disparités des résultats dans l’estimation de la valeur de la vie humaine_rapport parlementaire_question 1_TD2

Selon la méthode utilisée, il existe une « différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer ».

Voir également l’article de Lannoie-Latour (« valeur statistique de la vie humaine, p.96) :« les études (...) de type risque-salaire (...) estiment le supplément de salaire associé à un plus grand risque de décès au travail. Ce supplément est déduit en faisant une régression entre le salaire et le risque de décès. L’analyse par régression est utilisée afin d’estimer aussi les facteurs autres que le risque pouvant influer sur le salaire. Ce supplément traduit l’arbitrage entre richesse et risque. L’approche du risque par les salaires repose sur plusieurs hypothèses. Elle suppose tout d’abord que les travailleurs ont une information correcte, fiable sur le risque associé à différents emplois. Si les travailleurs n’ont pas une information correcte, cela conduit à mener l’analyse avec un risque perçu, et les travailleurs font alors reposer leur demande de salaire là-dessus. Deuxièmement elle suppose que les travailleurs peuvent changer facilement et librement de travail. Sinon, les travailleurs sont contraints d’accepter un supplément de salaire plus faible que leur choix optimal, et cela peut conduire à un biais plus en aval dans l’estimation de la valeur de la vie statistique. Les études sur le marché des consommateurs examinent les arbitrages que font les individus entre richesse et risque tous les jours dans leurs décisions de consommation. L’avantage majeur des approches du risque par le salaire ou sur les marchés de consommation est qu’elles sont basées sur le comportement réel. Il est nécessaire en revanche que les travailleurs et consommateurs aient une information correcte sur le risque associé à certains emplois et activités de consommation, ce qui n’est pas toujours le cas. (...) l’approche du risque par le salaire est limitée aux salariés ». Il y a donc beaucoup d’hypothèses à respecter, mais, surtout, seule la population salariées est évaluée. On ne prend pas en compte les retraités, sachant, qu’en plus, leur espérance de vie restant à vivre est en moyenne inférieure à celle de la moyenne des salariés. On ne prend pas en compte les bébés, enfants, adolescents, étudiants, dont, cette fois, l’espérance de vie restant à vivre, et donc, pourtant, d’accumulation des salaires à venir, est en moyenne inférieure à celle de la moyenne des salariés.

Cette raison explique, en grande partie, la différence observée pour la valeur statistique de la vie humaine aux Etats-Unis selon le type de méthode : seulement 441 millions d’Ecu, résultat issu d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, contre 2350 millions d’Ecu (soit environ 5,5 fois plus), résultat issu cette fois d’une étude en termes de disponibilité à payer (méthode contingente).

Enfin, et ceci est lié à ce qu’on vient d’exprimer, comme le soulignent Lannoie et Latour, « les réponses des individus sont basées sur une situation hypothétique et non réelle. Les réponses dans une situation hypothétique diffèrent de celles d’une situation réelle. ». En substance, on sera toujours disposés à payer plus quand on pose la question et que cela reste une éventualité (c’est une « promesse de don ») que lorsqu’on est amené à effectivement payer (faire un « don »), cf. la différence, chaque année, qu’il existe entre la somme qui correspond aux promesses de don à la fin du week-end du Téléthon, et la somme qui sera réellement versées aux organisateurs du Téléthon, généralement inférieures aux promesses... !

Dans le tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », pour quelle raison d’ordre méthodologique existe-t-il de telles disparités dans les résultats ?

Explicitez.

253 Messages de forum

  • Les résultats sont disparates car les méthodes utilisées pour avoir ces estimations sont variables. Etablir des corrélations et des comparaisons entre des méthodes différentes est difficile.
    Prenons un exemple entre les valeurs issues des méthodes de disponibilités à payer qui sont les plus hautes du tableau et les valeurs issues de méthodes productivistes qui sont beaucoup plus basses. Ces dernières ne prennent pas en considération l’aspect "affectif" en terme de gène, de souffrance, donc de biens non marchands. Or ces derniers seront pris en considération dans les réponses issues du consentement à payer.

    Répondre à ce message

  • Le tableau page 353 fournit des résultats d’une grande disparité ; si l’on étudie l’influence du type de méthode sur le résultat, on constate que les résultats obtenus par la méthode contingente sont globalement plus élevés que ceux obtenus par la méthode des coûts et pertes de production. On peut penser qu’il s’agit d’une tendance "naturelle" pour l’individu sondé, à surestimer son CAP sachant qu’il ne s’agit que d’une dépense "virtuelle". D’autre part il a été précisé que les études sur les pertes de production concernaient essentiellement les salariés, ce qui peut éventuellement accroitre la différence au niveau du résultat en ne prenant pas en compte les autres catégories de population.

    Répondre à ce message

  • Suivant les méthodes, on distingue :
    - la disponibilité à payer qui est une estimation sociale à payer
    - l’évaluation des pertes de productivités du capital humain.
    par la méthode d’évaluation des pertes de productivités du capital humain, l’individu est considéré dans sa seule dimension d’agent économique et sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. La valeur de la vie a un instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de vie.
    tandis-que par la disponibilité à payer, la valeur de vie dépend du niveau de développement du pays.

    Répondre à ce message

  • Dans le cas des estimations des pertes productives, on ne tient compte que de la dimension économique (revenu) et non des autres coûts, ce qui explique que cette méthode conduit à des valeurs plus faibles que celles de la disponibilité sociale à payer.

    Répondre à ce message

  • Car le design de l’étude est faible a cause des imperfections de la connaissance des revenus par âge, des espérances de vie par classe d’âge, ainsi que le choix du taux d’actualisation

    Répondre à ce message

  • La méthode des coûts et pertes de production considèrent l’individu comme un agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. La valeur de la vie calculée par cette méthode est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de vie.
    La disponibilité à payer correspond à une somme que l’individu est prêt à donner pour réduire son risque de décès ou de maladie.
    Les résultats des pertes de production se basent sur des données concrètes alors ceux de la disponibilité à payer sont assez subjectifs

    Répondre à ce message

  • Les résultats dépendent du pays mais aussi de la méthode utilisée car il y a une "différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer".
    Les individus ayant répondu à la méthode contingente (disponibilité à payer) accorde une valeur statistique de la vie supérieure. La situation du marché étant hypothétique, les répondants sont moins concerner par rapport aux risques réelles.
    La mesure des coûts et pertes de productions bruts sont moins élevés car ils impliquent les risques/pertes financier en cas de maladies ou d’accident. Les répondants sont conscients et correctement informés des risques de décés associé à leur emploi et accordent une valeur qu’ils jugent "juste" par rapport aux risques réelles qu’ils encourent.

    Répondre à ce message

  • *La première raison est le niveau de développement du pays considéré : Ce niveau de développement influence la valeur de la monnaie ainsi que d’autres paramètres associés, et de ce fait, le calcul de la valeur statistique aura quelques disparités. La valeur de la vie humaine diffère d’un pays à l’autre.
    *la deuxième est la méthode utilisée : Par exemple, en utilisant la méthode basée sur l’évaluation au niveau individuel, les réponses provenant des personnes interrogées ne peuvent pas être les mêmes, entraînant toujours des disparités.

    Répondre à ce message

  • La raison des disparités dans les résultats s’explique par l’utilisation de méthodes de valorisation différentes de la valeur de la vie humaine. Dans un des cas, la méthodes des coûts et pertes de productivité brut et dans l’autre la méthode du consentement à payer : cette différence dans la méthode utilisée conduit à des résultats disparates

    Répondre à ce message

  • En effet, dans ce tableau la valeur statistique de la vie humaine varie de 12,5 millions d’écus (Portugal, méthode des coûts et pertes de production bruts) à 2350 (États Unis, méthode de la disponibilité à payer).

    En plus des différences de niveau de développement des pays considérés, les méthodologies employées sont différentes (coûts et pertes de production bruts, perte de production brute, disponibilité à payer, valorisation du temps de vie, disponibilité sociale à payer). Ces évaluations institutionnelles sont difficiles à réaliser du fait « des imperfections de la connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge » ainsi que du choix du taux d’actualisation.

    Répondre à ce message

  • Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le
    Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de
    la vie humaine est de 1 à 20. Le deuxième paramètre est celui de la méthode
    utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode
    des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.
    Et sur la base de ces paramètres forcement on aura des disparités parce que les pays par exemple non pas le même niveau de développement

    Répondre à ce message

  • Les raisons de différences des résultats sont la présences d’imperfections de la connaissance
    des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge, le choix du taux
    d’actualisation est d’une grande importance. Aussi, les pays considérés ont des niveaux de développement différents.
    La méthode de calcul de la valeur statistique de la vie humaine utilisée différe. Il s’agit de la méthode des coûts et pertes de production bruts contre la méthode de la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • On remarque que c’est lorsqu’on utilise la méthode des préférences déclarées : la disponibilité à payer, que les valeurs sont assez élevées. Ceci montre à quel point les individus sont prêts à investir pour vivre. De plus, la disparité des résultats en général dans le tableau pourrait être assimilée au fait que les pays sont différents : ce qui implique des niveaux de vie différents, des cultures, habitudes et pratiques différentes, etc

    Répondre à ce message

  • La méthodologie adoptée est basée sur des évaluations institutionnelles correspondant à un point de vue extérieur à la personne humaine Cette dernière étant considérée essentiellement comme un agent économique. Or le premier paramètre évoqué est le niveau de développement du pays considéré ce qui entraîne des disparités dans les résultats car un pays plus développé qu’un autre possède une population plus active et plus riche.

    Répondre à ce message

  • La disparité des méthodes est liée à l’utilisation des méthodes coût et perte de production brut et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Les disparités sont dues aux méthodes utilisées, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • c’est perce qu’il y a une différence entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer. Cela est du au fait que la méthode de l’évaluation des pertes productives considère l’individu dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus de moment alors que la disponibilité a payer ce traduit comme étant l’estimation sociale consensuelle.

    Répondre à ce message

  • la disparité dans les résultats s’explique, car l’étude a utilisé diverses méthodes, ce qui ne facilite pas l’interprétation des résultats. nous voyons par exemple qu’en France, il été menée deux études (méthode de valorisation de temps de vie et la méthode des coûts et pertes de production bruts), mais les résultats obtenus sont différents.

    Répondre à ce message

  • Les méthodes utilisées sont différentes, les questions posées selon les méthodes utilisées entrainent des réponses différentes. C’est ce qui entraine des disparités dans les résultats. Les personnes interrogées ont des perceptions différentes sur les couts et pertes de production bruts, les pertes de production brute, la disponibilité à payer et la disponibilité sociale à payer. Toutes ces interrogations entrainent des estimations différentes sur la valeur statistique de la vie humaine.

    Répondre à ce message

  • en plus les réponses des individus sont données sur la base d’une hypothèse, qui ne reflète pas forcément la réalité ( ce que les gens promettent face à une éventualité ne représente pas forcément ce qu’ils feront si la situation se présentait)

    Répondre à ce message

  • la disparité est dût à la différence entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Les disparités sont en effet considérables, se situant par exemple dans un rapport de 1 à 20 entre la France et le Portugal, et de 1 à près de 200 entre le Portugal et les Etats-Unis.

    Cela tient principalement à la méthode retenue, et à la non homogénéité des hypothèses de travail, des composants du coût externes estimés dans chaque méthode, et aux contextes différents (par exemple dans les systèmes de santé, les salaires etc...).

    Globalement, la prise en compte des seuls coûts et pertes de production bruts donnera toujours des résultats très inférieurs à la méthode consistant à retenir la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • les raisons méthodologiques que expliquent ces disparités, c’est l’existence des imperfections dans le choix de certains paramètres comme les taux d’actualisation et de l’imperfection de la connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge surtout en ce qui concerne la méthode de la perte de productivité.

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats peut s’expliquer par la méthode utilisée pour l’estimation de la valeur de la vie humaine.
    Il y a en effet des différences assez importantes entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer ; cette dernière méthode donnant des chiffres x 5 pour un même pays (par ex : les USA).

    Les chiffres obtenus par estimation du CAP sont d’ailleurs globalement beaucoup plus élevés que ceux obtenus par d’autres méthodes et sans doute moins réalistes, donnant à penser que la « méthode du CAP » est moins précise et soumise à plus de biais que les autres techniques d’évaluation.

    Répondre à ce message

  • Les pertes productives sont des evaluations qui sont soumis pour une modelisation à des taux d’actualisation qui à long terme ecrasent les coûts externes de production.

    Répondre à ce message

  • ces disparités sont liées au choix du niveau de développement du pays considéré, à la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Le raison est la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • En réalité les méthodes utilisées sont différentes. Nous avons noté des différences considérables entre les coûts et pertes de production bruts et celui de la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Les raisons d’ordre non méthodologique et liées aux pays étudiés : - le niveau de développement du pays - les préférences de chaque pays. En effet, un pays développé mettra facilement plus de moyen pour assurer la santé de sa population, mais au même moment, suivant les besoin de chaque pays, on peut observer des orientations différentes dans le gestion de la valeur humaine.

    Répondre à ce message

  • Suivant les méthodes, on distingue : - la disponibilité à payer qui est une estimation sociale à payer - l’évaluation des pertes de productivités du capital humain. par la méthode d’évaluation des pertes de productivités du capital humain, l’individu est considéré dans sa seule dimension d’agent économique et sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. La valeur de la vie a un instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de vie. tandis-que par la disponibilité à payer, la valeur de vie dépend du niveau de développement du pays.

    Répondre à ce message

  • Dans l’estimation institutionnelle de la valeur de la vie humaine, les divergences de résultats proviennent de la considération :
    - le niveau de développement du pays car les pays européens n’ont pas le même niveau de développement et la variation sera très grand entre deux pays au niveau de développement très controversé,
    - méthodes utilisées non harmonisées. Certains pays utilisent la méthode des coûts et pertes de production bruts et d’autres la méthode de la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Ca depende de methode utilise pour l’estimation ; soit par l’evaluation des pertes de productivite du capital humain ou par la disponibilite sociale a payer.

    Répondre à ce message

  • Les valeurs de la vie humaine listées dans ce tableau n’ont pas toutes étaient évaluées de la même manière. Les différentes méthodes utilisées ne tenant pas compte des mêmes paramètres ; elles donnent des résultats différents. Il est alors difficile de comparer ces différentes estimations.

    Répondre à ce message

  • Les variations sont liées aux différents modes de calcul employés :
    - calcul des coûts et pertes de production bruts qui considèrent l’individu en tant que seul agent économique
    - disponibilité sociale à payer qui correspond au prix consensuel que la société serait prêt à payer.

    La première méthode tend naturellement à sous-estimer la VVH.

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités d’ordre méthodologique par le fait qu’il existe une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et des pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités dans les résultats pour une raison d’ordre méthodologique liée à deux paramètres : le niveau de développement du pays considéré et la méthode utilisée (méthode du calcul des couts et pertes de production bruts et celle obtenue par le calcul de la disponibilité à payer).

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités dans les résultats car sont pris en compte certains paramètres tels le niveau de développement du pays considéré et celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts, les pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • La raison méthodologique qui explique la disparité entre les deux résultats est la méthode d’évaluation utilisée

    Répondre à ce message

  • Une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer est observé. L’explication de cette disparité dans les résultats peut être due aux différences des deux méthodes utilisées qui n’estiment pas exactement le même arbitrage risque-salaire. La valeur de la vie statistique obtenue à partir de personnes présentant une aversion au risque a tendance à être plus élevée avec l’évaluation contingente qu’avec la méthode du risque par le salaire car la méthode des pertes productives qui est une méthode du risque par le salaire, néglige souvent par construction les personnes refusant le risque et fournit des résultats biaisés par le bas.

    Répondre à ce message

  • La raison d’ordre méthodologique pour laquelle il existe une disparité dans les résultats est la différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Tout d’abord il existe de grandes disparités car on compare des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine qui ont été obtenues avec différentes méthodes (coûts et pertes de production bruts et disposition à payer)

    Répondre à ce message

  • Deux méthodes differentes ont été utilisées : methode des couts et perte de productio et la deuxieme faite par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Les disparités s’expliquent par le fait que les regles de calcul son fonction de paramètres fluctuants, tels que le niveau de developpement du pays concerné. L’estimation de la valeur de la vie humaine est plus importante dans les pays supposé plus devéloppés. L’autre paramètre est la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le resultat calculé par la méthode des coûts et perte de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Des disparités existent dans les résultats des Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine dans la mesure où les Méthodes utilisées ne pas les mêmes à tous les niveaux.
    Par exemple pour les Etats unis nous avons 2350 mille écus si c’est la méthode " Disponibilité à payer" et 441 mille ecus s’il sagit de Coûts et pertes de production bruts.

    Répondre à ce message

  • il y a disparoté des réponses parce que l’une est fondée sur les résultats obtenus à partir d’un questionnaire. IL AURAIT FALLU QUE TOUTES CES ces études soient appliquées au meme objet d’étude et à un meme échantillon de données.

    Répondre à ce message

  • Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20. Le deuxième paramètre est celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Dans le tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », il existe une disparités d’ordre méthodologique dans les résultats à cause des méthtodes d’évaluation institutionnelles utilisées paar chaque pays à savoir méthodes de l’évaluation des pertes de production, du capital humain et la méthode de la disponibilité siciale à pyaer
    La disparité peut aussi dépendre des biais de la forme de la question révélation

    Répondre à ce message

  • Les résultats sont différents tout simplement car les outils méthodologiques d’estimation et de valorisation qui ont été utilisés sont différents et ils ne prennent pas en compte les mêmes valeurs. D’un coté on utilise la méthode du consentement à payer (CAP) et de l’autre la méthode des couts et pertes de productivité bruts.

    Répondre à ce message

  • Parce que la méthode de l’estimation change et parce que la valeur statistique de la vie humaine, par définition, n’est pas la même dans chaque pays et dépend sur plusieurs paramètres. (niveau de vie, avantages sociaux, etc)

    Répondre à ce message

  • il existe de telles disparitées car les methodes d’études utilisées ne sont pas les méme, en effet il s’agit soit de la disponibité à payer qui représente une valeur sociale consensuelle de la vie humaine, ou des couts de la perte de productivité qui ne prend en compte que l’aspect economique de la vie humaine, ainsi avec la methode de la disponibité à payer la vie humaine a une valeur bien plus élevée qu’avec la methode des couts et pertes de productivité.

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats est due à l’utilisation de deux méthodes totalement différentes. La première est la méthode directe, préférence déclaré avec le CAP. L’autre est la méthode de l’évaluation des pertes productives du capital humain. Le CAP est déterminé par les personnes interviewées qui ont tendance a plus valoriser le cout de leur vie par rapport a la deuxième méthode où la valeur de la vie est déterminée par les institutions.

    Répondre à ce message

  • Dans la méthode des pertes productives, on considère l’individu dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment.
    Dans la méthode de la disponibilité sociale à payer on prend en compte la dimension sociale par l’estimation sociale consensuelle.

    Répondre à ce message

  • les disparités selon la méthode utilisée sont la différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer. ils sont plus disposer à payer que de perdre des couts

    Répondre à ce message

  • Les disparités sont dues à la méthode utilisée. Nous observons une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer. Dans le premier cas il s’ agit d’ une approche d’ évaluation et d’ actualisation de la perte de production que l’individu aurait pu réaliser dans le futur, tandis que dans le second cas il s’ agit de l’estimation sociale consensuelle de la valeur de la vie humaine, une estimation sensible à des paramètres psychologiques (d’ ou la plus grande valeur).

    Répondre à ce message

  • Ces différences d’ordre méthodologique, entre les résultats calculés par la méthode des coûts et pertes de production bruts et ceux obtenues par la disponibilité à payer, peuvent être expliquées par les sources de données différentes. D’une part ses données proviennent d’un postulant restrictif, l’individu étant considéré comme simple agent économique dont la valeur retenu est sa contribution productive représentée par ses revenus du moment. D’une autre dans le consentement à payer elles résultent des valeurs d’appréciation du risque des agents économiques, faite d’après la notion du risque et de l’information disponible pour l’arbitrage individuel des risques, donc facilement surestimés ou sous-estimés.

    Répondre à ce message

  • la cause des disparités des resultats ;niveau de developpement du pays consideré,la methode utilisé avec une difference entre le resultat calculé par la methode des couts et pertes des production brut et celui obtenu par la disponibilité à payer.ces divergences des resultats peuvent être un obstacle important au bon déroulement des negociations internationales.

    Répondre à ce message

  • Dans le tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », les disparités dans les résultats sont liées aux deux grands types de méthodes utilisées :

    - Estimation des coûts et pertes de production bruts : Méthode des pertes productives, où l’on considère l’individu dans sa seule dimension d’agent économique. La valeur de la vie à un instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de vie.

    - Disponibilité sociale à payer (CAP) : Qui est une estimation sociale consensuelle. Cette estimation des CAP est basée sur une situation hypothétique, non réelle.

    Nous avons donc d’un coté une approche "productiviste" et de l’autre une approche "sociale", c’est ce qui explique l’incompatibilité des résultats des deux méthodes.

    Répondre à ce message

  • la raison d’ordre méthodologique qui explique l’existance des disparités dans les résultats est la méthode utilisée.En effet, la différence se voit considérable entre le résultat calculé par la méthode
    des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Ces disparités dans les résultats en ce qui concerne l’estimation de la vie humaine sont dues de deux paramètres :
    - Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20.
    - Le deuxième paramètre est celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.
    La question se rapportant au deuxième paramètre, on peut dire que cette différence considérable des résultats (due aux méthodes employées) s’est retrouvée un peu partout dans les études menées. Il y’a toujours une surestimation de la valeur de la vie humaine (par exemple, pour certaines personnes, la perte de bien vaut 4 à 5 fois de leur revenu annuel. (Etude américaine sur la VVH). Il y’a toujours une différence entre les préférences révélées et celles déclarées car, les personnes sont plus en clin à un gain qu’à une perte.

    Répondre à ce message

  • De telles disparités des résultats existent car deux différentes méthodes sont utilisées, la méthode des coûts et pertes de productions brutes et la méthode de la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Le calcul de la valeur statistique de la vie humaine est complexe et théorique. IL existe plusieurs méthodes , mais les résultats présentent souvent de grande disparité. Particulièrement dans ce document , ou la valeur de la vie humaine par méthodes de "risque-salaire" / consommation et la méthode contingente (disponibilité à payer) sont très fort.
    Essayons d’expliciter ces différences de résultats entre méthode dites "de comportement reel" et de "projection".
    TOut d’abords, une première explication peux se trouver sur le fait que la première méthodes ne prend en compte que la population active ! Quid des retraités ? ou pis encore des jeunes ? (dont la valeur de la vie devrais être très forte). Donc il semble que la première methode sous estime la valeur de la vie.
    Il y a ensuite un autre biai sur la méthode contingente cette fois : spychologiquement parlant, on sait que les individus ne reagissent pas de la même manière en situation "hypothetique" qu’en situation réelle. Le consentement à payer est donc très souvent largement sur estimé.

    Répondre à ce message

  • Deux méthodes différentes ont été utilisées : la méthode de couts et pertes de production et celle de la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France. le deuxieme paramètre est celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calcule par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Si nous prenons l’exemple de la France et des USA, il y a une disparités entre les resultats voire la méthode utilisée. Au USA, la valeur statistique de la vie humaine est de 2350 en milliers d’Ecu selon la méthode de disponibilité à payer et de 441 selon la méthode de coûts et pertes de production brut. Nous notons ici que le resultat par la méthode des coûts et pertes de production bruts est calculé et sous estimé par rapport au second qui provient de pure enquête ( cout prêt a payer par les americains pour sauvegarder leur vie).

    Répondre à ce message

  • Que ce soient les méthodes de pertes de productions nettes ou brutes elles ne tiennent pas compte de la perte du bien-être prise en compte dans les méthodes d’estimation de la vie humaine basées sur la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Les résultats obtenus par la méthode de la disponibilité à payer sont largement supérieurs à ceux obtenus par la méthode des coûts et pertes de production brute.

    La méthode de disponibilité à payer peut s’appliquer à l’ensemble de la population et repose sur une situation hypothétique , non réelle (méthode contingente). La disponibilité à payer ; tant qu’elle se limite au stade d’éventualité, elle est plus acceptée que si elle devait être concrétisée dans les actes.

    En ce qui concerne la méthode des coûts et perte de production brute, elle se limite à la population salariale. Elle est basée sur des situations réelles ; relevant d’une implication des travailleurs.

    Les réponses dans une situation hypothétique diffèrent de celles obtenues d’une situation réelle.

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats est due à un certain nombre de chose :
    • Evaluation institutionnelle étant basée sur le secteur économique de chaque pays, ces pays n’ont pas le même niveau de développement, et les composantes du secteur économique n’ont pas les mêmes valeurs.
    • Variation de revenu d’une personne à l’autre.

    Répondre à ce message

  • Il existe de telles disparités dans les résultats calculés par la méthode coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer parce que les évaluations institutionnelles sont élaborées par les états ou les secteurs économiques, la personne humaine n’étant considérée que comme un agent économique. L’Etat et ces secteurs s’intéressent d’abord au profit et ont tendance à sous-estimé les pollutions pour réduire le coût à payer.

    Répondre à ce message

  • Ces disparités s’expliquent par le fait que deux méthodes bien distinctes sont utilisées dans ce rapport pour évaluer la valeur statistique d’une vie humaine.}}
    - la première méthode, celle des évaluations institutionnelles, correspond à un point de vue extérieur à la personne. Cette méthode est restrictive car elle considère l’individu uniquement comme un agent économique, c’est-à-dire dans sa fonction productive qui n’est représentée que par ses revenus du moment. La valeur de la vie, à un instant donné, est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de la vie. Elle représente également la part que la société est prête à payer.
    - la deuxième méthode, la disponibilité à payer, repose sur des enquêtes directement réalisées auprès des personnes concernées, elle correspond à un point de vue individuel et subjectif. Dans ce cas de figure, les individus ont tendance à surévaluer les coûts de leur vie.
    Cette méthode repose sur deux situations : celle où le risque est supposé connu de la population interrogée et celle où une information préalable est nécessaire avant de réaliser l’enquête. La méthode repose sur une étude des compensations salariales ainsi que sur les méthodes de coûts de protection. Cette méthode est fondée sur une notion de risque accepté plutôt que sur un risque imposé, elle considère uniquement les salariés (donc pas forcement représentative de la population globale).

    .Le deuxième point pouvant expliquer cette disparité repose sur la différence de niveau de développement des pays considérés. Si on compare le Portugal et la France, le rapport des estimations de la « valeur de la vie humaine » est de 1 à 20.

    Répondre à ce message

  • Selon la méthode utilisée, il existe une « différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer ».

    Répondre à ce message

  • Le fait qu’on ait pas utilisé la même methode d’estimation institutionnelle de la valeur statistique de la vie humaine dans tous les pays où l’étude a été menée.
    Dans certains pays on a utilisé la methode des pertes productives tandis que dans d’autre on a plutôt utilisé la methode de calcul de la disponibilité à payer.
    Hors la methode des pertes productive qui considére que l’individu se résume à son statut d’agent économique par conséquent s’il n’est pas productif au moment où se déroule l’enquête il n’est pas pri en compte.Donc cette methode est peut être peu représentative et se résume à l’élite productive de la société donc une partie de la population n’y est pas représenté parce que n’étant pas productive du tout ; En plus où est la place reservé au temps de vie ? La valeur de la vie à un
    instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste
    de vie. Et l’espérance de vie alors ? Si on est plus en vie on continue quand même à être productif ?
    Par contre la methode de calcul de la disponibilité à payer prend en compte toutes les classes sociales y compris les non économiquement productifs si bien qu’elle est l’estimation sociale consensuelle.Elle ne concerne que ceux qui sont encore " en vie" puisqu’il ya un consensus. Elle parait plus réaliste sur le plan pratique ! Donc il y aura peut être "à prori" moins de bias de surestimation ou de sous estimation que dans la methode des pertes productives côté représentativité humaine !

    Répondre à ce message

  • Les disparités s’expliquent par:le niveau de développement du pays et par la disponibilité sociale à payer ;
    les différents pays n’ont pas le même niveau de développement or la valeur de vie tient compte des salaires qu’on gagne, les pays développés donnent un salaire plus importants que ceux qui sont moins développés ceci explique la disparité.

    La disponibilité sociale à payer c’est une estimation sociale consensuelle ,elle n’est pas la même dans ces différents pays.Les pays ayant un indice de développement humain élevé comme le pays développé accorde plus d’importance à la valeur de vie . Surtout ceux qui sont riches et un niveau de formation élevé accorde plus d’importance à la protection de l’environnement et font un maximum d’effort en termes des ressources financières à éviter les dommages qu’est la perte de vie.

    Répondre à ce message

  • Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le
    Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de
    la vie humaine est de 1 à 20. Le deuxième paramètre est celui de la méthode
    utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode
    des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. Entre le Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20. Le deuxième paramètre est celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • La raison de telles disparités dans les résultats surtout entre la methode des coûts et pertes de production bruts et la méthode des CAP est : le CAP est considéré comme une estimation c’est à dire que le répondant est dans une sorte d’enchère sans obligation d’engagement qui pourraient être moindre si le répondant etait emmené à payer le prix de son estimation ; nous sommes dans l’approche de l’évaluation contingente où l’hypothése ne révéle aucunement la réalité ; alors que la methode des coûts et pertes bruts considère l’individu ou le répondant dans sa seule dimension d’agent économique ce qui fait qu’il a un comportement d’opportuniste en ce sens ou il révéle sa préférence par son comportement sur le marché. On peut dire que cette méthode examine les arbitrages en terme de gain ou de perte d’emploi et de salaire que font les individus entre richesse et risque dans leur décision de consommation. Cette methode est le contraire de la premiére methode des CAP car c’est basé sur le comportement réel.

    Répondre à ce message

  • Les disparités sont dues à la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.
    Bref, ces différents pays n’ont pas utilisé la même méthodologie pour produire ces résultats ;
    certains pays comme l’Allemagne, l’Australie, l’Autriche, la Belgique et le Danemark de même que la France, le Luxembourg, la Norvège, la Nouvelle Zélande, le Pays Bas et le Portugal ont utilisé la méthode de coûts et pertes de production bruts, d’autres comme les Etats Unis, la Finlande, le Royaume Unis, la Suisse et la Suède ont utilisé la méthode de disponibilité à payer, d’autres la disponibilité sociale à payer, Il y en a aussi qui ont fait la valorisation du temps de vie d’autres la perte de production brute (Espagne).

    Répondre à ce message

  • Il existe de telles disparités dans les résultats, car la méthode de calcul des coûts et pertes de production bruts et celle de la disponibilité à payer sont différentes.

    Répondre à ce message

  • les disparités existent dans les résultats vue que La majorité des études sont de type risque-salaire. Elles estiment le supplément de salaire associé à un plus grand risque de décès au travail.
    La seconde approche est celle de l’évaluation contingente, qui pose une situation de marché hypothétique pour enquêter les individus qui sont interrogés sur leur CAP .cette méthode est permet au chercheur d’adapter le questionnaire et l’échantillon pour obtenir précisément l’information dont il a besoin. cette méthode peut être appliquée à l’ensemble de la population alors que l’approche du risque par le salaire est limitée aux salariés. Le principal inconvénient est que les réponses des individus sont basées sur une situation hypothétique et non réelle. Par conséquent les réponses dans une situation hypothétique diffèrent de celles d’une situation réelle

    Répondre à ce message

  • Les disparites dans les estimations de la valeur de la vie humaine s’expliquent par les differentes methodes utilisees dans les etudes. Ainsi, les calculs se font sur des bases subjectifs en ce qui concerne les CAP, alors que les resultatas des pertes de production se basesnt sur des donnees concretes et reelles(approche capital humain).
    Le niveau de developpement du pays entre egalement en ligne de compte dans les disparites des estimations.

    Répondre à ce message

  • de telles disparités existe dans les résultats pour deux raison d’ordre méthodologique ;
    1- le niveau de développement du pays considéré
    2- les méthodes utilisées avec une grande différence entre le calcul par méthode des cout et perte de productivité brute et celui obtenu par la disponibilité à payer. Autre raison possible reste les années de études et la monnaie utilisée.

    Répondre à ce message

  • Dan le tableau les résultats sont aussi disparates à cause des diffrentes méthode ayant été utilisé.
    « différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer ».

    Répondre à ce message

  • ces disparités s’expliquent par l’utilisation des paramètres qui ne sont pas constants en fonction des pays ou des individus tels que l’espérance de vie, la notion du risque, le niveau d’éducation, le revenu...

    Répondre à ce message

  • Dans le tableau présenté ici, on observe des disparités dans les résultats principalement dus aux méthodes d’évaluation employées :

    - les méthodes productivistes impliquent que l’individu est considéré dans sa seule dimension économique et la valeur de la vie à un instant t sera la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de sa vie.

    - à l’opposé, la méthode de la disponibilité sociale à payer est une méthode résultant d’une consultation directe ou indirecte des individus.

    C’est une vision plus large de la valeur de la vie et on observe d’ailleurs dans le tableau que ce type de méthode (disponibilité à payer) donne des valeurs plus élevées.

    D’autre part, pour une même méthodologie, des variations importantes existent entre les pays du fait de la variabilité des niveaux de développement. D’autre part pour les méthodes productivistes, les différents choix en matière de taux d’actualisation ont pu largement influencer les résultats.

    Répondre à ce message

  • Cette différence s’explique par le fait que les deux méthodes sont basées des approches différentes. 1. L’approche risque par les salaires cible uniquement les travailleurs salariés et exclut les autres franges de la population ayant des niveaux d’espérance de vie et d’accumulation de salaire nettement différents de ceux des salariés. 2. L’approche des préférences révélées est basée sur les arbitrages entre richesse et risque que font les individus sélectionnés à partir d’un échantillonnage représentatif de la population en termes de préférences. Comme l’on est dans le cadre d’une situation hypothétique et non réelle, on se retrouve avec des valeurs de la vie humaine supérieures dans le second cas comparé au premier.

    Répondre à ce message

  • - La disparité des résultats diffère du fait de l’utilisation de méthode d’évaluation différente, il est normale que si on utilise la méthode de coût et perte de production brut on arrive à un résultat plus élevé que d’un estimation par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Les disparités entre les résultats s’expliquent par la différence de méthodes d’évaluation. par exemple : Le portugal (coût=12,5 millliers d’écus)e a utilisé une méthode dite du capital humain, qui permet de façon indirecte de valoriser les dommages en fonction de leurs incidences économiques(coûts et perte de production bruts. La France(coût=255 milliers d’écus) a quant à elle utilisé la méthode de consentement à payer, qui permet d’appréciation plus directement la valeur qu’accordent les individus à la vie humaine.

    Répondre à ce message

  • Ces cas de disparités peuvent s’expliquer par le fait qu’étant donné que les méthodes institutionnelles se basent sur des comportements réels du quotidien sur le marché, il est difficile lorsqu’on se base sur la dimension d’agent économique des individus, de déterminer avec exactitude les revenus .En plus, on ne tient compte dans cette méthode que des salariés, ce qui pourrait expliquer les coûts de perte de productions soient bas. D’un autre côté, dans un marché hypothétique, il est difficile de faire correspondre la promesse de payer avec le « payement » à proprement parlé en situation réelle. Car les gens ont tendance à surestimer leur CAP. Ils sont « virtuellement » prêts à payer largement plus cher.

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats peut s’expliquer par le type de méthode utilisée pour estimer la valeur statistique de la vie humaine. Les méthodes utilisées sont différentes, on distingue :
    Méthode d’estimation du CAP (estimation sociale à payer)
    Méthode d’évaluation des pertes de productivités du capital humain (méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer).

    Répondre à ce message

  • Les disparités sont dues aux méthodes utilisées, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Suivant la méthode utilisée il peut y avoir une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer .
    Pour la première , il peut y avoir des difficultés en rapport même avec la valeur de la vie qui est uniquement prise comme ponctuelle chez un individu
    pour la disponibilité à payer : fortement influencer par divers paramètres dont le niveau d’éducation , la position géographique...

    Répondre à ce message

  • Ces disparités des résultats s’expliquent par les différentes méthodes institutionnelles utilisées pour le calcul de la valeur statistique de la vie humaine. En effet, pour le calcul de la valeur statistique de la vie humaine par la méthode des coûts et pertes de production bruts, il s’agit de la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de vie alors que l’autre méthode qui est l’estimation sociale consensuelle est traduite par la disponibilité sociale à payer. Pour le calcul, chaque méthode a ses paramètres qui entrent en jeu d’où la disparité des résultats.

    Répondre à ce message

  • La raison méthodologique qui explique ces disparités dans les résultats est l’utilisation de méthodes de valorisation différentes de la valeur de la vie humaine. Dans un des cas, la méthodes des coûts et pertes de productivités bruts et dans l’autre la méthode du consentement à payer. Cette différence dans la méthode utilisée conduit à des résultats disparates.

    Répondre à ce message

  • La raison d’ordre méthodologique qui explique les disparités dans les résultats réside dans les méthodes de détermination des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine Les méthodes de calcul de la valeur statistique de la vie humaine peuvent être classées en deux grandes catégories :
    - La première catégorie est celle des évaluations institutionnelles élaborées par les Etats ou les secteurs économiques comme, par exemple, les compagnies d’assurance ou les compagnies aériennes. Ces évaluations institutionnelles correspondent à un point de vue extérieur à la personne humaine, celle-ci étant considérée essentiellement comme un agent économique.

    - La deuxième catégorie d’évaluations correspond à un point de vue individuel et subjectif où des personnes interrogées expriment un point de vue, lui-même entaché d’artefact.

    Répondre à ce message

  • La première raison de cette disparité d’ordre non méthodologique liée au pays est bien la population et la monnaie. Pour comparer, il faut convertir les salaire dans une même monnaie, de même il faut tenir compte du taux de change pour évaluer les parités du pouvoir d’achat.

    la deuxième raison est les préférences individuelles caractérisées par l’éclairage sur les aspirations de l’opinion publique à l’égard de la valeur de la vie humaine. Elles permettent de dessiner les caractéristiques individuelles et les contraintes budgétaires pour chaque pays. A titre d’exemple, les estimations du coût des maladies, des accidents et des atteintes à l’environnement sont largement utilisées aux États-Unis pour connaître l’importance de leurs conséquences économiques et la part de chaque mal social dans le coût total des actions de prévention et de traitement.

    Répondre à ce message

  • Le postulat de départ entre les deux principales méthodologies met en évidence de possibles disparités d’estimation, due essentiellement à la présence de variables externes (la méthode basée sur les pertes productives dans laquelle on assume que l’individu est un agent économique avec un même profil productif, santé, áge) ou internes / subjectifs ( la méthode de la DAP où l’individu est plus vecteur d’influence). La première ne peut prendre en compte les éléments objectifs de variation de potentiel productif au cours d’une vie et la seconde met en avant les erreurs d’estimation des propres usagers, surestimant leur réelle capacité à payer.
    Par ailleurs les valeurs estimées ne sont probablement pas représentatives en soi et de facto utilement comparable étant donnés aussi les éléments objectifs sur les différences de développement entre les pays ou secteurs professionnels étudiés et pour autant de productivité réelle, de connaissance et d’information de risque réel (et conséquences sur la santé et bien être).

    Répondre à ce message

  • Le tableau page 353 nous montre une très grande disparité. Si on regarde dans le détails on a différentes méthodes utilisées. Nous sommes en présence d’une grande différence entre les résultats obtenus par la méthode des coûts et pertes en production brut et celui obtenu par la disponibilité à payer le CAP.

    Répondre à ce message

  • Les valeurs qui figurent dans le tableau à p.353 présentent une grande disparité.

    En première instance, il faut considérer que les méthodes utilisées sont différentes : les valeurs sont plus élevées pour la méthode du consentement à payer qu’avec les coûts et pertes de production brutes.
    Cette dernière méthode prend en considération seulement les salariés, donc exclut une partie de la population et ne permet pas de donner une image réelle de la situation analysée.
    Elle considère l’individu comme un agent économique productif ; cela port à sous-estimer la valeur de la vie humaine.
    Les valeurs obtenues avec la méthode du CAP représentent le prix que la société est disposée à payer ; c’est une approche plus sociale et moins productiviste par rapport au précédent.

    Répondre à ce message

  • Les valeurs de la vie humaine listées dans ce tableau n’ont pas toutes étaient évaluées de la même manière. Les différentes méthodes utilisées ne tiennent pas compte les mêmes paramètres ; elles donnent, par conséquent, des résultats différents avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer. Il est alors difficile de comparer ces différentes estimations.

    Répondre à ce message

  • La première raison est le niveau de développement du pays considéré. La deuxième raison est celui de la méthode utilisée avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des couts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer. Ces divergences de résultats. Les disparités viennent du fait que les niveaux de développement diffèrent d’un pays à l’autre et en plus les méthodes utilisées pour calculer les couts et pertes diffèrent aussi. Or, la méthode institutionnelle la plus usitée est celles des pertes productives. L’individu est considéré dans sa seule dimension d’agent économique et sa contribution n’est que son salaire pour les salaries. Il est difficile de bien chiffrer exactement les revenus par âge et les espérances de vie par classe d’âge, le choix du taux d’actualisation est important. Le deuxième type d’évaluations est celui de la disponibilité sociale à payer. on peut le considérer comme l’estimation sociale consensuelle. On note des disparités dans les résultats, ce qui souligne les difficultés de l’exercice.

    Répondre à ce message

  • Les disparités dans les résultats sont du a l’utilisation des méthodes différentes dont :
    - la méthode des coûts et pertes de production bruts où l’individu est considéré dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. La valeur de la vie à un instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de vie. Au-delà de ces postulats restrictifs, des imperfections de la connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge, le choix du taux d’actualisation est d’une grande importance.
    - la méthode de la disponibilité à payer qui est une estimation sociale consensuelle.

    Répondre à ce message

  • Les méthodes utilisées montrent une grande différence entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de productions(VSV moindre) et celui obtenu par la disponibilité à payer(VSV élevée). La méthode des pertes productives considère l’individu dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. Ainsi, la VSV à un instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de la vie -----> VSV est moindre. Par contre, la méthode de la disponibilité à payer est une estimation sociale consensuelle -----> on consent plus à payer pour la vie tout simplement---------> VSV plus élevée par rapport à l’autre méthode.

    Répondre à ce message

  • L’utilisation des méthodologies "évaluation des pertes productives du capital humain" et "disponibilité sociale à payer" pour l’estimation institutionnelle de la valeur statistique de la vie humaine amène à des disparités importantes dans les résultats.
    La méthode "évaluation des pertes productives du capital humain" considère l’individu dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. La valeur de la vie à un instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de la vie.
    La méthode "disponibilité sociale à payer" est la méthode que l’on peut considérer comme l’estimation sociale consensuelle. Par cette méthode, on sera toujours disposer à payer davantage surtout si cela reste dans le cadre d’une hypothèse.

    Répondre à ce message

  • Ces différences d’ordre méthodologique, entre les résultats calculés par la méthode des coûts et pertes de production bruts et ceux obtenues par la disponibilité à payer, peuvent être expliquées par les sources de données différentes

    Répondre à ce message

  • Les méthodes de calcul de la valeur statistique de la vie humaine se rapportent à la fois aux méthodes directes et méthodes indirectes d’évaluations monétaires des dommages se réfèrent aux catégories des évaluations institutionnelles et d’évaluations correspond au point des personnes interrogées. Par rapport à la question du TD, les disparités dans les résultats relatives à l’ordre méthodologique, proviennent du fait que :
    • Le choix des valeurs selon le contexte dans lequel les individus répondent : les individus répondent en situation hypothétique et non réelle. En effet, ils ne disposent pas de justificatif réel des données qui fondent leurs réponses ou valeurs utilisées, et se retrouvent davantage sous l’influence de l’état psychologique. Et les réponses dans ce cas ne peuvent que différées.
    • L’importante dispersion des valeurs de référence de la vie humaine : les valeurs considérées sont issues de la différence entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Le tableau de la page 353 nous montre des disparités d’estimation.Une différence considérable entre le résultat et la méthode utilisée avec des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • La méthode institutionnelle reposant sur les pertes productives, dépend du choix du taux d’actualisation, des imperfections de la connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge (problème de représentativité).
    La méthode institutionnelle de la disponibilité sociale à payer , dépend de l’information préalable nécessaire, du risque encouru (risque accepté plutôt qu’un risque imposé).
    De plus, les pertes de qualité de vie, due à des atteintes physiques non létales ne sont pas chiffrées : il faudrait mettre en place des indicateurs qui rendent compte de différences qualitatives.

    Répondre à ce message

  • Selon la méthode utilisée, il existe une différence considérable entre les résultats calculés par la méthode des coûts et pertes de production bruts et ceux lui obtenus par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • La raison méthodologique qui entraine des disparités dans les résultats d’ « estimation institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine » est que les atteinte physique non mortelle ne sont pas pris en compte quantitativement ce qui influence les calculs des coûts externes.

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités dans les résultats lors de l’estimation institutionnelle de la valeur statistique de la vie humaine car tout simplement les méthodes utilisées pour avoir ces estimations sont variables.
    -  Explication : voir les valeurs issues des méthodes de disponibilités à payer qui sont les plus
    hautes du tableau et les valeurs issues de méthodes productivistes qui sont beaucoup plus basses.

    Répondre à ce message

  • Les raison d’ordre méthodologique des disparités :
    - choix des méthodes
    - niveau de développement du pays considère.
    - grande différence entre les résultats des deux méthodes.

    Répondre à ce message

  • La différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer réside dans la méthodologie du CAP, j’entend les réponses des situations hypothétiques extrapolées à des situations réelles qui peuvent être très differentes.

    Répondre à ce message

  • Les disparités s’expliquent par le fait qu’elles correspondent à un point de vue extérieur à la personne humaine et à la méthode d’évaluation utilisée. Il y’aune différence considérable entre le résultat calculé par la méthode Des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Il existe de telles disparités dans les résultats parce que le deuxième paramètre relatif à la méthode souligne une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Dans un cas l’individu est considéré dans sa seule dimension d’agent économique (méthode
    des coûts et pertes de production bruts), dans l’autre on considère simplement la disponibilité sociale à payer.

    Répondre à ce message

  • On observe d’importante disparités dans les résultats pour différentes raison.
    Tout d’abord, deux méthodes distinctes ont été utilisés pour l’évaluation institutionnelle de la "valeur" de la vie humaine. La première (et la plus utilisée) raisonne en terme de perte de producton et la deuxième s’intéresse à la disponiblité sociale à payer (que l’on peut considérer comme une estimation sociale consensuelle). Ainsi on observe des "valeurs de la vie humaine" strictement supérieures en utilisant la méthode de disponibilité à payer que celles calculées avec un raisonnement de perte de production. Cette différence peut entre autre s’expliquer par l’approche de chacune de ces 2 méthodes. La disponibilité sociale à payer est une évaluation contingente donc, de manière sommaire, elle traduit la somme que la population serait prête à débourser pour éviter un risque. Ainsi, en plus d’un raisonnement économique (chaque personne ayant des revenues différents), il est avant tout question de perception du risque. L’autre méthode, qui se voudrait plus objective, s’appuie seulement sur des résultats chiffrés pour déterminer la perte économique pour la société du décès prématuré d’une personne. Il n’y a donc pas cette notion subjective de perception du risque, c’est pourquoi les valeurs sont inférieures.
    Enfin, un autre paramètre a été utilisé pour estimer la "valeur statistique de la vie humaine", il s’agit du niveau de développement du pays considéré qui peut avoir un impact (bien moindre que l’impact dû aux méthodes) peut être non négligeable. L’article ne nous en dit pas plus sur ce paramètre donc il n’est pas possible de connaitre véritablement sont influence sur les valeurs finales.

    Répondre à ce message

  • La disparité observée dans les résultats est due :
     D’abord à la variabilité du niveau de développement des pays considérés
     Ensuite, la différence des méthodes d’évaluation utilisées, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Chaque méthode aborde le problème différemment, ne mesure pas les même choses et contient des hypothèses qui lui sont propres !. Par conséquent, il n’est pas surprenant de voir une telle hétérogénéité dans les estimations. Par exemple, pour les évaluations par contingence de type risque-salaire, on se base sur un consentement à payer en fonction du risque (généralement connu). Les populations sont donc tous salariés et l’étude ne couvre qu’un aspect professionnel du risque. Dans les études de type coût et perte de production brute, la population visée est beaucoup plus large et la perception du risque est donc plus aléatoire.
    Par ailleurs, les différentes méthodes évaluent des valeurs "vraies" (salaire) pour certaines ou des valeurs fictives pour d’autres...Il est donc assez probable que les valeurs soit différentes.
    Chaque méthode a des forces et des faiblesses, mais les comparaisons entre méthodes différentes sont complexes en raison des estimations et hypothèses propre à chacune.

    Répondre à ce message

  • Il existe de telles disparités dans les résultats en raison de la méthode utilisée pour le calcul de la valeur statistique de la vie humaine. En effet, Il y a une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode de coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Il existe disparités dans les résultats parce que les méthodes utilisées (méthode institutionnelle) pour l’estimation de la valeur statistique de la vie humaine sont différentes, celles utilisées étant les coûts et pertes de production bruts, la perte de production brute, la disponibilité à payer et la valorisation du temps de vie.

    Répondre à ce message

  • ça dépends du développement du pays considéré et de la méthode utilisée pour calculé les résultats

    Répondre à ce message

  • une légère différence « différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer ».

    Voir également l’article de Lannoie estime le supplément de salaire associé à un plus grand risque de décès au travail. Ce supplément est déduit en faisant une régression entre le salaire et le risque de décès. L’analyse par régression est utilisée afin d’estimer aussi les facteurs autres que le risque pouvant influer sur le salaire. Ce supplément traduit l’arbitrage entre richesse et risque. L’approche du risque par les salaires repose sur plusieurs hypothèses. Elle suppose tout d’abord que les travailleurs ont une information correcte, fiable sur le risque associé à différents emplois. Si les travailleurs n’ont pas une information correcte, cela conduit à mener l’analyse avec un risque perçu, et les travailleurs font alors reposer leur demande de salaire là-dessus.En secondo elle suppose que les travailleurs peuvent changer facilement et librement de travail. Sinon, les travailleurs sont contraints d’accepter un supplément de salaire plus faible que leur choix optimal, et cela peut conduire à un biais plus en aval dans l’estimation de la valeur de la vie statistique. Les études sur le marché des consommateurs examinent les arbitrages que font les individus entre richesse et risque tous les jours dans leurs décisions de consommation. L’avantage majeur des approches du risque par le salaire ou sur les marchés de consommation est qu’elles sont basées sur le comportement réel. Il est nécessaire en revanche que les travailleurs et consommateurs aient une information correcte sur le risque associé à certains emplois et activités de consommation, ce qui n’est pas toujours le cas. (...) l’approche du risque par le salaire est limitée aux salariés ». Il y a donc beaucoup d’hypothèses à respecter, mais, surtout, seule la population salariées est évaluée. On ne prend pas en compte les retraités, sachant, qu’en plus, leur espérance de vie restant à vivre est en moyenne inférieure à celle de la moyenne des salariés.

    Explication:en grande partie, la différence observée pour la valeur statistique de la vie humaine aux États-Unis selon le type de méthode : seulement 441 millions d’Ecu, résultat issu d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, contre 2350 millions d’Ecu (soit environ 5,5 fois plus), résultat issu cette fois d’une étude en termes de disponibilité à payer (méthode contingente).

    Enfin, et ceci est lié à ce qu’on vient d’exprimer, comme le soulignent Lannoie et Latour, « les réponses des individus sont basées sur une situation hypothétique et non réelle. Les réponses dans une situation hypothétique diffèrent de celles d’une situation réelle. ». En substance, on sera toujours disposés à payer plus quand on pose la question et que cela reste une éventualité (c’est une « promesse de don ») que lorsqu’on est amené à effectivement payer (faire un « don »), cf. la différence, chaque année, qu’il existe entre la somme qui correspond aux promesses de don à la fin du week-end du Téléthon, et la somme qui sera réellement versées aux organisateurs du Téléthon, généralement inférieures aux promesses... !
    NB : c’est une disparité

    Répondre à ce message

  • Quelques raisons :
    Le premier paramètre est le niveau de développement du pays considéré. les pays n’ont pas toujours les mêmes grilles d’évaluation ; ar exemple, Entre le Portugal et la France le rapport des estimations de la « valeur »de la vie humaine est de 1 à 20.
    > Le deuxième paramètre est celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Il existe une différence entre les résultats obtenus avec la méthode contingente et la méthode des coûts et pertes de production.
    Les situations n’étant pas les mêmes (réels dans un cas et hypothétiques dans l’autre), les résultats ne peuvent qu’être différents.

    Répondre à ce message

  • D’un point de vue strictement méthodologique, les deux principales méthodes de calculs utilisées ne fournissent pas les mêmes résultats entre elles. Par exemple, pour les États-Unis, la valeur statistique de la vie humaine a été établie à 441 par la méthode des coûts et perte de production et à 2350 par la méthode de la disponibilité à payer.
    De plus, pour chacune des méthodes, des biais et limites méthodologiques peuvent exister. Ainsi, l’estimation des revenus par âge, de l’espérance de vie par classe d’âge et le choix du taux d’actualisation peuvent expliquer ces disparités.

    Répondre à ce message

  • Les résultats de l’estimation de la valeur statistique de la vie humaine dépendent fortement de la méthode d’évaluation utilisée. Les valeurs obtenues par la méthode des coûts et pertes de productions brutes sont largement inférieures à celles obtenues par la méthode de la disponibilité à payer. En effet, cette disparité est due au fait que les coûts et les pertes évaluées traduisent une réalité vécue par les personnes tandis que le consentement à payer est une promesse et ne reflète pas la réalité. Il est donc normal que la promesse traduite ici par le CAP soit plus grande que la réalité. Ceci est illustré par l’article de Lannoie et Latour concernant la valeur statistique de la vie humaine, au sujet de l’ajustement du salaire des employés en fonction du risque.

    Répondre à ce message

  • Cette disparité provident de l’appréciation des coûts directes et indirectes.

    En effet, en function des états, ou des institutions, les coût seront évalué différement en function des spécifité de la region et meme de son historique. Les coût indrectes quant a eux ont toujours eu une part énorme de subjectivité.

    Répondre à ce message

  • La raison d’ordre méthodologique qui existe et explique les disparités dans les résultats du tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine » est celle de la méthode utilisée. Par exemple, il existe une grande différence entre le résultat calculer coût et et perte de production bruts et celui obtenu à partir des consentement à payer.
    Tout ceci s’explique par le niveau de développement de chaque pays ou région considérée et aussi la capacité à négocier les accords internationaux rentre en ligne de compte. Une aussi des explications est que les Etat et les secteurs économiques ont des limites financières et des accords de comptabilités et autres interne ou externe à respecter.

    Répondre à ce message

  • L’ordre méthodologique amène à des disparités dans les résultats par les éléments d’informations et l’exactitude que possèdent les travailleurs pour prends conscience d’un risque. D’autre part par le choix de consommation se fait par le niveau de revenu important afin que la possibilité d’un risque soit mesurée donnant un arbitrage pour ces individus uniquement.

    Répondre à ce message

  • La différence entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer peut être expliqué par deux approche : L’approche du risque par les salaires qui se base sur la régression entre le salaire et le risque de décès et l’approche des préférences révélées selon laquelle les individus révèlent leurs préférences par leur comportement sur un marché en effectuant un arbitrage entre richesse et un risque physique

    Répondre à ce message

  • La raison principale est que la valeur statistique de la vie n’a pas été estimée par la même méthode. L’utilisation de deux méthodes différentes , celle des coûts et pertes de production bruts et celle de la disponibilité à payer explique en partie les écarts observés entre pays.

    Répondre à ce message

  • les méthodes diffèrent d’un état à un autre :
    - coûts et pertes de production bruts (Allemagne, Belgique, USA, France...)
    - perte de production brute (Espagne)
    - disponibilité à payer (USA, Finlande, Suède,...)
    - Valorisation du temps de vie (France)
    - Disponibilité sociale à payer (Suisse)

    Répondre à ce message

  • Il y a disparité des résultats dans l’estimation de la valeur de la vie humaine parce que les méthodes utilisées sont différentes. Prenons le cas des estimations des pertes productives qui ne tient pas compte que de la dimension économique. Elle conduit à des valeurs plus faibles que celles issues de la disponibilité sociale à payer.

    Répondre à ce message

  • Selon la méthode utilisée, une « différence considérable existe entre le résultat calculé par la méthode des coûts et des pertes brutes de la production et celui obtenu par la disponibilité à payer."

    Pour voir l’article de Lannoie-Latour également, les études de type risque-salaire estimer le supplément de salaire associé à une plus grande risque de décès au travail. Ce supplément est déduit tout en faisant une régression entre le salaire et le risque de décès. L’analyse par régression est utilisée afin d’estimer aussi les autres facteurs que le risque susceptible d’influer sur le salaire. Ce supplément se traduit par l’arbitrage entre la richesse et le risque. L’approche du risque par les salaires repose sur plusieurs hypothèses. Elle / il suppose tout d’abord que les travailleurs ont une bonne information, fiable sur le risque associé à différents emplois. Si les travailleurs ne disposent pas d’une information correcte, il pousse à mener l’analyse à un risque discerné, et les travailleurs ont leur demande de salaire reposait alors sur ce point. Deuxièmement / elle suppose que les travailleurs peuvent changer facilement et librement des travaux. Dans le cas contraire, les travailleurs sont contraints d’accepter un supplément de salaire plus faible que leur choix optimal, et il peut conduire plus en aval à une pente dans l’évaluation de la valeur de la vie statistique. Les études sur le marché des consommateurs examinent les arbitrages que les individus font chaque jour entre la richesse et le risque dans leurs décisions de consommation. Le principal avantage de l’approche du risque par le salaire ou sur les marchés de la consommation est qu’ils sont basés sur le comportement réel. Il / il est nécessaire d’autre part que les travailleurs et les consommateurs ont une information correcte sur le risque associé à des emplois et des activités de consommation, ce qui est pas toujours le cas. (...) L’approche du risque par le salaire est limité aux salariés ". A beaucoup d’hypothèses donc à respecter, mais, en particulier, seule la population des employés salariés sont évalués. On ne prend pas compte les retraités , sachant, de celui-ci que dans plus, leur espérance de vie restante à vivre est en moyenne inférieure à celle de la moyenne des employés salariés. on ne prend pas en compte les bébés, les enfants, les adolescents, les étudiants, dont ce, temps, l’espérance de vie restant à vivre, et donc, encore, de l’accumulation des salaires à venir, est en moyenne inférieure à celle de la moyenne des employés salariés.

    Cette raison explique, en grande partie, la différence observée pour la valeur statistique de la vie humaine aux Etats-Unis selon le type de méthode : seulement 441 millions d’écus, le résultat est descendu d’une enquête menée en utilisant les coûts et les pertes de production brute, contre 2350 millions d’écus (soit environ 5,5 fois plus), est descendu résultat cette fois d’une enquête en termes de disponibilité à payer (méthode contingent).

    Enfin, et il est lié à ce que l’on vient d’exprimer, comme Lannoie et Latour le soulignent, « les réponses des individus sont basés sur une situation réelle hypothétique et non. Les réponses dans une situation hypothétique de reporter ceux d’une situation réelle." . En substance, on sera toujours prêt à payer plus quand on pose la question et qu’il restait une possibilité (il est une « promesse de subvention ») que lorsque l’on est amené à en fait à payer

    Répondre à ce message

  • Selon que l’on utilise la méthode des méthode des coûts et pertes de production bruts et celle de la disponibilité à payer, l’on note des différences importantes entre le résultats calculés.

    Nous avons en premier lieu que les hypothèses de travail ne sont pas les mêmes : le travailleur peut avoir une information sûre sur le risque associé aux emplois ou pas. Dans le deuxième cas, on introduit une erreur dans l’estimation de la valeur de la vie statistique.

    Dans un deuxième temps, si nous prenons l’approche du risque par le salaire, il est limité aux salariés. Qu’en est-il des retraités, des sans emplois, de la jeunesse, dont les espérances de vie sont variables ? C’est cela qui explique fondamentalement qu’on relève une différence entre la valeur statistique de la vie humaine aux USA selon le type de méthode : 441 millions (ECU) obtenu avec l’approche des coûts et pertes de production brute contre 2350 millions en utilisant l’approche en termes de disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Sur le plan méthodologique, plusieurs raisons peuvent expliquer les disparités entre les différents résultats, notamment entre, ceux obtenus avec les méthodes de calcul des coûts des impacts, des pertes économiques et de la disponibilité des personnes à payer pour réduire les risques.
    L’approche du risque par les salaires repose sur de nombreux facteurs et suppose en premier lieu que les salariés interrogés ont leur possession l’ensemble des informations nécessaires concernant les risques et tous les autres paramètres qui peuvent influer sur leurs salaires. Dans le cas contraire, les personnes interrogées se focaliser sur le risque perçu et pas sur le risque rée, et leurs demandes restent figées autour de la partie salaire.
    Les analyses réalisées se sont basés sur un échantillon non représentatif des salaries car les non actifs (retraités, salariés en congés ou en arrêt de maladie…) n’ont pas été interrogés lors de ces évaluations. Or on sait bien que les retraités par exemple n’ont plus la même espérance de vie que ceux qui sont encore au travail…

    Répondre à ce message

  • La raison d’ordre méthodologique pour laquelle il existe de telle disparités dans les résultats est la prise en compte du niveau de vie du pays. L’autre raison serait d’ordre méthodologique.

    Répondre à ce message

  • La méthode institutionnelle la plus usitée pour le calcul de la valeur statistique de la vie humaine est la méthode des pertes productives. L’individu est considéré dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. Ainsi la valeur de la vie à un instant t donné est la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de sa vie. Mais il existe des imperfections de connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge et le choix du taux d’actualisation est d’une grande importance.
    Le second type d’évaluations institutionnelles est celui de la disponibilité sociale à payer, considérée comme l’estimation sociale consensuelle. Elle exprime un point de vue individuel et subjectif puisque les personnes interrogées expriment leur point de vue entaché d’artefact. Les réponses sont basées sur une situation hypothétique et non réelle.
    Il existe par conséquent une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des pertes productives et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Deux méthodes ont été utilisées et ne sont pas comparables : la méthode des coûts pour "Coûts et pertes de production bruts" et le CAP pour la "Disponibilité à payer". Il y a même pour la France une "Valorisation du temps de vie".
    Il existe toujours une différence entre ce qu’on est prêt à recevoir pour éviter une exposition et ce qu’on est prêt à donner sur une base tout à fait hypothétique voire subjective en fonction du moment où on nous pose la question : est-on malade ce jour-là...

    Répondre à ce message

  • Les raisons sont les suivantes:Le niveau de développement de chaque pays et la méthode utilisée.Certaines méthodes sont plus objectives que d’autres et le niveau de développement influence les résultats.

    Répondre à ce message

  • On peut observer des disparités entre les estimations de la valeur statistique de la vie humaine en raison des différentes méthodes utilisées. Dans certains cas, on eu recours au consentement à payer alors que dans d’autres aux couts et pertes de production bruts.

    Répondre à ce message

  • De telles disparités existent dans les résultats car l’évaluation de la vie humaine repose sur l’idée que du point de vue du gestionnaire public la valeur d’une vie humaine peut être assimilée au facteur de production.Le coût d’un décès anticipé peut correspondre à la perte de production

    Répondre à ce message

  • De tells disparites existent du fait de l’utilisation des parametres comme : le niveau de developpement des pays en questions ;les couts et les pertes de production des pays en question et le dernier parametre concerne la disponibilite a payer de ces pays concernes.

    Répondre à ce message

  • Les résultats sont différents suivant la méthode utilisée. La méthode des coûts et pertes de production bruts fait référence à une situation réelle alors que la méthode de la disponibilité à payer fait référence à une situation hypothétique.

    Répondre à ce message

  • Les résultats sont d’une disparité énorme.les résultats sur la méthode des coûts et pertes de production sont nettement moins élevés que ceux de la méthode contingente. La méthode des couts et pertes de production considèrent l’individu comme un agent économique.La somme actualisée des revenus est égale à la valeur de la vie.Les travailleurs savent les risques liés à leur emploi et accorde une valeur qu’ils jugent juste par rapport aux risques réels qu’ils encourent. Les risques sur les pertes de production concernent uniquement les salariés, ce qui peut augmenter la différence au niveau du résultats

    Répondre à ce message

  • Les raisons des disparités au niveau de l’estimation de la valeur statistique de la vie humaine sont :
    - La différence des réalités économiques entre les pays ;
    - La méthodologie utilisée, à cause de la différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • La raison des disparités dans les résultats s’explique par une méthodologie différente. Dans un des cas, la méthodes des coûts et pertes de productivité brut et dans l’autre la méthode de la disponibilité à payer (consentement à payer) : cette différence dans la méthode ainsi que la différence propre à chaque pays (population) amène à une disparité (plus ou moins flagrante) dans les résultats.

    Répondre à ce message

  • il s’agit de 2 méthodes differentes. par conséquent, il y aura disparité
    notons que les résultats de la disponibilité à payer sont plus élévés que ceux du cout de perte de production bruts. ceci parce que lorsqu’il s’agit du CAP, cela est fictif, hypothétique, les individus répondent et font des promesses qu’ils ne respectent pas souvent, c’est eventuel par conséquent les prix sont élévés. pourtant dans le cas des "couts et pertes de production", ce sont des prix réels qui ont été calculés et évalués.

    Répondre à ce message

  • Dans le tableau p 353 nous obtenons des résultats d’une forte disparité. On constate que les résultats obtenus par la méthode de contingente sont globalement plus élevés que ceux obtenus par la méthode des coûts et de perte de production. Les études sur les pertes de production concernent essentiellement les salariés, ce qui peut accentuer la différence au niveau du résultat si on ne prend pas en compte d’autres catégories de population.
    Ainsi, les résultats dépendent du pays et de la méthode utilisée ; il y a une "différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer". Les personnes ayant répondu à la méthode contingente accordent une valeur statistique de la vie supérieure. La situation du marché étant hypothétique, les répondants sont moins concernés par rapport aux risques réels. L’analyse par régression est utilisée afin d’estimer aussi les facteurs autres que le risque pouvant influer sur le salaire. Les coûts et pertes de productions bruts sont moins élevés car ils impliquent les risques/pertes financiers en cas de maladies ou d’accident. On suppose ainsi que le salarié est informé correctement des risques sur son emploi et des différents emplois.
    La valeur statistique de la vie humaine aux Etats-Unis selon le type de méthode : seulement 441 millions d’Ecu, résultat issu d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, contre 2350 millions d’Ecu (soit environ 5,5 fois plus), résultat issu cette fois d’une étude en termes de disponibilité à payer (méthode contingente).

    Répondre à ce message

  • Ceci peut etre du a une grande dispersion des resultats qui est peut etre due a la valeur de reference de la vie humaine differente selon les pays et intitutions.

    Répondre à ce message

  • Parce que la méthodologie utilisée ne considère l’individu que dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment.

    Répondre à ce message

  • Ces disparités sont propre à l’évaluation institutionnelle car celle ci correspond à un point (particulière au niveau social de chaque pays) de vue extérieur à la personne humaine, celle-ci étant considérée essentiellement comme un agent économique.

    Répondre à ce message

  • D’après la méthodologie, le résultat obtenu à partir des prix (coûts) et pertes de production(productivité) est nettement très différent par rapport au résultat du à la disponibilité à payer.
    Il y’a une diversité d’hypothèses sur lesquelles se base l’approche du risque en fonction de la rémunération (emploi). L’information et l’absence d’information du travailleur sont très significative.
    Les analyses du marché examinent les arbitrages des individus pour les richesses et les risques quotidiens
    L’avantage généré par les approches du risque par le salaire ou sur les marchés est la focalisation sur le comportement des individus.
    On ne prend pas en considération les personnes du troisième âge qui constituent généralement une tranche de la population inactive, vu, qu’en plus, leur espérance de vie restant à vivre est en moyenne inférieure à celle de la moyenne des salariés.
    Les étudiants, bébés, adolescents, enfants dont, l’espérance de vie, et donc, pourtant, d’accumulation des salaires à venir, est en moyenne inférieure à celle de la moyenne des salariés ne sont pas pris en considération.
    C’est généralement la raison pour laquelle la différence observée pour la valeur statistique de la vie humaine aux États-Unis d’Amérique selon le type de méthode : seulement 441 millions d’Écu, résultat issu d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, contre 2350 millions d’Écu (soit environ 5,5 fois plus), résultat issu cette fois d’une étude en termes de disponibilité à payer (méthode contingente).
    Bref, on peut se référer aux auteurs Lannoie et Latour, « les réponses des individus sont basées sur une situation hypothétique et non réelle. Les réponses dans une situation hypothétique diffèrent de celles d’une situation réelle. ».

    Répondre à ce message

  • Il existe une différence creuse entre les résultats fournis par la méthode des coûts et pertes de production et celle de la disponibilité à payer. Cette différence est visible, plus pour le cas des Etats Unis ,et moins pour le cas français, où la valeur statistique de la vie humaine passe de 441 milliers d’Ecu par la méthode des coûts et pertes de production à 2350 milliers d’Ecu via la méthode de la disponibilité à payer.
    L’explication de cette différence est que dans le cas de la méthode de la disponibilité à payer, les réponses des individus sont basées sur une situation hypothétique et non réelle. Les réponses dans une situation hypothétique diffèrent de celles d’une situation réelle (voir aussi la partie traitant l’approche des préférences révélées dans l’article "la valeur statistique de la vie : comparaison de deux approches" de Lannoie et Latour 1995).

    Répondre à ce message

  • ces disparités sont liées au choix du niveau de développement du pays considéré, à la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • on constate qu’il y a disparités dans les résultats, plus précisément entre les méthodes qui sont :
    - coût et perte des production bruts
    - la disponibilité à payer
    - valorisation du temps du vie.
    pour l’estimation de la valeur statistique de la vie humaine on prend le cas d’Etat-Unis qui a un coût de 441 millions d’Ecru dans la 1 ère méthode et 2350 millions d’Ecru dans la deuxième
    même pour la France selon la méthode on observe une différence
    ==> ceci se base sur le comportement réel de travailleur et consommateurs

    Répondre à ce message

  • La méthode utilisée est à ma base de cette différence considérable entre les résultats.
    La méthode des couts et perte de production bruts, prend en compte tous les couts externe lies à l’impact sanitaire pour évaluer la vie humaine. C’est donc un agrégat de couts. Ceci peut avoir des biais dans les valeurs prises.
    la méthode de disponibilité à payer, quand à elle tient compte de niveau de développement des pays

    Répondre à ce message

  • les réponses des individus sont basées sur la base d’une hypothèse, qui ne reflète pas forcément la réalité ( ce que les gens promettent face à une éventualité ne représente pas forcément ce qu’ils feront si la situation se présentait)

    Répondre à ce message

  • La disparité est du : au rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine entre les états, la méthodes des coûts et pertes de productivité brut et pour l’autre la méthode du consentement à payer cela donne une différence dans la méthode utilisée conduit à des résultats différents.

    Répondre à ce message

  • Les disparités dans les résultats reviennent :
    au fait que les methodologies utilisée sont différente d’un pays à un autre, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode
    des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer
    il y a aussi le niveau de développement du pays considéré,

    Répondre à ce message

  • Des disparités existent dans les résultats car pour la méthodologie actuelle, ce ne sont que les travailleurs qui sont pris en compte, alors qu’il y a à côté des enfants et des retraités, qui font partie de la société même s’ils ne sont pas actifs.

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités par rapport à la méthode utilisée.
    les méthodes nous donnent des résultats différentes. En effet, l’une des méthodes prend en compte toutes la population et l’autre une partie de la population

    Répondre à ce message

  • il y a beaucoup de facteur qui entre en ligne de compte permettant de d’expliciter les disparités dans l’estimation de la valeur humaine. deja, les disparité dans les salaire, et autant de fois que la ^personne a un bon salaire c’est autant il risque de développer un décès dans le boulot. il y a parfois plus de pression. et l’environnement parait quelque fois stressante.

    Répondre à ce message

  • - le niveau de développement du pays.
    - les préférences et les méthodes utilisés par les pays.

    Répondre à ce message

  • La comparaison des résultats est impossible compte tenu de méthodes utilisées ne reposant pas sur les mêmes limites ni les mêmes biais. Plus encore il y a comparaison de données agrégées factuelles avec des éléments qualitatifs subjectifs.

    Répondre à ce message

  • Selon le le tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », la raison d’ordre méthodologique qui a provoqué la disparités dans les résultats est
    Y une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Les raisons pour lesquelles que les disparités sont si à nu c’est parce que premièrement les réponses des participants sont données a des questions hypothétiques non réelles, cela peut expliquer selon moi cette disparité. De plus, le salaire est l’un des paramètres clés de la démarche. Et ceux qui n’ont pas de salaire, sont-ils pris en compte ? Je n’en suis pas sûr. C’est une deuxième cause de disparité selon moi.
    Je suis sûr que c’est deux raisons ne sont pas les seules, mais elles font partie de toutes raisons causant la disparité soulignée.

    Répondre à ce message

  • Il existe de telles disparités dans les résultats obtenus car la méthode "coûts et pertes de production bruts" considère l’individu comme un agent économique seulement alors que la méthode "disponibilité à payer" fait appel aux sentiments et à la dimension affective des individus qui répondent à la question. Les résultats s’en trouvent donc bien plus élevés pour cette dernière.

    Répondre à ce message

  • Les raisons d’ordre non méthodologique de la disparité de la valeur statistique de la vie humaine sont : Le niveau de développement du pays et la différence entre les valeurs de la monnaie.
    En général, les pays développés ont une monnaie qui a un taux de change plus élevé par rapport à ceux qui sont en développement. Du coup, lorsqu’on convertit les valeurs monétaires affectées au bien- être par chaque pays en une monnaie unique, on ne peut que constater les disparités. Par ailleurs, plus une personne a un revenu élevé, plus elle investit pour son bien- être et confort.

    Répondre à ce message

  • Les raisons d’ordre méthodologie qui font qu’il existe des disparités sont les suivantes :
    - le niveau de développement entre les pays considérés dont le PIB ;
    - une différence considérable entre le résultat calculé.

    Répondre à ce message

  • Les résultats dépendent du pays mais aussi de la méthode utilisée. La méthode des coûts et pertes de production considèrent l’individu comme un agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. des résultats peut s’expliquer par la méthode utilisée pour l’estimation de la valeur de la vie humaine. Il y a en effet des différences assez importantes entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », pour quelle raison d’ordre méthodologique existe-t-il de telles disparités dans les résultats ?
    une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Ces disparités sont dues au fait que les pays n’ont pas le exactement le même niveau de développement et par conséquent pas la même structure des dépenses. certains pays assureront un certain niveau de dépenses de santé que d’autres ne feront pas. Aussi les choix politiques différents peuvent justifier des allocations plus ou moins différentes à un système de santé suivant qu’on est capitaliste ou socialiste. Les valeurs socio-culturelles peuvent aussi jouer un rôle important dans la compréhension de l’urgence sanitaire par exemple et impacter l’action du gouvernement.

    Répondre à ce message

  • les résultats ne sont pas les mêmes et se différent d’une méthode à l’autre, cela est dû à la variabilité des données utilisées. Par exemple obtenus par la méthode des coûts et pertes de production sont moins élevés que les résultats obtenus par l’évaluation contingente. ce résultat est tout à fait logique vu que l’estimation des coûts et des pertes ne se rend compte que de la valeur économique (revenu par âge) en ignorant les autres coûts.

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats répond à des points de vue divergents surtout en ce qui concerne la valeur statistique de vie humaine. L’application des méthodes adoptée dans un pays varient en fonction d’un autre. La réponse exacte à cette question trouve tout son sens dans le document de Lannoie,latour 1995, page 96, l’approche des préférences révélées.

    « L’hypothèse de cette méthode est que les individus révèlent leurs préférences par leur comportement
    sur un marché. Cela consiste à identifier les situations où les individus effectuent un arbitrage entre
    richesse et un risque physique. La majorité des études sont de type risque-salaire. Elles estiment le
    supplément de salaire associé à un plus grand risque de décès au travail. Ce supplément est déduit en
    faisant une régression entre le salaire et le risque de décès. L’analyse par régression est utilisée afin
    d’estimer aussi les facteurs autres que le risque pouvant influer sur le salaire. Ce supplément traduit
    l’arbitrage entre richesse et risque.
    L’approche du risque par les salaires repose sur plusieurs hypothèses. Elle suppose tout d’abord que
    les travailleurs ont une information correcte, fiable sur le risque associé à différents emplois. Si les
    travailleurs n’ont pas une information correcte cela conduit à mener l’analyse avec un risque perçu, et
    les travailleurs font alors reposer leur demande de salaire là-dessus. Deuxièmement elle suppose que
    les travailleurs peuvent changer facilement et librement de travail. Sinon, les travailleurs sont
    contraints d’accepter un supplément de salaire plus faible que leur choix optimal, et cela peut conduire
    à un biais plus en aval dans l’estimation de la valeur de la vie statistique.
    Les études sur le marché des consommateurs examinent les arbitrages que font les individus entre
    richesse et risque tous les jours dans leurs décisions de consommation.
    L’avantage majeur des approches du risque par le salaire ou sur les marchés de consommation est
    qu’elles sont basées sur le comportement réel. Il est nécessaire en revanche que les travailleurs et
    consommateurs aient une information correcte sur le risque associé à certains emplois et activités de consommation, ce qui n’est pas toujours le cas ». En gros nous pouvons bien le constater que l’approche du risque par le salaire est limitée aux salariés.

    Répondre à ce message

  • La disparités dans les résultats s’explique par les méthodes utilisées.
    L’exemple de la la valeur statistique de la vie humaine aux Etats Unis, selon l’étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute et le résultat de l’étude en termes de disponibilité à payer, montre bien la disparité dans les résultats.

    Répondre à ce message

  • La disparités dans les résultats s’explique par les méthodes utilisées.
    L’exemple de la la valeur statistique de la vie humaine aux Etats Unis, selon l’étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute et le résultat de l’étude en termes de disponibilité à payer, montre bien la disparité dans les résultats.

    Répondre à ce message

  • Deux méthodes sont employées pour calculer la valeur des vies humaines :

    - la méthode des coûts et pertes de production
    - la méthode de la disponibilité sociale à payer

    Les valeurs trouvées avec la méthode de la disponibilité sociale à payer sont plus élevées car la méthode des couts et pertes de production est très restrictive, elle ne prend en compte que la contribution de l’individu au PNB.

    Répondre à ce message

  • En effet, dans ce tableau la valeur statistique de la vie humaine varie de 12,5 millions d’écus (Portugal, méthode des coûts et pertes de production bruts) à 2350 (États Unis, méthode de la disponibilité à payer).

    En plus des différences de niveau de développement des pays considérés, les méthodologies employées sont différentes (coûts et pertes de production bruts, perte de production brute, disponibilité à payer, valorisation du temps de vie, disponibilité sociale à payer). Ces évaluations institutionnelles sont difficiles à réaliser du fait « des imperfections de la connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge » ainsi que du choix du taux d’actualisation.

    Répondre à ce message

  • Tous les pays n’utilisent pas la même méthode pour estimer la valeur statistique de la vie, ce qui ne permet pas la comparabilité entre pays. De plus, il existe une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Ces disparités dans les résultats s’expliquent par la méthode utilisée. Ainsi peut-on observer une différence entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.
    De plus, la majorité des études sont de type risque-salaire. Elles estiment le supplément de salaire associé à un plus grand risque de décès au travail. Ce supplément est déduit en faisant une régression entre le salaire et le risque de décès.
    Or l’approche du risque par les salaires reposent sur plusieurs hypothèses pouvant biaiser l’estimation de la vie statistique. Dans la même veine, les réponses des invidus participant à ces études proviennent de situations hypothétiques non réelles.

    Répondre à ce message

  • la majorités des pays mentionnés dans le tableau sont tous des pays développés, mais le niveau de développement ça reste n’est pas le même , chaque pays présente une culture, des revenus, et des caractéristiques différentes ce qui fausse l’obtention des même résultats

    Répondre à ce message

  • Une telle disparité peut s’expliquer par plusieurs raisons :
    - la première raison est le niveau de développement du pays,

    - Le document (Alberini, Cropper et al.), indique que le consentement à payer croit avec le niveau de formation et le revenu de la personne interviewée : plus l’individu est instruite , plus elle est disposée à payer pour éviter la maladie, pour des raison économiques( perte de l’emploi, perte du salaire).Le revenu modifie donc les comportements des différents acteurs.

    Répondre à ce message

  • Méthodologiquement, la disparité des résultats peut être expliquée premièrement par le recours à des méthodes diverses, amenant avec elles des biais et des résultats automatiquement variables. Ainsi la disponibilité à payer d’un individu est difficilement comparable à la "méthode des coûts et perte de production bruts", ayant souvent des montants plus élevés. De plus ces coûts peuvent être exprimés bruts, nets ou même être absents, pour que ne soit comptabilisés que les pertes de production.
    La valeur de la monnaie, la parité pouvoir d’achat devrait être également être prise en compte. Selon les pays les bénéfices et coûts des intrants d’une activité ainsi que les salaires sont amenés à varier, sans pour autant que la production ne diffère. Le niveau de revenu impacte ce que peut se permettre de payer un individu dans le cadre d’un CAP. Cela créant des inégalités de résultats entre les pays à des stades différents de développement.

    Répondre à ce message

  • Les disparités s’enregistrent du fait des différents méthodes qu’on utilisent pour étudier la même chose, le même problème. On note une disparité notamment dans la manière de prendre en compte la valeur statistique de la vie humaine aux Etats- unis par exemple soit par les coûts et perte de production brute soit par une étude en termes de disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • selon les méthodes, on peu distinguer :

    - la disponibilité à payer qui est une estimation sociale à payer
    - l’évaluation des pertes de productivités du capital humain.

    Répondre à ce message

  • Le premier paramètre est le développement du pays considérer ainsi que les préférences de leurs individus.Plus un pays est développé, plus le niveau de vie est élevé et la capacité à payer pour un environnement sain est importante. Les pays sous développés auront d’autres optimums et d’autres priorités (chaumage pauvreté...).

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats dans l’estimation de la valeur de la vie humaine s’explique par deux aspects :
    1. Elles se notent dans les évaluateurs institutionnelles .Ces institutions considèrent l’individus comme un agent économique.
    2. Les disparités se notent également sur les évaluations qui sont basées sur des points de vu individuel restent cependant subjectif.

    Répondre à ce message

  • une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • il existe une différence observée pour la valeur statistique de la vie humaine aux Etats-Unis par exemple, selon le type de méthode :
    Le résultat issu de l’utilisation de la méthode des coûts et pertes de production brute est de 441 millions d’Ecu, tandis que le résultat issu de la propension à payer (méthode contingente) est de 2350 millions d’Ecu.
    Les réponses données par les personnes dans la méthode contingente sont basées sur une situation hypothétique et non pas réelle. Le consentement à payer est généralement différent dans les deux situations. Quand la question est posée comme une possibilité, on a peut être tendance à surestimer la valeur qu’on pourrait réellement donner. Alors que si l’on est réellement contraint de donner, on a tendance à avoir un consentement à payer beaucoup plus inférieur. On pourrait comparer cette situation à un jeu de monopoly, lorsqu’on joue avec une fausse monnaie, on a tendance à dépenser l’argent sans compter, or que si la situation était réelle on ferait plus attention au placement de notre argent et on se retiendrait davantage.

    Répondre à ce message

  • dans le cas d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, il faut tenir compte du niveau du développement du pays, il faut également que les salaires soient converti dans une même monnaie commune en tenant compte du taux de change et du pouvoir d’achat.
    dans les pays développés, les personnes avec un important revenu sont disponible à payer plus.

    Répondre à ce message

  • Chaque méthode utilisé aboutit à un résultat qui se traduit par une différence de resultats calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer. chaque méthode prend en compte des variables qui peuvent ne peuvent ne pas être intégrés par d’autres méthodes comme par exemle : l’approche du risque des salaires avec des hypothèses différentes, l’approche de l’analyse du risque, la considération d’une partie de la population encore inactive etc.
    _

    Répondre à ce message

  • les méthodes utilisées sont à l’origine de la disparité des résultats par exemple la valeur statistique de la vie aux USA et l’autre étude qui utilise les couts de pertes de production brute montre la disparité des résutats

    Répondre à ce message

  • La raison, pour laquelle dans l’ordre méthodologique existent de telles disparités dans les résultats des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine est : liée à l’essence de l’ordre méthodologique. (1) Sur des assises de références incertaines ; (2) des paramètres d’informations fluctuants que les employés explorent, pour y prendre conscience d’un risque potentiel. Les éléments (1) et (2) mènent à une disparité des résultats. Néanmoins, la remise en question du revenu individuel, est importante, dans le cas de choix de consommations ; un choix fait au niveau des revenus importants, pour bien y apporter une mesure de risque.

    Répondre à ce message

  • Les 2 raisons d’ordre non méthodologiques retrouvée sont :
    - le document (Alberini, Cropper et al.) explique que le consentement à payer est en relation avec le niveau de formation et le revenu de la personnes questionnée.
    - le niveau de développement du pays ou l’étude est menée.

    Répondre à ce message

  • Il existe une de telles disparités dans les résultats dans la mesure où le niveau de développement du pays considéré. Par exemple, entre le Portugal et la France, le rapport des estimations de la « valeur » de la vie humaine est de 1 à 20. Ensuite, le deuxième paramètre est celui de la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités dans les résultats pour deux raison d’ordre non méthodologiques et liées aux pays étudiés eux-mêmes et ces raisons sont : premièrement la façon dont les salaires sont représentés dans une étude impliquant les couts et les pertes or les salaires doivent être représenté en une même monnaie pour pouvoir réaliser les comparaisons autrement dit il faut prendre en considération les taux de changes local et le pouvoir d’achat et cela pour éliminer les écarts de prix entre pays. Les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis, or Alberini, Cooper et al ont mentionnés qu’on ne peut pas comparer des analyses dans les pays en voie de développement à celles des Etats-Unis c’est pour cela il faut mener des études spécifiques à chaque pays. Deuxièmement, on ne peut pas appliquer ce que l’on trouve dans les pays développés sur les pays en voie de développement ou ceux moins développés même ci généralement la distribution des revenus dans les sociétés est la même, parce que plus les revenus des personnes inclus dans l’étude est élevé plus leur disponibilité a payer pour prévenir un risque de maladie liée a la pollution est plus important et par la suite les pauvres ne peuvent pas payer que leurs besoin élémentaires dites banales.

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités dans les résultats pour la raison d’ordre méthodologique parce que le fait que dans les analyses statistiques ont analyse des variables qui expriment des relations dans la réalité les individus ne les appliquent pas à l’exemple de la conscience du risque et le fait de payer pour l’éviter. Ainsi que on peut retrouver des sur-estimation des réponses dans les questionnaires ce qui nous évoquent un biais dans l’analyse des résultats et de toutes façons les questionnaires met les individus dans des situation fictifs et demande comment pourrons-t-ils agir alors que peut-être il agissent différemment dans la vie réelle mis pourtant dan s l’analyses des donnes les variables sont considérés tel qu’elles sont reportes par les participants et donc cela nous cause des disparités dans les résultats et par la suite des biais dans l’interprétation.

    Répondre à ce message

  • Bonjour, je me suis trompé dans la question 1 et 2 du TD et donc j’ai mis en premier la réponse question 2 dans le cas réponse à la question 1 et donc j’ai remis la réponse 1 dans la case de question 1. Veuillez considérer la seconde réponse a la question 1 ma réponse.
    Merci d’avance.
    Bien Cordialement,
    Maria Bou Kheir.

    Répondre à ce message

  • Bonjour, je me suis trompé dans la question 1 et 2 du TD et donc j’ai mis en premier la réponse question 2 dans le cas réponse à la question 1 et donc j’ai remis la réponse 1 dans la case de question 1. Veuillez considérer la seconde réponse a la question 1 ma réponse.
    Merci d’avance.
    Bien Cordialement,
    Maria Bou Kheir.

    Répondre à ce message

  • De telles disparités existent, d’une part, à cause du fait que seule une partie de la population est étudiée (les salariés). Ensuite il y a le facteur humain, chaque personne est prête à payer mais dans la réalité est-ce vraiment le cas ? Vont-ils vraiment le faire ? Donc on ne peut pas simplement se baser sur des dires.

    Répondre à ce message

  • Les disparités s’enregistrent du fait des différents méthodes qu’on utilisent pour étudier la même chose, le même problème. On note une disparité notamment dans la manière de prendre en compte la valeur statistique de la vie humaine aux Etats- unis par exemple soit par les coûts et perte de production brute soit par une étude en termes de disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Puisque il fallait faire une estimation à la valeur de la vie humaine, mais selon Michel Le Net la valeur d’une vie humaine est strictement incommensurable a tout autre valeur et il est dénié de sens d’en tenter une estimation. Cette méthode d’estimation utilisée à des différences dans les calculs des coûts et de pertes de production bruts. Une disparités considérables entre les pays, Le Portugal qui se trouvait dans le niveau le plus bas dans le tableau peut avoir plusieurs considérations. Le cas des Etats-Unis par exemple la différence se voit dans l’estimation de la valeur de vie entre les coûts et perte de productibilités bruts et la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Le calcul de la valeur de la vie statistique de la vie humaine est calculé par la méthode du coûts et pertes de production bruts est réalisé a base du niveau du développement du pays qui est diffèrent pour chaque pays , donc les résultats ne peuvent qu’être diffèrent.
    deuxièmement c’est le calcul qui est fait par la méthode de" disponibilité sociale a payer" par certains pays et la prix statistique est fixé par le secteur économique et les compagnies dépendamment du niveau du développement du pays.

    Répondre à ce message

  • Les disparités des résultats qu’existent dans l’estimation de la valeur de la vie humaine sont liées à des raisons associées aux pays étudiés. La première raison concerne en premier lieu, l’élément qui caractérise le niveau de développement du pays en question. La différence de la valeur statistique de la vie humaine dans un pays développé et un pays en développement. Il s ‘agit du niveau de vie, le pouvoir d’achat, le mode de consommation, le revenu moyen etc. Par exemple, le développement économique de chaque pays influence véritablement le champ d’action de chaque pays. Dans ce cas, un pays pauvre ne peut pas donner la même priorité en matière de santé que les ressources financières ne le permettent pas.
    Deuxièmement, comme expliqué dans le document Albini Cooper et al. en précisant qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis, un pays développé. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée a eu pour objet d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air.

    Répondre à ce message

  • Les raisons d’ordre méthodologique pourraient être multiples comme expliqué dans le document Alberini, Cropper et al, dans la mesure ou le niveau de développement n’est pas le même dans chaque pays. Ces disparités dans les résultats sont la résultantes du niveau de développement des pays, les préférences de chaque pays. Dans les analyses d’Alberini, on observe que le consentement à payer croit avec le niveau de formation et le revenu de la personne interviewée. Ce qui explique que plus l’individu est instruite, plus elle est disposée à payer pour éviter la maladie, pour des raison économiques ( perte de l’emploi, perte du salaire), et plus le revenu est élevé, plus l’individu est prêt à payer une somme plus ou moins forte.

    Répondre à ce message

  • Il existe de telles disparités dans les résultats dû à la disponibilité à payer. Il existe une grande différence entre ce que les personnes comptent donner et ce qu’ils font réellement. Les réponses ne sont pas les mêmes entre une situation hypothétique et la réalité.

    Répondre à ce message

  • Les différentes manière de comptabiliser la perte liée monétaire liée au décès d’un individu vont entrainer les variations que l’on peut observer dans le tableau de la page 353. La méthode des coûts et pertes de production aura tendance à donner des résultats bien inférieurs que celle de la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • Il existe des disparités dans les résultats pour une raison d’ordre méthodologique. En effet, il y a une grande différence de résultat selon si le calcul est fait par le biais de la méthode des coûts et pertes de production ou s’il est fait avec le calcul de la disponibilité à payer.
    Dans le cadre de la méthode des coûts et pertes de production, la valeur statistique de la vie humaine est considérée comme une richesse collective.

    Il y a une nette différence entre les évaluations où l’individu est l’agent économique de celle où l’individu est interrogé sur son point de vue.

    Par exemple, une évaluation pour un même pays, la France, a été effectuée deux fois donnant des résultats différents selon l’utilisation de la méthode de la valorisation du temps de vie ou de celles des coûts et pertes de production bruts.

    Répondre à ce message

  • Le calcul de la valeur de la vie statistique de la vie humaine est calculé par la méthode du coûts et pertes de production bruts est réalisé a base du niveau du développement du pays qui est diffèrent pour chaque pays , donc les résultats ne peuvent qu’être diffèrent. deuxièmement c’est le calcul qui est fait par la méthode de" disponibilité sociale a payer" par certains pays et la prix statistique est fixé par le secteur économique et les compagnies dépendamment du niveau du développement du pays.

    Répondre à ce message

  • selon la méthode utilisée, l’existance d’une différence considérable entre :
    - le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts ( des pertes productives) : lors qu’On considère l’individu dans sa seule dimension d’agent économique, sa contribution productive étant représentée par ses revenus du moment. La valeur de la vie à un instant donné est égale à la somme actualisée des revenus espérés durant le reste de vie. Au-delà de ces postulats restrictifs, des imperfections de la connaissance des revenus par âge et des espérances de vie par classe d’âge, le choix du taux d’actualisation est d’une grande importance.

    - Et celui obtenu la disponibilité sociale à payer que l’on peut considérer comme l’estimation sociale consensuelle

    Répondre à ce message

  • Le développement d’un pays indique bien le niveau social de la population, et le pouvoir d’achat est caractéristique au pays lui-même qui est reflété par le salaire ; donc pour comparer il faut donner le même salaire ou le convertir non seulement dans une monnaie commune pour effectuer les comparaisons entre pays, mais également en termes de parité de pouvoir d’achat ceci donnera une meilleure comparaison entre pays. On ne peut ramener les résultats d’étude faites dans un pays développé à un pays en voie de développement, les études doivent se réaliser dans les pays eux même car seuls les habitants sont capables de classer leurs préférences en ordre de priorité. En effet, les parités de pouvoir d’achat sont des taux de conversion des monnaies : elles transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale en une monnaie commune fictive, appelée « standard de pouvoir d’achat » (SPA), qui égalise les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales. Ce n’est pas le cas dans ce tableau comparatif... à ce sujet, l’étude menée par Alberini, Cooper et al., article « évaluer effets sur la sante pollution atmosphérique dans les pays développés ») insiste bien, en introduction (« contexte et objectifs de l’étude », p.11) sur le fait qu’ « en général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Pourtant, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. En effet, meme si on retrouve, souvent dans les pays développés, à peu près la même distribution des revenus dans la société, on sait qu’un des biais réside dans le fait qu’en moyenne, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du reste de son revenu après la consommation des biens et services les plus basiques pour se garantir contre ce risque.

    Répondre à ce message

  • Le développement d’un pays indique bien le niveau social de la population, et le pouvoir d’achat est caractéristique au pays lui-même qui est reflété par le salaire ; donc pour comparer il faut donner le même salaire ou le convertir non seulement dans une monnaie commune pour effectuer les comparaisons entre pays, mais également en termes de parité de pouvoir d’achat ceci donnera une meilleure comparaison entre pays. On ne peut ramener les résultats d’étude faites dans un pays développé à un pays en voie de développement, les études doivent se réaliser dans les pays eux même car seuls les habitants sont capables de classer leurs préférences en ordre de priorité. En effet, les parités de pouvoir d’achat sont des taux de conversion des monnaies : elles transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale en une monnaie commune fictive, appelée « standard de pouvoir d’achat » (SPA), qui égalise les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales. Ce n’est pas le cas dans ce tableau comparatif... à ce sujet, l’étude menée par Alberini, Cooper et al., article « évaluer effets sur la sante pollution atmosphérique dans les pays développés ») insiste bien, en introduction (« contexte et objectifs de l’étude », p.11) sur le fait qu’ « en général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Pourtant, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. En effet, meme si on retrouve, souvent dans les pays développés, à peu près la même distribution des revenus dans la société, on sait qu’un des biais réside dans le fait qu’en moyenne, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du reste de son revenu après la consommation des biens et services les plus basiques pour se garantir contre ce risque.

    Répondre à ce message

  • Les disparités de résultats dans ce tableau sont liées aux différentes méthodes utilisées pour établir les estimations.
    Si on prend l’exemple de la méthode contingente on constate que les résultats issues de cette approche sont globalement plus élevés que ceux obtenus par la méthode des coûts et pertes de production.

    Répondre à ce message

  • ces disparités dans les résultats sont dues à :

    Au niveau de développement du pays considéré. Entre le
    Portugal et la France, par exemple, le rapport des estimations de la « valeur » de
    la vie humaine est de 1 à 20, c’est à dire que dans les pays développées, l’estimation de la valeur statistique de la vie humaine est presque identique mais le fait d’interroger plus de personnes dont le revenue est considérable, nous conduit à une surestimation de la valeur de la vie humaine et donc une disparité des résultats par rapport à chaque pays selon son niveau de développement.

    De deux, la méthode utilisée, avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer donc il faut convertir en une unité monétaire commune pour éviter les résultats divergents entre les pays.

    Répondre à ce message

  • Une telle disparité peut s’expliquer par plusieurs raisons :
    - La première raison se trouvant dans l’article d’Alberini, Cooper et al, raison d’ordre méthodologique lié niveau de développement du pays considéré .

    - La deuxième raison non methodologique liée au niveau du revenu, les personnes qui ont des revenus élevés auront une grande disponibilité à payer que les personnes pauvres qui se limiteront qu’à payer les biens et les services les plus essentiels.

    Répondre à ce message

  • La différence considérable dans les résultats tient de l’application de méthodes différentes par les pays : - 11 pays se sont basés sur la méthode des coûts et pertes de production bruts
    - 5 pays sur la méthode contingente de consentement à payer
    - la France sur la valorisation du temps de vie
    - l’Espagne sur la perte de production brute
    - les Pays-Bas sur les coûts et perte de production nets

    Répondre à ce message

  • Cette disparité s’explique par les méthodes utiliées,
    - La méthode des couts et pertes de production
    - La méthode de la disponibilité sociale à payer

    L’exemple de la la valeur statistique de la vie humaine aux Etats Unis, selon l’étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute et le résultat de l’étude en termes de disponibilité à payer, montre bien la disparité dans les résultats.

    Répondre à ce message

  • les raisons d’ordre méthodologique :
    1) le niveau de développement du pays est différent d’un autre pays ,
    2) la méthode utilisée avec une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des couts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer.

    Répondre à ce message

  • D’un point de vue méthodologique, la disparité des résultats s’explique de part la méthode utilisée.
    En effet, lorsque l’on utilise la méthode contingente, il est possible de trouver une "différence considérable" par rapport aux résultats obtenus par la méthode des coûts et pertes de production bruts, et ce, d’autant plus qu’il s’agit "d’argent hypothétique", les interrogés n’auront pas à réellement payer cette somme, sinon, il est probable que le résultat en soit minoré.

    Répondre à ce message

  • resultat different seon la methode utilisée : méthode des coûts et pertes de production bruts et ou disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • D’un point de vue méthodologique il y a une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer rendant impossible la comparaison entre les résultats obtenus par ces 2 méthodes. La méthode des coûts des dommages et des pertes de production n’intégrant pas les valeurs d’existences ou de non-usage. Et la capacité à payer est fortement corrélé au degré d ’information ce qui peut fortement changer d’un pays à l’autre.

    Répondre à ce message

  • Dans le tableau (p.353) : « Estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine », les deux raisons principales d’ordre non méthodologique des disparités dans les résultats sont :
    Le niveau de développement du pays. En effet, plus un pays est développé, plus la valeur statistique de la vie humaine sera importante.
    Les valeurs exprimées en "ECU" sont converties à l’aide d’un taux de change depuis les données monétaires (salaires) des différents pays. Cependant, il aurait également fallu tenir compte du pouvoir d’achat des différents pays => si les salaires augmentent en même temps que l’inflation, le pouvoir d’achat reste le même. Quand les salaires n’augmentent pas de la même façon que l’inflation, le pouvoir d’achat diminue et vice versa. Ce tableau n’applique pas un facteur correctif lié à la disparité du pouvoir d’achat entre les pays.

    Répondre à ce message

  • pour moi, les deux raisons principales sont l’absence d’une monnaie commune qui faciliterait les comparaison entre pays et la disparité des revenus des individus au sein d’un même pays.

    Répondre à ce message

  • - Le niveau de développement du pays
    - Le niveau de vie de la population
    Plus le pays est riche plus il est prêt à payer beaucoup

    Répondre à ce message

  • niveau de développement du pays considéré, il existe une différence considérable entre le résultat calculé par la méthode des coûts et pertes de production bruts et celui obtenu par la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats dans l’estimation institutionnelle de la valeur statistique de la vie humaine est due à la différence entre les méthodes utilisées :
    1) L’évaluation des pertes productives du capital humain ou l’être humain est considéré comme agent économique.
    2) La disponibilité sociale à payer que l’on peut considérer comme l’estimation sociale consensuelle.

    Répondre à ce message

  • La disparité des résultats dans l’estimation institutionnelle de la valeur statistique de la vie humaine est due à la différence entre les méthodes utilisées :
    1) L’évaluation des pertes productives du capital humain ou l’être humain est considéré comme agent économique.
    2) La disponibilité sociale à payer que l’on peut considérer comme l’estimation sociale consensuelle.

    Répondre à ce message

  • - dans le cas d’une étude menée en utilisant les coûts et pertes de production brute, les salaires doivent être « convertis » non seulement dans une monnaie commune (en utilisant les taux de change) pour effectuer les comparaisons entre pays (comme c’est le cas dans ce tableau), mais également en termes de « parité de pouvoir d’achat ». (cf. Eurostat : « les taux de change sont déterminés par de nombreux facteurs liés à l’offre et à la demande sur les marchés des changes, tels que le commerce international et les écarts entre les taux d’intérêt. En d’autres termes, les taux de change reflètent généralement d’autres éléments que les seules différences de prix. Afin de parvenir à une pure comparaison de volumes, il est essentiel de recourir à des facteurs de conversion spécifiques (déflateurs spatiaux) qui éliminent les effets des écarts de prix entre pays. Les parités de pouvoir d’achat (PPA) sont des taux de conversion des monnaies : elles transforment les indicateurs économiques exprimés en monnaie nationale en une monnaie commune fictive, appelée « standard de pouvoir d’achat » (SPA), qui égalise les pouvoirs d’achat des différentes monnaies nationales. »). Ce n’est pas le cas dans ce tableau comparatif... à ce sujet, l’étude menée par Alberini, Cooper et al., (cf. article « evaluer effets sur la sante pollution atmospherique dans le spays développés ») insiste bien, en introduction (« contexte et objectifs de l’étude », p.11) sur le fait qu’ « en général, les analystes transfèrent des valeurs trouvées aux Etats-Unis. Or, les auteurs indiquent qu’il n’y a pas de raison de penser qu’a priori les préférences dans les pays en voie de développement soient identiques à celles des Etats-Unis. Pour prendre en compte ce biais possible, la meilleure solution est de mener des études originales dans ces pays. L’évaluation contingente étudiée ici se situe dans ce cadre. L’objet de cette étude est d’évaluer les bénéfices de la prévention de maladies respiratoires liées à la pollution de l’air » ;

    - même si on retrouve, souvent dans les pays développés, à peu près la même distribution des revenus dans la société, on sait qu’un des biais (en dehors du biais dû au fait qu’on ne traduise pas les disponibilités à payer en PPA, voir ci-dessus) réside dans le fait qu’en moyenne, plus les personnes interrogées ont des revenus importants, plus leur disponibilité à payer sera forte. Les personnes les plus pauvres ne peuvent souvent se payer que les biens et services les plus élémentaires, et accepter de payer pour se prémunir contre un risque dû à une pollution est d’autant plus faible que la probabilité d’occurrence l’est également. Pour les personnes ayant des revenus supérieurs, même si la probabilité d’occurrence est faible, ils peuvent se servir du revenu qu’ils leur reste (en général encore important) après la consommation des biens et services les plus élémentaires pour se prémunir contre ce risque.

    Répondre à ce message

  • les raisons de la disparités des résultats dans l’estimation de la valeur de la vie humaine :
    Premièrement, chaque pays a son propre niveau de développement et, par conséquent, la valeur de sa monnaie est différente de celle des autres pays. Obtenir une valeur rationnelle et unique comme valeur statistique de la vie devient plus difficile.

    Outre, la différence de niveau de développement, il y a aussi le niveau de vie des habitants de chaque pays. Bien qu’il s’agisse de pays développés, chaque pays est différent en termes de culture, de classe sociale, de mode de vie et d’environnement. Selon les études, plus la population a un revenu élevé, plus le niveau de CAP est élevé pour ne pas tomber malade.

    Répondre à ce message

  • La première raison est la différence de niveau de développement entre les pays, un pays riche propose des salaires plus élevés qu’un pays qui est moins développé.
    La seconde raison est la méthodologie d’évaluation : couts et pertes de production contre disponibilité sociale à payer qui n’ont pas la même approche.

    Répondre à ce message

  • Cela tient :
    -  au niveau de développement des pays considérés ; la valeur de la vie humaine ne sera pas la même dans un pays développé que dans un pays en voie de développement

    -  cela tient également au niveau de revenu, au niveau des prix , aux caractéristiques individuelles et à la nature et à la durée des affections considérées (maladies aigües ou chroniques) ainsi qu’aux taux d’actualisations retenus

    De façon générale les contextes de chaque pays sont différents, par exemple les types de prise en charges médicales, les coûts des soins, les assurances, la répartition des types de métiers (industriels, ruraux, tertiaires etc..) etc....donc les composants des coûts externes considérés vont différer.

    Répondre à ce message

  • " a ne pas prendre en considération ma première réponse"
    La première raison est le niveau de développement du pays considéré : Ce niveau de développement influence la valeur de la monnaie ainsi que d’autres paramètres associés, et de ce fait, le calcul de la valeur statistique aura quelques disparités. La valeur de la vie humaine diffère d’un pays à l’autre.
    *la deuxième est la méthode utilisée : Par exemple, en utilisant la méthode basée sur l’évaluation au niveau individuel, les réponses provenant des personnes interrogées ne peuvent pas être les mêmes, entraînant toujours des disparités.

    Répondre à ce message

  • Le tableau page 353 fournit des résultats d’une grande disparité. Ici, les résultats obtenus par la méthode contingente sont globalement plus élevés que ceux obtenus par la méthode des coûts et pertes de production si l’on étudie l’influence du type de méthode sur le résultat. Etablir des corrélations et des comparaisons entre des méthodes différentes est difficile. Les études sur les pertes de production concernaient essentiellement les salariés, ce qui peut éventuellement accroitre la différence au niveau du résultat en ne prenant pas en compte les autres catégories de population.

    Répondre à ce message

  • En effet, la différence de niveau de développement entre les pays peut influencer le calcul de la valeur statistique de la vie. Les pays développés ont généralement un revenu par tête plus élevé, ce qui signifie que les pertes économiques liées à une maladie sont plus importantes. Cela peut se refléter dans les CAP qu’une personne est prête à payer pour éviter de tomber malade. De plus, les différences culturelles, sociales et environnementales entre les pays peuvent également influencer la valeur statistique de la vie. Par conséquent, il est important de prendre en compte ces facteurs lors de l’évaluation de la valeur statistique de la vie dans différents pays.

    Répondre à ce message

  • Les résultats du tableau présenté à la page 353 montrent une grande disparité. Si l’on examine l’effet du type de méthode utilisée sur les résultats, on constate que les estimations obtenues par la méthode contingente sont généralement plus élevées que celles obtenues par la méthode des coûts et pertes de production. Cette différence pourrait être due au fait que l’individu interrogé a tendance à surestimer sa CAP lorsqu’il s’agit d’une dépense "virtuelle". De plus, les études sur les pertes de production semblent avoir porté principalement sur les travailleurs salariés, ce qui pourrait contribuer à accentuer les différences de résultats en ne prenant pas en compte les autres catégories de population.

    Répondre à ce message

  • la raison d’ordre méthodologique pour laquelle il existe ces disparités dans les résultats est que l’un a utilisé pour son calcul la méthode des couts et perte de production bruts et l’autre s’est basé sur la disponibilité à payer .

    Répondre à ce message

  • cette difference et disparités des resultats est du à la difference en terme de méthodologies utiliseé par les differentes estimation ;l’un a utilisé une methode se basant sur les couts et pertes de production et l’autre s’est basé sur la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • cette difference et disparités des resultats est du à la difference en terme de méthodologies utiliseé par les differentes estimation ;l’un a utilisé une methode se basant sur les couts et pertes de production et l’autre s’est basé sur la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • cette difference et disparités des resultats est du à la difference en terme de méthodologies utiliseé par les differentes estimation ;l’un a utilisé une methode se basant sur les couts et pertes de production et l’autre s’est basé sur la disponibilité à payer

    Répondre à ce message

  • Pour expliquer leurs disparités, nous pouvons considérer plusieurs paramètres méthodologiques dans ce contexte, tels que :
    - La méthode d’évaluation : Les estimations institutionnelles reposent sur différentes méthodes d’évaluation, telles que les coûts et pertes de production bruts, la disponibilité à payer, la valorisation du temps de vie, etc. Chaque méthode peut conduire à des résultats différents en fonction de la manière dont elle prend en compte les aspects économiques, sociaux et individuels liés à la valeur de la vie humaine.
    - Le niveau de développement du pays : Le niveau de développement économique et social d’un pays peut influencer la manière dont la valeur statistique de la vie humaine est estimée. Les pays plus développés peuvent avoir des approches différentes de ceux en développement, qui se reflète dans les estimations.
    - Les notions de risque accepté ou imposé : Certaines méthodes d’estimation reposent sur une notion de risque accepté par les individus, tandis que d’autres se basent sur un risque imposé. Ces différences conceptuelles peuvent conduire à des estimations divergentes.
    - La représentativité de la population : Les populations prises en compte dans les études peuvent ne pas toujours être représentatives de la population globale, qui peut introduire des biais dans les estimations.

    Répondre à ce message

  • En considérant l’influence du type de méthode sur le résultat, on observe une tendance générale où les résultats obtenus par la méthode contingente sont plus élevés que ceux obtenus par la méthode des coûts et pertes de production. On peut conclure que cette surestimation du CAP par la méthode contingente est probablement due à la nature imaginaire de la dépense. Il convient de noter également que les études sur les pertes de production se concentrent principalement sur les salariés, ce qui pourrait potentiellement accentuer les différences de résultats en ne tenant pas compte des autres catégories de population.

    Répondre à ce message

  • En ce qui concerne les estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine il existe des disparités importantes entre les pays observables dans le tableau p.353.
    Ces disparités s’expliquent de plusieurs manières. Tout d’abord, des variations induites par la méthode utilisée : methode des pertes productives ou consentement à payer.
    La méthode institutionnelle la plus usitée est celle des pertes productives dans laquelle la valeur de la vie est égale à la somme actualisée des revenus espérés. Ces données peuvent varier significativement d’un pays à l’autre avec un salaire moyen très variable. Le même principe est valable pour l’autre méthode institutionnelle – Disponibilité à payer –. Celle-ci varie potentiellement selon le niveau de développement du pays considéré

    Répondre à ce message

  • Les disparités dans les résultats sont attribuables aux méthodes utilisées et au niveau de développement du pays pris en compte.

    Répondre à ce message

  • Les disparités dans les résultats des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine, telles que présentées dans le tableau (p.353), sont principalement attribuées à des différences méthodologiques entre les approches utilisées. Plus précisément, la méthode des coûts et pertes de production bruts produit un résultat significativement différent de celui obtenu par la méthode de la disponibilité à payer (méthode contingente).

    Les raisons méthodologiques comprennent les points suivants :

    1. Approche basée sur les salaires : L’approche basée sur les risques-salaires suppose que les travailleurs ont une information correcte et fiable sur les risques associés à différents emplois. De plus, elle suppose que les travailleurs peuvent changer facilement et librement de travail. Si ces hypothèses ne sont pas respectées, cela peut conduire à un biais dans l’estimation de la valeur de la vie statistique, en particulier pour les populations non salariées, telles que les retraités et les étudiants.

    2. Limitations de l’approche basée sur les salaires : L’approche basée sur les salaires est limitée aux salariés, ne prenant pas en compte d’autres segments de la population tels que les retraités, les étudiants, etc. Cela peut introduire des distorsions dans l’évaluation de la valeur statistique de la vie humaine, car différentes catégories de la population peuvent avoir des caractéristiques et des comportements différents.

    3. Situation hypothétique et situation réelle : Les réponses des individus dans le cadre d’une situation hypothétique (comme celle utilisée dans la méthode contingente) peuvent différer de leurs réponses dans une situation réelle. Les individus peuvent être plus disposés à payer dans une situation hypothétique que lorsqu’ils sont effectivement confrontés à un coût réel. Cela peut influencer les résultats de la méthode contingente par rapport à d’autres approches.

    Ainsi, ces différences méthodologiques expliquent en grande partie les disparités observées dans les résultats des estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine.

    Répondre à ce message

  • Les disparités dans les estimations institutionnelles de la valeur statistique de la vie humaine peuvent être dues à des méthodes d’évaluation différentes, à des contextes spécifiques de chaque étude, à des populations hétérogènes, aux variables prises en compte, aux choix de données et à la mise à jour des valeurs au fil du temps. Chaque institution peut adopter des approches distinctes, ce qui entraîne des variations dans les résultats. En résumé, ces disparités proviennent des différentes manières dont les estimations sont réalisées et des spécificités propres à chaque évaluation.

    Répondre à ce message

  • Les raisons d’ordre non méthodologique et liées aux pays étudiés sont : le niveau de développement du pays considéré. Dans les pays développés les habitants ont un niveau de vie et un revenu élevé donc l’estimation de la valeur statistique de la vie est élevée. Tandis que les pays où le niveau de vie et de revenus n’est pas très élevé(les pays en voie de développement) l’estimation de la valeur statistique de la vie est faible.
    La deuxième raison est le lieu de résidence par rapport à une zone polluée. Les personnes qui vivent prés des zones polluée sont habitues a leur situation et ignorent les effets et les conséquences de ce danger, alors que les personnes qui vivent loin des pays pollués sont plus conscient des conséquences d’une incapacité due à cette pollution.

    Répondre à ce message

  • ces deux raisons sont :
    - le niveau de développement
    - le niveau de pollution

    Répondre à ce message

  • Les différences dans les résultats des évaluations contingentes, en particulier en ce qui concerne le consentement à payer (CAP) et le consentement à recevoir (CAR), pour réduire ou faire face aux risques de maladie liés à la pollution, peuvent découler de divers facteurs d’ordre méthodologique. Voici quelques possibles raisons :

    Les participants à une enquête d’évaluation contingente peuvent interpréter différemment les questions relatives au CAP et au CAR. Les réponses des participants peuvent être influencées par le cadre conceptuel qui entoure ces deux idées.

    Différents types d’effets de référence : le CAP demande souvent le coût acceptable pour éviter un risque, tandis que le CAR demande le montant qu’une personne serait prête à accepter pour subir ce risque. Les gens peuvent avoir différentes références pour évaluer ces deux idées, conduisant à des résultats différents.
    Les effets de statu quo : Les individus ont souvent une préférence pour le statu quo ou peuvent être influencés par l’effet d’endowment, qui signifie qu’ils valorisent différemment ce qu’ils possèdent actuellement par rapport à ce qu’ils pourraient potentiellement obtenir.

    Incertitude et Ambiguïté : Les questions d’évaluation contingente peuvent impliquer une certaine incertitude, et les gens peuvent interpréter différemment les risques et les avantages potentiels. La perception de l’incertitude peut affecter les réponses au CAP et au CAR.

    Complexité des scénarios : La complexité, les détails et les informations fournies dans les questions d’évaluation contingente peuvent varier. Les réponses peuvent varier en fonction de la compréhension des scénarios.
    Contraintes financières perçues : Les participants peuvent interpréter les questions en fonction de leurs contraintes financières perçues. La perception des coûts peut affecter le CAP, tandis que la perception des bénéfices peut affecter le CAR.

    Un biais de demande consiste à ce que les participants modifient leurs réponses en fonction de ce qu’ils pensent que les enquêteurs souhaitent entendre.

    Il est important de souligner que les méthodologies d’évaluation contingente sont complexes, et les résultats peuvent être sensibles à la façon dont les questions sont formulées, aux scénarios présentés et à la façon dont les participants comprennent les choses. Pour réduire les biais potentiels, les chercheurs doivent tenir compte de ces facteurs lors de la conception des enquêtes.

    Répondre à ce message

  • Les différences dans les résultats des évaluations contingentes, en particulier en ce qui concerne le consentement à payer (CAP) et le consentement à recevoir (CAR), pour réduire ou faire face aux risques de maladie liés à la pollution, peuvent découler de divers facteurs d’ordre méthodologique. Voici quelques possibles raisons :

    Les participants à une enquête d’évaluation contingente peuvent interpréter différemment les questions relatives au CAP et au CAR. Les réponses des participants peuvent être influencées par le cadre conceptuel qui entoure ces deux idées.

    Différents types d’effets de référence : le CAP demande souvent le coût acceptable pour éviter un risque, tandis que le CAR demande le montant qu’une personne serait prête à accepter pour subir ce risque. Les gens peuvent avoir différentes références pour évaluer ces deux idées, conduisant à des résultats différents.
    Les effets de statu quo : Les individus ont souvent une préférence pour le statu quo ou peuvent être influencés par l’effet d’endowment, qui signifie qu’ils valorisent différemment ce qu’ils possèdent actuellement par rapport à ce qu’ils pourraient potentiellement obtenir.

    Incertitude et Ambiguïté : Les questions d’évaluation contingente peuvent impliquer une certaine incertitude, et les gens peuvent interpréter différemment les risques et les avantages potentiels. La perception de l’incertitude peut affecter les réponses au CAP et au CAR.

    Complexité des scénarios : La complexité, les détails et les informations fournies dans les questions d’évaluation contingente peuvent varier. Les réponses peuvent varier en fonction de la compréhension des scénarios.
    Contraintes financières perçues : Les participants peuvent interpréter les questions en fonction de leurs contraintes financières perçues. La perception des coûts peut affecter le CAP, tandis que la perception des bénéfices peut affecter le CAR.

    Un biais de demande consiste à ce que les participants modifient leurs réponses en fonction de ce qu’ils pensent que les enquêteurs souhaitent entendre.

    Il est important de souligner que les méthodologies d’évaluation contingente sont complexes, et les résultats peuvent être sensibles à la façon dont les questions sont formulées, aux scénarios présentés et à la façon dont les participants comprennent les choses. Pour réduire les biais potentiels, les chercheurs doivent tenir compte de ces facteurs lors de la conception des enquêtes.

    Répondre à ce message

Poser une question

SPIP3  Mise à jour : le 22 avril 2024 | Chartes | Mentions légales | A propos