il y a ceux qui pensent qu’il y a pire ailleurs et que la situation à Champlan n’est pas désespérante (1, 2, 3)
il y a ensuite ceux qui supportent mal les nuisances mais le prennent sur eux, en font fi pour pouvoir avancer (4, 5)
il y a enfin ceux que cela ne dérange nullement et pour qui peu importe (6, 7)