D’après l’étude sociologique initiale, les Champlanais ont, historiquement, une image positive de leur village sur le plan de la qualité de vie (lieu presque rural dans une zone très urbaine, avec des espaces verts et la possibilité pour les habitants de vivre en maison). Il y a une identité forte fondée sur :
  Les liens sociaux favorisés et valorisés entre les habitants du village.
  Une histoire politique du village imprégnée de cela avec un conseil municipal qui était actif et considéré comme représentatif par les habitants.
  La perception d’une situation historique de « résistance » et de préservation d’un modèle unique dans la région, se traduisant également par une maitrise des ressources de la commune.
Néanmoins, on note que les habitants se perçoivent comme encerclés par les équipements lourds, soumis à un nombre (trop) important de nuisances ce qui entraine une crainte de la population vis-à-vis de leur état de santé notamment ; ainsi qu’une forme d’aversion ou de peur vis-à vis de transformations en cours (intégration dans une communauté de commune entrainant une perte de souveraineté par exemple) ou futures (installation d’une station d’épuration).