Selon les critères définis dans l’article intitulé "Comment qualifier les inquiétudes sanitaires des habitats de Champlan ?" on peut considérer que les propositions :
1, 2 et 3 consistent à relativiser par rapport à Paris, la Normandie ou les pratiques agricoles en général. Ce n’est pas pire ici qu’ailleurs…
4 et 7 relèvent de comportements adaptatifs et/ou proactifs. Le premier est à l’échelle individuelle : j’ai parfaitement conscience de la nuisance et j’agis pour en minimiser la perception et la gêne ressentie. Le second s’inscrit plus dans une visée collective : je participe et je m’implique dans des actions qui visent à mutualiser les informations dans le but implicite de m’informer et/ou trouver des solutions.
5 et 6 sont des formes d’évitement, de déni : ne pas chercher à identifier des bruits en particulier, ne pas se taire quand un bruit couvre potentiellement la parole, faire comme si la nuisance n’existait pas.