Les habitants de champlan ont l’image d’un village encerclé par les infrastructures lourds et qui émettent des substances polluantes qui sont susceptibles de produire des nuisances sanitaires.
Ils craignent en particulier l’éventuel effet cocktail qui résulterait de cette multiexposition.
Cette image négative est récupérée par un comité de défense. En juillet 2004, ce comité dresse la cartographie des équipements et pose la question de l’impact sanitaire : le village paraît encerclé, traversé par un trafic de transit, et menacé sur sa seule partie préservée au sud du village.
Cette prise de conscience se révèle anxiogène pour les habitants car elle remet en cause le visage positif du village.