Du fait que la cohésion est forte dans le village et que les habitants ont les moyens de se mobiliser, la demande a pu émerger de Champlan. Les habitants se voient comme une famille plutôt que des voisins : les relations sociales ont ainsi pu favoriser l’uniformisation de la perception de la gène puis la mobilisation.
De plus, en raison de l’intercommunalité, qui est à l’origine d’un pouvoir moins important du maire, ainsi que de la cartographie de Champlan, qui montre que la commune est encerclée par des équipements polluants, la vision positive du village a été remise en cause.
La demande sociale a donc été la conséquence de multiples facteurs.