Les Champlanais ne sont pas tous exposés de la même manière. Par exemple, la population vivant près des axes routiers (5%) est exposée à des [NO2] supérieures à l’objectif de qualité Airparif, et 12% des habitants sont exposés à des bruits atteignant des valeurs supérieures à la valeur règlementaire.
Ils ne sont pas tous vulnérables de la même manière face aux nuisances : « pour la majorité d’entre eux, l’équilibre entre le bénéfice à vivre à Champlan et les efforts pour lutter contre la gêne reste encore positif. Pour quelques familles disposant de moins de ressources, l’effort à faire pour lutter contre les nuisances est psychiquement trop lourd ».