De ces extraits d’interview, on peut dessiner deux groupes ; il existe d’un côté le groupe des personnes qui pensent que Champlan est vraiment pollué et y vivre constitue pour eux un danger à plus ou moins long ou court terme, mais compte tenu de certains aspects, ils n’ont vraiment pas de choix, ils sont obligé de faire avec et cela devient une habitude, on ne s’inquiète plus. Tandis qu’un second groupe, constitué des optimistes pensent que la ville, même si les autres pensent qu’elle est polluée, elle ne l’est pas pour autant, il y en a pire ailleurs. Ce dernier groupe pense que ce n’est pas assez grave pour inquiéter et on peut encore vivre comme tout allait bien.