.

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  • Cette étude est une aide à la décision pour les politiques publiques qui vont pouvoir juger des coûts-bénéfices de tel ou tel combustible pour la santé et l’environnement.

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  • Les résultats dégagés par ExternE pourraient peser dans l’orientation des pouvoirs publics. Elles permettent aux pouvoirs publics de prendre des décisions tout en sachant les risques (l’utilisation de telle ou telle forme de production d’énergie)

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  • Les décisions en matière de politique publique qui pourraient être prises par rapport à cet étude seront de fermer tel ou tel centrale par rapports aux risque de dégâts sanitaires.

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  • A fin de réduire les émissions polluantes néfaste pour la santé et l’environnement. Les autorités doivent base sur des études pareilles pour luis aidées à prendre des décisions et tranché à des choix des énergies la plus fiable, plus rentable en terme de rendement, moine couteuse pour l’économie, moine dommageable pour la santé et moine polluante pour l’environnement.
    Mais en réalité et malheureusement, les décisions politiques sont influencées par les pressions des grands groups et sociétés gouvernante.

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  • Puisque les coûts externes liés à la production d’électricité sont assumés par l’environnement et par la collectivité. Les résultats obtenus par les études ExternE, peuvent générés des décisions en termes de politique publque favorisant l’utilisation de l’énergie nucléaire ou du gaz au détriment de l’utilisation du pétrole pour la production d’électricité.

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  • ÀEn terme de politique publique cette étude nous donne les sources de production d’énérgie avec un coût d’externalité faible.Nous devons promouvoir les énergies telles que le gaz,le nucléaire, eolien, hydroéléctricité.Tout en faisant attention à la source nucléaire car dans cette étude les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires (accident de Fukushima), les déchets radioactifs à haute activité la prolifération nucléaire et le terrorisme.Le pétrole, le charbon et le fioul doivent êrte combattus car externalité très élevée

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  • Les études ExternE montre qu’au niveau du calcul des externalités des différentes sources d’énergies évalués, la politique publique aurait des intérêts économiques et environnementales de choisir en priorité le nucléaire. Bien évidemment d’autre alternatives s’offrent aux décideurs publiques en autres les énergies renouvelables , ici l’éolien et la biomasse juste avant le gaz en tant qu’énergie fossile.

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  • En matière d’énergie, la politique publique surtout devrait privilégier les énergies renouvelables qui affichent des coûts externes de production faibles que ce soit en tenant compte de l’effet de serre ou non et les gaz qui ont la même tendance.
    Le nucléaire, bien que lui aussi présente des coûts faible, mériterait une attention particulière dans la mesure où les estimations le concernant ne sont pas jugées fiables compte tenu des accidents nucléaires, des déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme. La Commission européenne juge que les lacunes concernant le nucléaire pourraient être significatives et devraient être clairement soulignées pour toute évaluation

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  • les études externes permettent de définir les orientations les plus probantes dans l’évaluation des coûts externes de l’énergie nucléaire, les coûts externes du gaz ,biomasse,les résultats obtenus pour l’éolien et l’hydroélectricité en prenant en compte
    l’ impact sur l’environnement d’autres éléments exemple :les émissions de CO2 ,pour les
    éoliennes les impacts occasionnés par le bruit, Les nuisances, d’encombrement visuel et d’éclairage ,

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  • Les pouvoirs publics doivent prendre en compte les résultats des études Externes et les traduire en politiques publiques en tenant bien sur compte des sources d’énergie à moindre pollution et promouvoir une politique de réduction des émissions polluantes,
    La prise en compte des facilités d’accès physique et économique au gaz, à l’énergie nucléaire, et la promotion des énergies renouvelables ayant des effets moins agressifs sur l’environnement et la santé des populations doivent être des priorités pour les pouvoirs publics.

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  • Le choix de l’énergie nucléaire au détriment des combustibles fossiles et des énergies renouvelables, dans la production énergétique.

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  • l’évaluation consiste généralement à analyser les résultats d’une intervention publique pour savoir si celle-ci a atteint les objectifs qui lui étaient assignés. Plus largement, l’évaluation vise à la construction d’un jugement sur la valeur de l’intervention publique qui se fonde sur « ses résultats, ses impacts et les besoins que cette intervention cherche à satisfaire. Donc ces décisions en termes de politique Externe va renforcer de façon efficace l’intervention politique avec à la base une meilleure connaissance et appréciation du problème.

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  • A partir de cette étude,les décisions en termes de politiques publiques qui pourraient être mis en oeuvre est la production d’électricité à partir du gaz et de l’éolien à cause de leurs coûts externes faibles par rapport aux autres combustibles. De même par rapport au nucléaire qui a des coûts élevés à long terme.

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  • Compte tenu des résultats de l’étude, on peut en déduire que les coûts externes du charbon et du fioul sont sensiblement plus importants que les autres choix énergétiques. L’énergie nucléaire suivie de près par l’éolien, la biomasse et le gaz ressortent avec un certain avantage. Toutefois, l’étude n’est qu’une étude comparative entre différentes options et ne donne pas une vision exacte du coût réel de chaque option. Autrement dit ce n’est pas parce que le nucléaire et l’éolien apparaissent comme moins coûteux que des dommages n’existent pas. D’ailleurs, concernant le nucléaire, l’article alerte le lecteur sur le manque de fiabilité des résultats pour les accidents nucléaires et les déchets radioactifs. Une politique publique réaliste et durable ne peut pas négliger ces aspects. L’incertitude exige d’identifier l’impact préalable des activités. En vertu du principe de précaution, il serait donc pertinent de rester extrêmement vigilant, de conduire des analyses supplémentaires notamment sur les risques associés au nucléaire. Toutefois, comme les urgences climatiques et de pollution atmosphérique n’attendent plus, des mesures s’imposent. Les filières des énergies renouvelables, comme toute activité présentent aussi certains coûts pour l’environnement et la société, mais dans une moindre mesure comme le montre cette étude et ont de plus l’avantage de ne pas présenter de risques majeurs pour la population en cas d’accident ou de phénomène climatique grave. On peut aussi mettre en perspective cette étude avec les études en matière d’efficacité énergétique... puisque l’énergie la moins polluante et la moins coûteuse restera toujours celle que l’on ne consomme pas.

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  • Les décisions qui peuvent être prises en terme de politique publique en conséquence des résultats obtenus par les études externes :
    - Préconiser les sources d’énergie moins polluantes.
    - Institution de taxes réglementaires pour ceux qui utilisent les sources d’énergies plus polluantes.
    - Déterminer les normes d’expositions et les principes de précautions qui vont avec.

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  • Les résultats de ces études devraient permettre aux décideurs de faire des choix éclairés en matière de filière énergétique, de mettre en place un cadre réglementaire approprié en vue de protéger la santé des populations et de réduire les dommages sur l’environnement.

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  • En terme de politiques publiques, les résultats des études peuvent servir dans le choix des alternatives énergétiques, l’internalisation de certains coûts(en nucléaire par exemple), l’indemnisation des "victimes", et les subventions à la production.

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  • On pourrait entreprendre de développer préférentiellement le gaz, vu que quel que soit le taux d’actualisation, il demeure celui qui entraine le moins de pollution et qui permet d’économiser sur le plan sanitaire.

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  • Les décisions en termes de politique publique qui pourraient être mises en œuvre en conséquence des résultats obtenus par les étudees ExternE sont
    - Le gouvernement devrait faciliter l’accès physique et économique du gaz, Il devrait promouvoir et développer l’industrie des énergies renouvelables.
    - D’effectuer des choix de politiques énergétiques dans un pays afin de limiter les quantités de polluants rejetés
    - La réduction des émissions de CO2.
    - L’utilisation des énergies nucléaires car elles sont très satisfaisantes cependant les résultats obtenus en 1998 montrent clairement les limites de l’étude de 1995.
    - Le gouvernement devrait intégrer des nouvelles méthodes d évaluation pour arriver à des resultats acceptés par les politiques.

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  • L’étude ExternE constitue une avancée méthodologique de nature à guider très utilement les travaux d’évaluation des coûts externes de la production d’électricité. Le gouvernement devrait intégrer l’évaluation des dommages à sa réflexion concernant l’évaluation des coûts de référence de la production d’électricité. Il serait souhaitable que, dans la mesure où la réduction des émissions de CO2 a été décidée par les gouvernements, l’impact de celle-ci sur le coût du kWh soit pris en compte. Le gouvernement devrait faciliter l’accès physique et économique du gaz Il devrait promouvoir et développer l’industrie des énergies renouvelables

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  • les décisions suivantes pourraient être prises par l’autorité publique :
    - prioriser une energie en tenant compte des coûts externes
    - procéder au traitement des coûts liés au CO2 pour favoriser une energie plus polluante (charbon par exemple) mais accessible
    - savoir relativiser les avantages/coûts des différentes energie, communiquer avec les populations en vue d’anticiper sur des sources de contestations (nucléaires) cecià partir d’arguments clairs, objectifs

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  • En conséquence des résultats obtenus par les études ExterneE, on pourrait faire la promotion de l’utilisation du gaz comme énergie parce que ses coûts externes hors effet de serre et les coûts externes CO2 sont plus faibles par rapport aux autres sources d’énergie. Par ailleurs, il faut serait intéressant de tenir compte de l’énergie dans les habitats au travers les économies d’énergie et aussi les externalités positives des différentes énergies. La prise en compte de ces paramètres pourraient confirmer ou infirmer l’utilisation de gaz comme source d’énergie la plus efficace.

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  • En terme de politique publique, l’étude peut aider le pouvoir à décider du type d’énergie convenable en connaissance de cause(vu leur impact sur l’environnement et la santé des populations)

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  • Les décisions en termes de politique publique à mettre en œuvre en conséquence des résultats obtenus par les études ExternE sont entre autres la méthode des pertes productives et la disponibilité sociale à payer, considérée comme l’estimation sociale consensuelle.

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  • Les études ont montré le rôle important de la valeur de la vie humaine, dans l’estimation du
    coût externe du CO2 par la méthode des dommages. A cet effet les décisions publiques à mettre en œuvre viseront à limiter les émissions des gaz à effet de serre avec les quotas, et les taxations.

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  • Comme décisions, ces résultats peuvent servir d’indicateur, d’outil d’aide à la prise de décision par les pouvoir publique.

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  • En termes de politique publique, la dimension de planification energétique ne se limite pas (heureusement) aux décisions nationales et le resultat de l’étude « conseil » ExternE sur initiative européenen pourrait venir influencer les prises de décisions gouvernementales.
    Comme illustré dans le rapport, les pays ont choisis différentes stratégies énergétiques en fonction des ressources disponibles mais aussi des coûts. Les conséquences aujourd’hui confirmées des différences de coûts externes et d’impact sur la santé et l’environnement pourrait influencer les prises de décision en faveur de l’investissement, le développement d’une source de production et d’exploitation de l’énergie et électricité, ou à l’inverse de ne pas poursuivre ou de limiter le développement de certaines (les raisons étant diverses environnementales, impact, disparition des ressources, innovation technologiques, rapport coûts bénéfice, exportation ou importation et impact économique etc..).
    Par ailleurs comme stipulé dans le rapport la dimension totale connue de l’investissement en risque (économique, environnemental, santé) dans le nucléaire demeure limité (et paradoxalement nombreux sont les éléments ambivalents en faveur du nucléaire en rapport aux coûts minimes vis-à-vis aux émissions CO2 et gaz à effets de serre), Une des décisions politiques publiques nationales et communautaires pourrait (devrait) s’attacher à mettre en avant une analyse complète des risques et coûts liés aux centrales nucléaires et décision d’augmenter la production d’uranium locale ou délocalisée. Comme le charbon ou le pétrole l’exploitation à long terme de zone de d’exploitation d’uranium seront soumises à des critères d’analyse de coûts externes additionnels non nécessairement étudiés « officiellement ».

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  • Cette étude doit permettre aux pouvoirs publics de prendre leurs décisions en pleine connaissances de cause. A partir de cette étude, ils vont pouvoirs savoir quel type de production choisir en fonction des impacts externes. (impact sur la santé, l’environnement...)

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  • Cette étude devrait permettre aux décideurs d’évaluer le combustible le plus adapté pour la production énergétique, avec des prévisions futures solides en termes de protection de la santé et de l’environnement et en évaluant toutes les avantages et désavantages des possibilités dont ils disposent.
    Une thématique très importante présentée dans l’étude est celle de l’effet de serre, dont les pouvoirs publics doivent aussi tenir compte.
    Enfin, la façon de pouvoir diminuer les externalités dues à la production d’énergie à partir de certains combustibles, tels que le charbon, ou autres combustibles fossiles, par exemple en appliquant des taxes aux producteurs.

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  • Cette étude est essentiellement comparative et a essentiellement pour objet de comparer les coûts de plusieurs énergies, ce qui peut orienter le choix d’une telle ou telle énergie.

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  • Si les pouvoirs publics se basent sur les études ExternE pour comparer les coûts externes liés aux différents modes de production d’électricité, ils décideront clairement de développer la filière nucléaire qui est la moins polluante.

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  • Des décisions reglementaires sont nécessaires pour la mises en oeuvre des consequences des résultats obtenus par les études externes.

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  • Il faudrait un changement vers la détection de production d’énergie propre.

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  • Les résultats obtenus par les études ExternE permettront aux pouvoirs publics de prendre des décisions en connaissance de cause. Par exemple : choisir les orientations énergétiques, choisir les types de centrale énergétique les moins polluante, …

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  • Ces résultats peuvent conduire à choisir une meilleure politique en terme d’énergie pour avoir un impact moindre sur la santé et l’environnement à plus long terme.

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  • Ces études doivent aider les pouvoirs publics à encourager la production d’électricité qui impacte le moins la santé et l’environnement. Cependant, il faut rappeler que ces études ne constituent pas une analyse coûts-bénéfices.

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  • Une décision comme outil ou étude qui peut aider les pouvoirs publiques à prendre leur décision.Par cet outil qu’ils vont mettre en œuvre pour quel type de production en fonction des impacts externes.

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  • Il semble nécessaire que pour favoriser les meilleures prises de décisions par la puissance publique, les mesures ci-après tendant a avoir une somme finie fiable devraient être prises pour réduire ou éviter les limites révélées par les études ExternE ou alors amoindrir la survenance des risques identifiés dans une étude de risques-avantages :
    • Harmonisation des résultats issus des calculs relatifs aux couts externes des études ExternE.
    • Rationalisation de la consommation des ressources énergétiques identifiées et quantifiées, ainsi que leurs impacts sur l’environnement et la santé des populations cibles.
    • Disponibilité et accessibilité à des données collectives exhaustives portant sur les indicateurs sanitaires.
    • Acceptabilité sociale des méthodes de valorisation des effets externes dans le domaine de la santé.
    • Etablissement d’une tarification au « juste prix ».
    • Définition des mesures économiques de la valeur des actifs naturels.
    • Réduction des valeurs cibles de polluants par des décisions publiques plus contraignantes et plus protectrice de la santé.
    • Favorisation de l’équité dans l’accès aux biens d’environnement.

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  • Au vu des résultats, l’Etat pourrait s’orienter vers l’énergie nucléaire et les énergies renouvelables et se désengager vis à vis du pétrole, du charbon et du gaz.

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  • Cette étude qui fait d’une décision politique dans le choix énergétique les moins polluants, et que les énergies ayant un impact sérieux sur la santé, doivent être mesurés en terme physiques et en termes monétaires dans tout le cycle du combustible depuis l’extraction jusqu’à la gestion des déchets tout en incluant l’exploitation et les accidents.

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  • la reduction jusqu’a une suppression de l’utilisation de certaines sources énergetiques comme
    le charbon

    _la préconisation de l’utilisation des energies nouvelles renouvelables et le gaz

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  • Comme décisions publiques au terme des résultats obtenus par les études externE ? on peut retenir comme mode de production d’énergie le nucléaire , ensuite on peut positionner le gaz et l’éolien car ceux la génèrent moins de couts en terme de dommages .

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  • Les résultats des études externes pourraient permettre au pouvoir public de décider de la solution la plus adéquate sur le long terme à adopter

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  • Les décisions en termes de politique publique seraient le chiffrage des coûts environnementaux des différentes filières de production de l’électricité, l’estimation des couts externes de la valeur statistique de la vie humaine, de l’ estimation des valeurs de la mortalité et de la morbidité

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  • Ces décisions peuvent aller de l’abandon d’une sources d’énergie à la mise en place de mesure d’accompagnement pour atténuer les effets de pollution d’une sources donnée :
    – Choix du mode de production d’énergie (en connaissance de cause) : Nucléaire ? gaz ? Charbon ?
    – Promotion des énergies renouvelables jugées moins plus propres (production de moins de déchets toxique pour la santé et l’environnement)
    – Abandon du nucléaire par exemple
    – Mise en place de mesures protectrices pour la production et le transport de l’énergie…

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  • Les décisions sont :
    -  Interdire ou réguler l’utilisation des énergies à coût externe élevé en matière d’effet de serre
    -  Promouvoir les énergies à coûts externes faibles ou nulles en matière d’effet de serre
    -  Accompagner la recherche-action sur les nouvelles technologies d’énergies à coûts externes faibles ou nulles en matière d’effet de serre

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  • Ces études pourraient influencer les états sur la stratégie énergétique mise en place

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  • Les résultats obtenues par l’étude ExternE pourraient permettre de guider les politiques vers la filière de production d’énergie ayant le plus faible coût externe.

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  • Ce type d’étude permettra de choisir les méthodes de production d’énergie les plus rentables en considérant l’ensemble des coûts (production et externe) et de favoriser les moins coûteux.

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  • En conséquence des résultats obtenus par les études ExternE qui sont des études comparatives, les décisions en termes de politique publique pourraient d’opter pour l’utilisation des filières à moindre coûts sur la santé publique pour la production d’électricité.

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  • Les résultats obtenus par les études ExternE pourraient permettre aux décideurs politiques d’adopter une politique énergétique qui protège au mieux la santé humaine et environnementale.

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  • En termes de politique publique, les résultats obtenus par les études ExternE devraient permettre aux décideurs publics de promouvoir une politique de réduction des émissions polluantes mais de faciliter l’accès aux sources d’énergie moins polluante.

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  • Des politiques de réduction des émissions polluantes.

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  • En termes de politique publique, l’étude doit pouvoir aider les autorités publics à prendre leur décision par exemple : promouvoir une politique de réduction des émissions polluantes, après avoir pris connaissance de l’évaluation des coûts ExternE des différentes sources d’énergie.

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  • En conséquence des résultats obtenus par les études ExternE, le pouvoir public pourra faire son choix énergétique tout en sachant les risques et doit tenir compte du contexte de développement durable.

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  • Cette étude servira de base à toute décision publique future et en tenant compte de la durabilité

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  • Au regard des résultats des études Externe de1995 et 1998, les énergies renouvelables telles que l’éolien, les biomasse et l’hydroélectricité sont à privilégier car leurs coûts externes (CO2 et hors CO2) sont faibles comparativement à ceux des combustibles fossiles (charbon, fioul, gaz).
    Les coûts externes du nucléaire sont encore plus faibles mais une des limites de l’étude concerne justement la fiabilité des mesures pour le nucléaire car celles-ci ne prennent pas en compte les cas suivants : accidents nucléaires, déchet radioactif à haute activité, prolifération nucléaire et terrorisme.

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  • Les résultats des études ExternE montrent les coûts l’utilisation des types d’énergie sur liés à l’environnement et à la santé humaine.
    Etant donné que les coûts liés à chaque type d’énergie sont connus, ces études devront permettre aux décideurs de faire le choix entre les types de centrale à promouvoir.

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  • Les décisions en termes de politique publique qui pourraient être mises en œuvre sont une orientation des options énergétiques publiques en Europe dans les temps à venir.
    En effet, selon les résultats des deux études, on constate que les coûts externes pour le nucléaire sont beaucoup plus faibles que ceux des autres principales sources d’énergie. Il convient donc d’encourager l’utilisation de l’énergie nucléaire pour la production de l’électricité dans les centrales énergétiques.

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  • Elle pourrait par exemple déploye le principe de prevention et de limiter au mieux l’exposition des population à des pollutant pouvant avoir un impact sur leur santé.

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  • A la lumière de ces résultats, les décisions politiques publiques qui pourraient être prise par les Etats ou décideurs sont les mises en place des stratégies, des recherches et méthodes complémentaires d’évaluation des impacts des politiques de réduction des polluants pour chaque type d’énergie. En bref, privilégier l’approche coût bénéfice des politiques publiques en matière de production d’énergie

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  • Une décision de politique public peut améliorer vers une filière la moins coûteuse en termes de coûts externes, au détriment des autres (le nucléaire).
    Les études servent à orienter les politiques publics pour prendre des décisions dans la matière et la capacité d’exploiter les combustibles d’énergie.

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  • L’augmentation des couts d’externalité de co2 (le coût externe de
    la tonne de CO2)

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  • Vu que l’étude chiffre le coût réel des différentes filières de production de l’électricité, les résultats doiventt pouvoir aider les pouvoirs publics à choisir la meilleure technologie de production d’électicité

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  • en termes de politique publique , l’étude peut permettre de décider :
    - dans quelles mesures promouvoir quel type d’énergie (renouvelable ou non)
    - des limites en termes de production de polluants
    - des redevances financières à appliquer aux opérateurs en cas d’accidents et de dommages

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  • Au regard de ces études, les centrales à charbon et à pétrole sont évidemment celles qui polluent les plus. Avec ou sans considération de l’effet de serre, avec ou sans actualisation, leurs coûts externes sont les plus élevés. Une norme limitant la quantité annuelle de carbone émis couplée à une taxe proportionnelle à cette même quantité et à la suppression de la subvention de l’état aux centrales à charbon et à gaz (comme c’est d’ailleurs déjà décidé à l’aube de la COP21) seraient plus incitatif.
    Concernant les centrales nucléaires aux quelles ont peut plus associer des craintes aux effets chroniques et à long terme comme le cancer, une loi renforçant la sécurité des travailleurs et la mise ne conformité régulière des installations pourrait venir compléter l’action publique.

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  • En conséquences des résultats obtenues par les études ExternE, la politique publique pourra prendre sa décision en connaissance de cause. Par exemple l’amélioration des politiques énergétiques pour une énergie durable en choisissant les activités à prendre en compte.

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  • A travers les études ExternE, il s’agit d’éclairer les décideurs et responsables politiques sur le type de centrale et d’énergie qu’il faut favoriser, promouvoir et développer à court et long terme, étant donné les conséquences observées sur la santé humaine et l’environnement.

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  • Les résultats obtenus sont de nature à orienter les politiques publiques. En effet et fonction de la nature et de l’ampleur de ces derniers des décisions pourront êtres prises par autorités publiques en termes de choix à faire à moyen et à long termes dans le domaine de la production des énergies....( réduire le nucléaire, développer les éoliennes ou le solaire, ou la géothermie.....etc. )

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  • Les décisions qui peuvent être mise en œuvre en terme de politique publique concerne le choix de types d’énergie . Ce choix tiendra compte des coûts privés et externes. Les décideurs devront mettre l’accent sur l’impact sur l’environnement au niveaux des différents polluants. Enfin les décideurs doivent également tenir compte pour le cas du nucléaire des biais sur le nucléaire en ce qui concerne les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme.

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  • Les résultats obtenus par les études ExternE doivent permettre d’aider les décideurs publics dans leur choix en faveur d’un type de production d’énergie entraînant le moins d’impact sur la santé et l’environnement, en tenant compte du maximum d’éléments.

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  • Pris en l’état, les résultats de l’étude pourraient inciter les pouvoirs publics à prévoir davantage de nucléaire, d’éolien ou de biomasse.
    Néanmoins les conclusions pointent bien des lacunes d’estimations sur les accidents nucléaires et la fin de vie des déchets radioactifs, sujets très sensibles pour l’opinion publique.

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  • En termes de politique publique pour la protection de l’environnement il faut mettre l’accent sur le concept de la valeur statistique de la vie humaine .

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  • En termes de politique publique les résultats obtenus par les études ExternE ,montrent le rôle clé de la valeur de la vie humaine dans l’estimation du coût ExternE ,aussi,la méthode des études ExternE apporte une réponse intéressante à la difficile question de l’addition de coûts privés et de coûts externes ,mais aussi, il suscite l’engouement de l’utilisation de l’énergie renouvelable car elle est moins polluante

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  • Les résultats d’une telle étude fournissent des informations importantes pour les décideurs publiques. Ils contribuent ainsi à faire des choix éclairés avec une conscience accrues des enjeux que présente chaque alternative. Un décideur peut par exemple opter pour la forme d’énergie la moins couteuse en termes d’externalités négatives (problèmes sanitaires et environnementaux).

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  • En termes de politique publique et en conséquence des résultats obtenus par les études ExternE les décisions qui pourraient être prises sont :
    a. Adoption d’un cadre réglementaire afin de faire appliquer les principes qui doivent orienter l’action publique que sont le « principe de prévention », le « principe de participation », le « principe pollueur-payeur » ou encore le « principe de précaution » afin d’assurer le développement durable ;
    b. Elaboration de politique énergétique basée sur la promotion de combustibles et d’énergie propres ;
    c. Amélioration de la gestion des aspects environnementaux liés à l’utilisation de combustibles et à la production d’énergie ;
    d. Elaboration de campagnes d’information, d’éducation et de communication en matière d’impacts liés à la production d’énergie.

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  • l’étude aide les gouvernants à faire des choix politiques énergétiques pertinents

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  • Les résultats des études ExternE peuvent servir à orienter la politique publique vers les énergies ayant les coûts externes les plus faibles. Elles sont une aide à la décision.

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  • Les decisions en termes de politique publique qui pourraient etre mise en oeuvre en consequence des resultats obtenus seraient :

    1-Une politique de gestion energetique
    2- Politique de protection de l’environnement
    3- Politique de gestion economique

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  • L’étude est réalisée pour apporter une compréhension éclairée aux décideurs publiques afin de mieux planifier la politique énergétique au regard du développement durable

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  • Cette étude permettra d’orienter les décideurs en matière de politique énergétique. Elle leur permettra d’opérer des choix sur le type de politique qui sied à court et à long terme tout en connaissant ses éventuels impacts.

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  • La décision en termes de politique publique a être mise en oeuvre en conséquences des résultats obtenus par les études ExternE est la définition d’un observation de surveillance environnemental afin de prendre en compte de façon progressif les coûts des externalités non évaluées ou non prise en compte de façon plus approfondie par les études de 1995 et celle de 1998

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  • A l’issue de cette étude, il serait intéressant de voir comment est-ce que l’un Etat pourrait assurer la promotion de l’utilisation de l’énergie nucléaire tout en qui dont les coûts liés aux impacts environnementaux et sanitaires seraient réduits.
    Il serait également pertinent de développer une politique publique permettant la promotion de la filière énergie éolienne pour réduire les impacts entraînés par l’utilisation de l’énergie fossile et nucléaire. La taxation carbone serait également à mettre en place afin de pouvoir réduire l’utilisation de ces énergies qui sont très polluants.

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  • C’est une vaste question. Là encore, doit-on avoir un point de vue environnemental, sanitaire ou économique ? Dans tous les cas, ces études peuvent servir de support pour prendre des décisions dans ces trois domaines : quelle énergie privilégier pour faire des économies ? Quelle centrale est la moins nuisible pour l’environnement et /ou la santé ? Est-on dans l’utilisation rationnelle de l’énergie (en terme de durabilité) ? etc.

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  • Les études ExternE sont des aides à la décision publique. Désormais, l’État doit agir en connaissance de cause, en privilégiant par exemple la production d’énergie à faible cout de pollution, augmenter la taxe des énergies les plus polluantes ou mettre tout en oeuvre pour réduire le pollution qu’elles génèrent.

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  • En conséquence, les résultats obtenus par les études ExternE seront un support pour que la politique publique puisse prendre des décisions qui seront en corrélation avec les résultats obtenus.

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  • le changement des montants exacts des couts externes de production de l’électricité.Changement qui ;toutefois ne touchent pas les ordres grandeurs
    Ainsi,on peut considérer externe comme la référence en termes de méthode et de résultats pour l’évaluation des couts externes de l’énergie

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  • En conséquence des résultats obtenus par les études ExternE, les décisions en termes de politique publique (politiques publiques, programmes, projets) doivent être basées (fondées) sur des études scientifiques objectives en vue d’avoir une connaissance pertinente des réalités comme savoir par exemple le type d’usine, centrale qu’il faut prioriser et admettre dans le moyen terme et surtout dans le long terme.

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  • En consequence des resultats supprimer l electricite produite par le charbon car valeurs les plus hautes aussi bien pour les polluants classiques surtout so2 et no2, aussi bien que sur le Co2 et sur les couts des maladies professionnelles. Les couts pour le fuel ou petrole sont inferieurs mais suivent de pres le charbon donc a diminuer le plus possible. Pour ces 2 combustibles il faudrait diminuer largement les valeurs no2, co2, so2 de facon a inciter a utiliser d autres energies ou techniques , l etat peut reduire la quantite de droits d emissions a polluer mais parfois cela n ameliore pas la sante, ou donner un quotat d emission et au lieu de faire payer une amende si l industrie depasse les valeurs limites, elle peut acheter des quotats a une industrie sous le seuil d emission, ce qui peut aussi inciter les industries a reflechir comment moins polluer pour ne pas acheter trop de droits a polluer. Par contre il faudrait empecher ou limiter la possibilite pour certaines industries d aller polluer les pays en developpement qui ne sont pas soumis aux quotats. Il faut favoriser la collaboration transfrontaliere. Il faut continuer les controles des emissions et des rejetes des petites industries non soumises aux quotats.
    Pour toute nouvelle installation et meme pour les installations existentes, il faudrait une bonne estimation des couts benefices en tenant compte aussi des couts societaux par exemple de l insecurite ou de l inconfort, et du consentement a payer de la population. Ce calcul pourrait par exemple modifier largement les couts de l etude sur le nucleaire, qui est l energie consideree comme la moins nocive sur la sante et l environnement alors qu avec le contexte actuel d insecurite climatique, d insecurite polititique ou du terrorisme, le risque par rapport aux centrales nucleaires serait certainement le plus massif si un accident survenait.
    Pour les energies qui entrainent le plus d accidents professionnels, comme le charbon, verifier que des scenarios d accidents soient etudies.
    ce serait bien de reflechir a inciter les populations a changer d energie comme les energies renouvelables pour les systemes de chauffage en les aidant financierement, de favoriser la mobilite douce et tous les systemes qui peuvent desengorger les villes en reflechissant que le probleme ne se deplace pas ailleurs.
    il faudrait promouvoir les eoliennes car meme si elles participent un peu a l effet de serre elles ont un cout moindre.

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  • Chiffrer les coûts environnementaux des différentes filières de production de l’électricité, c’est l’impact sur l’environnement et la santé qui est étudié pour chacune des énergies, impact mesuré en termes physiques et en termes monétaires.

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  • Des modifications et des ajustements méthodologiques qui ont été réalisés par les équipes d’externe après la publication des résultats initiaux de 1995, il résulte les évaluations nouvelles publiées en 1998, qui dénotent des changements des montants exacts de coûts externes de production de l’électricité.
    En réalité, on peut désormais considérer ExternE comme la référence en termes de méthode et de résultats pour l’évaluation des coûts externes de l’énergie.
    Elle est consacrée à l’approfondissement de questions fondamentales comme l’évaluation de l’impact des différentes énergies en termes d’effets de serre, comme la valeur statistique de la vie humaine, l’amélioration de la prise en compte des accidents majeurs, et la définition d’intervalles de confiance pour les résultats obtenus.

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  • Les études ExternE apparaissent comme un outils d’aide à la décision tout comme les études coûts - avantages en ceci que, c’est une approche comparative et ses résultats permettent de faire le choix qui soit compatible à la survie de l’espèce humaine (prise en compte de la valeur de la vie dans les calculs économiques) et de l’environnement. A l’issue de ExternE 1995 et ExternE 1998, on constate que le nucléaire, l’éolienne et le gaz sont les sources les moins émettrices d’externalité que ce soit dans les calculs hors ou avec CO2 ou en encore avec ou sans application de la méthode d’actualisation.

    l’option de l’utilisation de l’énergie Nucléaire est la meilleur décision à prendre.

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  • En termes de politique publique, l’étude ExternE peut aider les pouvoirs publics à prendre des décisions, en terme de type de filière énergétique à adopter au long terme, et ce en prenant connaissance de cause (coûts externes liés à la santé publique, coûts externes liés aux maladies professionnelles, coûts externes liés aux écosystèmes terrestres, etc.).

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  • faisant référence à la politique publique, l’étude doit pouvoir aider les pouvoirs publics à prendre leur décision en prenant connaissances de tout..

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  • Mise en place des politiques ciblés sur l’energie

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  • En terme de politique publique, il s’avère important de favoriser l’utilisation des énergies éoliennes, gazeux et notamment nucléaire pour produire l’électricité vu que leurs coûts externes est assez faibles par rapport avec le Charbon et le fioul. Ces énergies avec des externalités faibles permettent à l’État de réduire l’utilisation des charbons et fioul , donc , réduire les dépenses et gagner de budget.

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  • ExternE devrait pouvoir aider les pouvoirs publics à choisir avec conscience quel type d’énergie il faudrait favoriser sur le long terme.

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  • La révision à la hausse du cout des polluants

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  • En termes de politique publique, l’étude doit aider les pouvoirs publics à prendre leur décision tout en sachants les risques.

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  • L’étude ExternE est censée apporter des connaissances et des appuis pour les décisions en termes de politique énergétique donc fin des énergies fossiles. promotion des énergies nucléaires et des énergies renouvelables.

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  • Les résultats obtenus par l’étude peuvent aider les politiques à prendre des décisions stratégiques sur quels combustibles énergétiques prioriser, en prenant en compte l’essentiel des paramètres.

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  • Les décisions en termes de politique publique peuvent permettre prendre des décisions en connaissance de cause.

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  • les résultats obtenus par les études ExternE peuvent aider les politiques publiques à choisir les énergies renouvelables et durables.

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  • Mettre en place des strategies en vue de reduire les polluants a la source.

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  • En saisissant la démarche de cette étude, elle s’inscrit dans une démarche d’accompagner le pouvoir public dans la décision à prendre. Elle fait ressortir toute les complexités et facilite des décisions rationnelles et mesurées.

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  • Des décisions politiques pourraient tout à fait être mises en oeuvre avec une prise en compte des coûts globaux intégrant les coûts des externalités. La modélisation des externalités vient renseigner le décideur public notamment sur l’impact important des externalités des énergies fossiles.

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  • Les résultats des études ExternE peuvent faciliter des politiques de réduction des émissions polluantes en vue de faire des activités industrielles, des activités qui sont socialement acceptables.

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  • La décision de politique publique qui peut être mise en œuvre est d’imposer des amandes sur les producteurs de l’énergie qui dépassent le seul limité pour l’émission de CO2, et d’inciter les producteurs de l’énergie à remédier au matériaux de production de l’énergie non polluants , afin de réduire les risques sur la santé publique

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  • La décision de politique publique qui peut être mise en œuvre est de déterminer les taxes sur dépassement de seuil limité pour l’émission de gaz à effet de serre (principalement le CO2) par les producteurs d’énergie.

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  • Au regard des résultats fournis par les études ExternE, les pouvoirs publics pourraient prendre la décision d’intégrer les coûts engendrés par chaque type d’énergie (fioul, gaz, nucléaire etc.) dans le prix d’achat ou de distribution de cette énergie. C’est ce qu’on appelle l’internalisation des coûts externes.

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  • Les décisions en termes de politique publiques qui pourraient être mises en œuvre en conséquence des résultats obtenus par les études ExternE. Il faut noter que les résultats de ces études constituent une base de données et également un outil d’aide à la décision pour les politiques publiques. Les politiques publiques pourront se baser sur ces résultats afin de prendre de bonnes décisions en matière énergétique. Ces décisions peuvent-être le mode de production, le coût, la protection de l’environnement et de santé humaine, le choix d’une énergie propre moins polluant...

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  • En termes de politique publique peut améliorer vers une filière la moins coûteuse en termes de coûts externes, au détriment des autres. Les résultats de ces études doivent aider les décideurs politiques dans les meilleurs choix d’énergie en vue de limiter les dommages environnementaux et sanitaires.

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  • elle contribue en aidant les pouvoir public à prendre des décisions

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  • elle contribue en aidant les pouvoir public à prendre des décisions

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  • En termes de politique publique, l’étude doit pouvoir aider les pouvoirs publics à prendre leur décision (« quel type de centrale favoriser dans le long terme ? ») en pleine connaissance de cause.

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  • En terme de mise en oeuvre de politique publique, la commission indique les limites de l’exercice externe pour le cas du nucléaire car les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires les dechets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme. Ces lacunes pourraient être significatives et doivent être clairement soulignèes pour toute évaluation.

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  • Peu à peu les résultats d’Externe sont diffusés parmi les décideurs. Par exemple, Externe est devenue la référence pour l’évaluation des risques par des agences telles que l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Dans l’UE, Externe est de plus en plus utilisé pour guider les décisions environnementales, par exemple par l’intermédiaire des analyses coûts-avantages qui justifient des réglementations plus restrictives pour l’émission des polluants des incinérateurs ou des centrales électriques.

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  • l’étude ExternE permet aux décideurs de la politique publique de connaitre les risques et d’avoir une meilleure visibilité dans ce qui concerne l’impact de la production d’électricité afin qu’ils puissent planifier leurs objectifs en fonction de ces résultats à court et à long terme

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  • Par exemple la décision de savoir quelle type d’énergie favoriser à court ou à moyen termes.ou mieux quel type de centrale. Ce sera plus facile de décider avec les résultats de l’étude.

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  • Cette étude doit être un outil d’aide aux décisions en terme de politique publique.

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  • La finalité de l’étude est d’éclairer les autorités à prendre leur choix, en connaissance de cause.

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  • -  L’abandon des énergies les plus couteuses, typiquement le charbon et fioul…
    -  Mais aussi un recours plus important au nucléaire qui d’après cette étude, semble rationnel d’un point de vue économique (ce qui ne tombe pas sous le sens d’un point de vue environnemental et sanitaire...)

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  • Crée un cadre cadre propice a une professionnalisation et une diffusion des bonnes pratiques nouvelles, elle facilite la la conduite régulière de programme d’évaluation et les rend plus visible.
    L’État, qui doit assurer la protection et la sécurité de la population, a suivi au fil du temps diverses pistes pour tenter d’accomplir cette mission régalienne.

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  • - Développement de politiques de production d’énergie basées sur le gaz
    - Renforcement des politiques de production d’énergie d’origine nucléaire (malgré les limites énoncées dans l’étude)
    - Investissement et mise en place de politiques pour le développement des énergies renouvelables de type éolienne et biomasse

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  • la création de nouvelle méthode et un cadre propice qui permet une bonne conduite de programme d’évaluation dans le but d’assurer la sécurité des populations

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  • A notre sens, l’étude est un outil d’aide à la décision. En termes de politique publique, elle peut aider dans la prise de décision relative à la production d’énergie. Elle fournit des données factuelles pouvant éclairer de telles décisions. Par exemple, les données de l’études peuvent à la production d’une énergie respectueuse de l’environnement et de la santé humaine.

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  • En termes de politique publique, l’étude doit pouvoir aider les pouvoirs publics à prendre leur décision en pleine connaissance de cause.

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  • ExternE résulte à évaluer les risques par des agences spécialisées comme l’agence Internationale de l’Energie Atomique, elle est aussi utilisé dans l’évaluation et l’orientation des décisions environnementales afin d’aboutir à des réglementations vis-à-vis les polluants à long terme.

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  • On terme de politique publique,les décisions doivent designer le mode de production d’énergie à favoriser ; toutes en limitant les modes les plus polluantes.

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  • Le but de ces études est d’influencer les efforts des pouvoirs publics vers une source d’énergie qui serait rentable sur le long terme. Ainsi il peut être décider un plus grand investissement dans l’éolienne. Le nucléaire présente aussi des avantages malgré des limites évoquées. Ce document est un outil pour permettre une prise de décision en connaissance de cause des pouvoirs publics.

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  • Les résultats obtenus faciliteront la prise de décision des pouvoirs publics pour prévenir une mortalité anticipée résultant d’un réchauffement climatique, des décisions concernant l’usage des combustibles fossiles les moins dangereux ainsi que les mesures à prendre lors d’une exposition de l’homme dans ces situations à risque.

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  • L’objectif de ces études est d’influencer le gouvernement et l’orienter vers des énergies rentables et renouvelables, notamment investir dans les énergies propres et solaires, permettra une prise de conscience de la part du pouvoir en place de la nécessité de décider en faveur de ce qui est durable et rentable à lent terme.

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  • Les resultats obtenus devront pouvoir aider les autorités à pouvoir redéfinir les politiques énergétiques durable en prenant en compte les resultats .

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  • Les décisions en termes de politique publique pourraient être mise en oeuvre à travers le choix des trajectoires énergétique des sociétés.

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  • En conséquence des résultats obtenus par les études externeE, la décision qui pourrait être mises en cause en termes de politique publique est la suivante : réduire l’utilisation des énergies qui nécessite une forte production de gaz carbonique tout en s’orientant vers une production d’énergie à moins d’effet négatif sur le plan sanitaire et environnementale.

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  • cette étude apporte les connaissances et estimations nécessaires pour aider les décideurs à la prise des décisions concernant énergies et polluants

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  • Les résultats de l’étude doivent permettre aux autorités publiques de faire un choix raisonné et raisonnable concernant leur politique énergétique. Ils doivent pouvoir choisir sur le long terme le développement de l’énergie qui a le moins d’impact sur la santé et l’environnement, tout en tenant compte bien sur des potentialités de chaque pays et de son contexte géographique et historique.

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  • Ces études sont utiles dans le sens ou elles peuvent donner des informations importantes quant à la gestion de l’énergie par les décideurs à travers la prise de décision.

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  • Une décision peut être le choix de l’utilisation de tel ou tel type d’énergie par les politiques publiques (choix du nucléaire par rapport à l’énergie fossile par exemple)

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  • L’étude est un outil qui permet d’aider les pouvoirs publiques à la prise de décision ;
    éclairer leur choix .

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  • L’étude pourra guider le choix des politiques publiques et guider le gouvernement et les personnes en charges dans leur décision

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  • Les résultats de cette étude cherchent à amener les politiques publiques à mettre en place des politiques comme celle de la réduction des émissions polluantes.

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  • Les décisions qui devraient être prendre en terme de politique publique après les résultats de ces études. Il serait au prime abord de mener une politique de la réduction de l’utilisation du charbon.
    Il serait aussi important de réduire l’émission des gaz à effet de serre. Et d’entamer une campagne de sensibilisation concertant l’énergie nucléaire à cause de lacune des études.

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  • Les décisions en terme de politiques publique mises en œuvre en conséquence des résultats obtenus par les études ExternE ; Coltinent sur un infléchissement drastique de cette trajectoire, qui d’ores et déjà, en expansion. Une alternative immédiate entreprise, encourageant la mancipation d’énergies vertes et renouvelables (par exemple : éolienne). Dont les deux enjeux de cette alternative sont essentiellement : le coût élevé des mécanismes d’énergies renouvelables, et l’impact sur la santé environnementale publique qui n’est pas nul. J’ajoute aussi, que les énergies renouvelables ne sont pas assujetties à des effets nuisibles sur la santé environnementale, dans le cas de la part afférente d’accidents. (Exemple des éoliennes : qui selon l’étude sur les éoliennes en Californie (Etats-Unis), réaffirme que les éoliennes sont responsables de l’extinction de certaines espèces d’oiseaux rares, et la majeure partie des chauves-souris, par la collision avec les éoliennes, ce qui cause des dysfonctionnements de la chaine alimentaire).

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  • Des décisions politiques maitrisant les effets pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire.

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  • Les décisions pourront être prises par la politique publique :
    - La limitation de l’utilisation de l’élément source qui produit de l’énergie mais qui présent une dangerosité pour la vie humaine.
    - Inciter la population pour le reboisement

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  • les résultats obtenus par les études ExternE peuvent permettre aux politiques publiques de décider de prendre le nucléaire comme principal mode de production de l’énergie pour le long terme.

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  • En conséquences des résultats obtenues par les études ExternE de 95 et 98, il est important en terme de prise de décisions de politique publique de prendre en compte :
    La création d’emplois directs et de tenir compte de l’impact sur la balance des paiements.
    Faire appel à certains experts internationaux afin de croiser les regards sur ces études.

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  • Cette étude étant très détaillée sur les ressources énergétiques, pourrait aiguiller les choix politiques en terme de sources d’énergie utilisées à l’échelle nationale comme régionale etc.

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  • Les résultats obtenus faciliteront la prise de décision des pouvoirs publics pour prévenir une mortalité anticipée résultant d’un réchauffement climatique, des décisions concernant l’usage des combustibles fossiles les moins dangereux ainsi que les mesures à prendre lors d’une exposition de l’homme dans ces situations à risque.

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  • Par conséquent des résultats, en termes de politique publique doit fixer comme fondement prioritaire l’encouragement les sources d’énergie à faible pollution et aussi encourager une politique de réduction des émissions CO2, suite à la connaissance de l’évaluation des coûts ExternE de diverses sources d’énergie.

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  • l’étude doit pouvoir aider les pouvoirs publics à prendre les bonnes décisions

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  • Les résultats de l’étude montre bien que le nucléaire, les éoliens et les biomasse reviendraientt moins chère en terme de pollution , ce qui peut orienter les décisions politiques vers un choix d’investissement dans l’une de ces trois alternatives , et ce dans le cas ou c’est le choix environnemental qui sera privilégié et qui va peser dans les décisions.

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  • Les résultats dégagés par ExternE pourraient peser dans l’orientation des pouvoirs publics. Elles permettent aux pouvoirs publics de prendre des décisions tout en sachant les risques (l’utilisation de telle ou telle forme de production d’énergie)

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  • En conséquence des résultats obtenus par les études ExternE, les politiques publiques pourraient favoriser l’utilisation d’une énergie plutôt qu’une autre. Ces résultats permettent d’estimer la valeur humaine et voir quelle énergie peut faire le plus de dommages. Ces résultats permettront ainsi guider les politiques publiques et les aider dans la prise de décision en toute connaissance de cause (impact sur l’environnement et la santé humaine).

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  • D’après les résultats obtenus, des politiques de taxation et de favorisation pourraient être mises en place.
    Les politiques de taxation permettraient de limiter et réguler le développement des énergies les plus couteuses pour la santé de l’homme et de l’environnement, et en même temps de financer les dommages causés par cette source d’énergie.
    Les politiques de favorisations (financement, primes) permettraient de favoriser les sources d’énergies les moins polluantes, entrainant ainsi leur développement, et permettant aussi aux exploitants de sources les plus polluantes de réaliser une transition énergétique plus aisément.

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  • L’évaluation des coûts externes pour les énergies permet de mieux situer les choix qui semblent les plus favorables au bon développement dans le cadre de la santé et du respect de l’environnement.

    On peut émettre l’hypothèse qu’une politique publique de taxe permettrait de réguler les activités émettrices afin que les acteurs utilisant les énergies plus coûteuses aient à payer une taxe à hauteur du réel coût et des véritables dommages qu’implique leur choix d’utilisation de telle ou telle énergie.

    Ainsi, une bonne évaluation des coûts externes permet de justifier le montant choisi pour la taxe et les conditions qui l’encadrent.

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  • Au vue des résultats des études ExternE, les décisions suivantes pourraient être prises par les pouvoirs publics :
    -  La suppression progressive de l’exploitation des énergies fossiles qui présentent les coûts externes les plus élevés.
    -  Le renforcement des centrales nucléaires dont les résultats en termes d’impacts sur l’environnement et la santé sont les plus faibles. Il faudrait assoir cette proposition d’une recherche constante d’amélioration de la sécurité de ces centrales, les conséquences d’un accident nucléaire n’ayant pu être étudiées.

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  • Il pourrait être décidé de favoriser la filière nucléaire via
    - la construction de nouvelles centrales afin d’augmenter une production électrique plus "vertueuse"
    - la conduction d’études sur les accidents nucléaires passés afin de déterminer les meilleures conditions de sécurité possible pour en éviter de nouveaux dans le futur
    - une réflexion sur la gestion de déchets radioactifs

    Il serait également possible de taxer la production et l’utilisation des énergies fossibles lorsqu’une alternative est possible (éolien par exemple).

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  • les résultats obtenus par les études ExternE, facilite la mission du pouvoir publique dans le mise en place des décisions correctifs ou préventifs selon les cas

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  • Etant donnée que l’étude ExternE est une étude comparative, elle peut servir comme un outil d’aide à la décision pour les pouvoirs publics, en ce qui concerne les politiques énergétiques à long terme.

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  • Il faut renforcer la crédibilité des résultats d’ExternE.
    Réaliser des mises au point d’une méthode pertinente pour chaque cas spécifique.

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  • Selon les résultats des études externes les décisions des pouvoirs publiques vont êtres prises.
    On peut citer a titre d’exemple quelques décisions :

    - Promouvoir la filière énergétique la moins couteuse et la mois émettrice des gaz a effet de serre,
    - L’instauration d’une taxe pour réduire les émissions des énergies

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  • En termes de politique publique, cette étude par des données mettent en place, elle aide les pouvoirs publiques à prendre des décisions efficientes et efficaces.

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  • En termes de politique publique, les résultats obtenus par les études ExternE qui sont mises en place
    ces dernières aident les politiques publiques a prendre les décisions les plus efficaces.

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  • En conséquences des résultats obtenus par les études ExternE, on conclut à l’intérêt économique et environnemental du nucléaire, car on note que le nucléaire présente les coûts externes les
    moins élevés avec ou sans actualisation.
    Ce qui incite selon les résultats de cette étude au recours à l’énergie nucléaire comme la source d’électricité la moins polluante et de ce fait qui a moins d’impacts sur la santé humaine et l’environnement, et dont les couts externes sont les plus faibles quelques soit le pourcentage de l’actualisation.
    donc l’intérêt économique (le cout faible) ainsi que sanitaire et environnementale demeure plus dans cette source d’énergie (nucléaire).

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  • décision on terme de politique publique , les autorités publique obligent les entreprises qui produisent les énergies (électricité ,,,) par les combustibles , d’utilisé dans leur production des alternatifs moins couteux et moins d’impact sur la sante et l’environnement cas des énergies renouvelables .

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  • décision on terme de politique publique ,
    l’études externe montre que l’utilisation de l’Energie nucléaire est moins couteux et moins polluants par rapport a d’autre énergie ( combustible ) donc il faut s’orienter vers l’énergie nucléaire sans oublier les énergies renouvelables qui sont les plus avantageux .

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  • D’après les résultats des études ExternE, les décisions suivantes pourraient être prises par les autorités publics :
    -  Abandonner les énergies les plus couteuses et qui a un fort impact sur la santé et l’environnement.
    -  S’orienter vers les énergies comme le nucléaire, les éoliens et les biomasses (les coûts liés aux impacts environnementaux et sanitaires seraient réduit).

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  • Les résultats des études ExternE sont sans conteste favorables à l’usage du nucléaire et dans une moindre mesure au gaz naturel
    Bien qu’elle ne prenne pas en compte concernant le nucléaire, le transport des déchets radioactifs, leur toxicité dans certains cas, le traitement de ces déchets, le coût de fonctionnement (nécessitant par ailleurs une ressource limitée, l’uranium), le démantèlement, le taux de radioactivité en cas d’accident et leurs graves impacts le cas échéant, le coût de maintenance et les mesures de prévention nécessaires en prévision du réchauffement climatique, l’impact du rejet des eaux sur l’écosystème, l’encombrement visuel...
    Toutefois, le nucléaire n’émet presque pas de CO2 ou de pollution aux particules fines, son cout de production reste faible comparativement aux autres énergies
    Reste à se poser la question de la soutenabilité de ce mode de production

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  • On pourrait considérer qu’il faut augmenter l’utilisation du nucléaire beaucoup plus propre que d’autres combustibles.

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  • L’étude ExternE peut aider les pouvoirs publics à prendre des décisions, en terme de type de filière énergétique à adopter au long terme, et ce en prenant connaissance de cause (coûts externes liés à la santé publique, coûts externes liés aux maladies professionnelles, coûts externes liés aux écosystèmes terrestres.

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  • L’étude ExternE est un outil d’aide à la décision publique, il peut donner des indications sur quel type de source d’énérgie combustible favoriser (meme si d’autres paramètres devraient etre pris en compte, par exemple le consensus de la population et sa perception du risque, ce n’est pas donc le seul outil)

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  • Les décisions en termes de politique publique qui pourraient être mises en oeuvre en conséquence des résultats obtenus par les études ExternE sont : la mise en place de meilleurs réglementations et des normes environnementales, l’adoption de sources d’énergie moins polluantes,la recherche et le développement de technologies propres...

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  • sur les taxes sur les émissions : Les études ExternE ont évalué les coûts externes des émissions de polluants liées à différentes sources d’énergie, comme les émissions de gaz à effet de serre et les émissions de particules fines ;
    Les subventions pour les énergies renouvelables : Les études ExternE ont évalué les coûts externes associés à différentes sources d’énergie, y compris les énergies renouvelables comme l’énergie éolienne et solaire

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  • En terme politiques publiques, ces recherches vont aider les services publics à prendre des décisions qui seront applicables à long terme et de voir les choses d’une manière plus claire.

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  • Cette étude peut aider à éclairer les options de politique énergétique dans un pays qui limitent les émissions de polluants et, par conséquent, les éventuels coûts associés aux impacts sur la santé et l’environnement de plusieurs modes de production d’énergie.

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  • Décisions de politique énergétique est de réduire la consommation d’énergies polluantes et favoriser le développement d’énergies moins polluantes-couteuses pour la santé humaine et environnementale.
    Le gouvernement devrait faciliter l’accès physique et économique du gaz Il devrait promouvoir et développer l’industrie des énergies renouvelables.

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  • Exemple : au Royaume uni les résultats de l’étude ExternE a mené les dirigeants a opter pour les énergies renouvelables.

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  • l’étude externe et ses résultats de comparaison des coûts externes et privés de plusieurs énergies permettraient à la politique publique de prendre des décisions concernant quel choix de filière faire.

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  • Les politiques publiques devraient être en mesure de prendre des décisions éclairées sur le types de centrales à utiliser ou privilégier

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  • Les décisions sont la réalisation des évaluations par le CEPN en intégrant l’aversion pour le risque et en prenant des hypothèses majorantes, la comparaison entre eux les risques d’accidents liés à chacune des filières, le raisonnement sur une méthode basée sur des courbes d’indifférences entre le gain des revenus et le risque d’accident.
    En fait, il s’agit de la mise au point d’une approche originale et prometteuse qui sert à déterminer les marges d’erreur pour les valeurs des coûts externes calculés en France.

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  • L’étude peut aider les politiques à prendre des décisions en connaissance de cause.

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  • Exemple : au Royaume uni les résultats de l’étude ExternE a mené les dirigeants a opter pour les énergies renouvelables.

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  • Il y a 3 voies possibles pour la prise de décision à partir de cet article, ils peuvent être considérés en termes de :

    - La promotion des énergies renouvelables : Les coûts externes de la production d’électricité provenant de sources renouvelables pourraient être comparativement plus faibles, ce qui pourrait encourager les acteurs à promouvoir davantage les énergies renouvelables pour réduire les impacts environnementaux et sanitaires.

    - Les réglementations environnementales : Les résultats de ces études pourraient justifier la mise en place de réglementations plus strictes sur les émissions polluantes et les déchets provenant des sources d’énergie à forte intensité de carbone ou aux risques élevés.

    - Les investissements dans la recherche et le développement (R&D) : Les résultats pourraient inciter les gouvernements à investir davantage dans la recherche et le développement de technologies visant à réduire les coûts externes associés à la production d’électricité, notamment en améliorant la gestion des déchets et en réduisant les émissions polluantes.

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  • les décisions en terme de politique publique publiques qui pourraient être mises en œuvre en conséquence des résultats obtenus par les études externes :

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  • les décision à entreprendre :

    Du point de vue de la formulation des politiques publiques, l’étude devrait servir de guide éclairé pour les décideurs gouvernementaux en les aidant à prendre des décisions éclairées. Elle vise à répondre à des questions cruciales telles que "Quel type de centrale privilégier à long terme ?" en fournissant des informations approfondies et éclairées. L’objectif est de permettre aux autorités publiques de prendre des décisions informées et judicieuses en ayant une compréhension approfondie de la situation.

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  • Les résultats obtenus par les études ExternE pourraient orienter les politiques publiques dans le choix des sources énergétiques moins polluantes dans un pays et réduire l’usage des sources d’énergie à grande pollution afin de protéger la santé et l’environnement.

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  • Si les études ExternE mettent en évidence des risques sanitaires significatifs associés aux activités nucléaires, les gouvernements pourraient être incités à renforcer les réglementations et les normes de sécurité pour minimiser ces risques.
    les coûts sanitaires et économiques associés à l’énergie nucléaire sont élevés, les gouvernements peuvent encourager et financer sources d’énergie plus propres et moins risquées, comme les énergies renouvelables.

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  • Réorienter la politique énergétique en faveur des secteurs présentant des coûts externes moindres pour la santé et l’environnement.

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  • Les résultats obtenus par les études ExternE peut accompagner la prise de décision des pouvoirs publics selon leurs priorités au sein des politiques environnementales et sanitaires.

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  • Les résultats obtenus permettent l’orientation, l’influence ou la prise de décision des politiques publiques dans divers sujets comme la promotion des énergies propres, le soutien à l’efficacité énergétique, la tarification du carbone et aussi les investissements dans la recherche et le développement scientifique.

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  • .En réponse aux résultats des études ExternE, des décisions de politique publique pourraient mise en ouvre en terme de la promotion des énergies renouvelables, des investissements dans la recherche, des normes environnementales renforcées,mise ne place d’une réglementation stricte.

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  • Les résultats des études ExternE pourraient influencer plusieurs décisions en termes de politique publique, en particulier dans le domaine de l’énergie et de l’environnement. Voici quelques exemples de décisions potentielles :

    1. Promotion des Énergies Renouvelables : Si les résultats montrent que les énergies renouvelables ont des coûts externes plus faibles que les sources d’énergie conventionnelles, cela pourrait encourager les décideurs à promouvoir davantage le développement et l’utilisation des énergies renouvelables.

    2. Taxation ou Régulation des Émissions Polluantes : Si les coûts externes liés aux émissions polluantes provenant de certaines sources d’énergie sont élevés, cela pourrait justifier la mise en place de taxes ou de régulations visant à internaliser ces coûts dans le prix de l’énergie, encourageant ainsi la réduction des émissions.

    3. Investissements dans la Sécurité Nucléaire : Si l’étude révèle des coûts externes significatifs associés à l’énergie nucléaire, cela pourrait inciter les gouvernements à investir davantage dans la sécurité nucléaire et à renforcer les réglementations.

    4. Éducation du Public : Les résultats pourraient être utilisés pour informer le public quant aux implications environnementales et sociales des différentes sources d’énergie, facilitant ainsi une prise de décision plus éclairée.

    5. Orientation des Subventions Énergétiques : Les résultats pourraient orienter les politiques de subvention en faveur des sources d’énergie ayant des coûts externes moindres, contribuant ainsi à créer des incitations économiques pour des choix énergétiques plus durables.

    6. Planification de l’Infrastructure Énergétique : Les gouvernements pourraient utiliser les résultats pour orienter la planification de l’infrastructure énergétique, en privilégiant les technologies moins coûteuses en termes de coûts externes.

    7. Recherche et Développement : Les résultats pourraient influencer les investissements dans la recherche et le développement de technologies visant à réduire les impacts environnementaux et sociaux de la production d’énergie.

    Il est important de noter que les décisions politiques dépendent de nombreux facteurs, y compris les priorités nationales, les intérêts économiques et les préoccupations environnementales. Les résultats des études ExternE pourraient fournir une base factuelle pour éclairer ces décisions, mais d’autres considérations seront également prises en compte dans le processus décisionnel.

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  • cela pourrait conduire à une évaluation plus précise des coûts externes de l’énergie. Selon l’étude, les coûts externes sont essentiels pour évaluer l’impact environnemental et de santé public d’une forme d’énergie.

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  • Les résultats des études ExternE pourraient influencer plusieurs décisions en termes de politique publique visant à orienter le secteur de l’énergie vers des pratiques plus durables et à minimiser les impacts négatifs sur la santé et l’environnement. Voici quelques exemples de décisions politiques potentielles qui pourraient découler des résultats des études ExternE :
    Tarification des Externalités : Les résultats des études ExternE pourraient conduire à la mise en place d’une tarification des externalités, où les coûts sociaux et environnementaux associés à la production d’énergie sont internalisés dans les prix de l’énergie. Cela encouragerait les producteurs et les consommateurs à prendre en compte ces coûts dans leurs choix énergétiques.
    Tarification des énergies renouvelables : Si les résultats montrent que les énergies renouvelables ont des coûts externes plus faibles par unité d’énergie produite, cela pourrait stimuler la mise en œuvre de politiques visant à promouvoir davantage l’utilisation des énergies renouvelables, telles que des incitations fiscales, des subventions ou des objectifs de part d’énergie renouvelable dans le mix énergétique.
    Réglementation des émission : Les résultats soulignant les coûts externes élevés associés à certaines sources d’énergie, comme les émissions de gaz à effet de serre, pourraient conduire à des politiques plus strictes de réglementation des émissions, incitant les industries à adopter des technologies plus propres et à réduire leur impact environnemental.
    Investissements dans la recherche et le développement : Les décideurs pourraient allouer des ressources supplémentaires à la recherche et au développement de technologies plus propres et à faibles émissions, afin de favoriser l’innovation et de réduire les coûts externes associés à certaines formes de production d’énergie.
    Politique d’efficacité énergétique : Si les résultats mettent en évidence des coûts externes élevés liés à la consommation d’énergie, cela pourrait encourager la mise en œuvre de politiques visant à améliorer l’efficacité énergétique, réduisant ainsi la demande globale d’énergie et les impacts associés.
    Gestion des déchets nucléaires : Si les résultats soulignent les coûts externes importants liés à la gestion des déchets nucléaires, cela pourrait influencer les politiques sur la gestion des déchets nucléaires, avec un accent sur la sécurité, le stockage approprié et la recherche de solutions durables.
    Education et sensibilisation : Les résultats des études ExternE pourraient servir de base à des campagnes d’éducation et de sensibilisation du public sur les implications sociales et environnementales des choix énergétiques, encourageant une participation éclairée dans le processus décisionnel.
    Il est important de noter que les décisions politiques dépendent non seulement des résultats des études ExternE, mais aussi de divers facteurs politiques, économiques et sociaux. Les résultats des études devraient être intégrés dans un contexte plus large pour élaborer des politiques énergétiques efficaces et équilibrées.

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  • cette étude nous donne les sources de production d’énérgie avec un coût d’externalité faible.Nous devons promouvoir les énergies telles que le gaz, le nucléaire, eolien, hydroéléctricité. Tout en faisant attention à la source nucléaire car dans cette étude les estimations ne sont pas jugées fiables pour les accidents nucléaires (accident de Fukushima)

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  • en termes de politique publique ces résultats guident les décideurs a prendre les meilleures discisions

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  • En terme de politique publique il serait ainsi pertinent de promouvoir des productions d’énergie ayant un cout externe le plus faible possible comme le nucléaire, le gaz, l’éolien, la biomasse. Pour le cas du nucléaire les estimations sont jugées cependant peu fiables pour les accidents nucléaires, les déchets radioactifs à haute activité, la prolifération nucléaire et le terrorisme.

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  • Les résultats de l’étude ExternE pourraient être utilisés comme base pour proposer des politiques publiques visant à internaliser les coûts de la pollution externe. Il pourrait s’agir de taxes environnementales, d’incitations à utiliser des sources d’énergie plus propres, de règles environnementales renforcées ou de soutien financier aux technologies propres. Ces politiques viseraient à réduire les externalités négatives de la pollution et à encourager des pratiques environnementales plus durables.
    En resumé, les résultats des études ExternE pourraient avoir un impact sur la conception de politiques énergétiques visant à réduire les coûts externes tout en favorisant des solutions plus durables et respectueuses de l’environnement. Il est possible que les choix politiques soient axés sur la réduction des effets négatifs des externalités et la promotion d’une transition vers un système énergétique plus respectueux de l’environnement.

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