Parce que l’étude Airparif et l’évaluation demandée par le conseil général ont attiré l’attention sur le niveau de pollution atmosphérique de la commune de Champlan et que le projet d’implantation d’une station d’épuration en zone protégée a intensifié le sentiment d’ "injustice". Le tout, dans un contexte local où la population est sensibilisée par un comité de défense contre les nuisances bien implanté.