La demande sociale a émergée dans cette commune et non dans les communes limitrophes car la suite des effets de la pollution, il y a eu une baisse du coût de l’immobilier. Ce qui a été très avantageux et le maintien de terrains boisés, parcs, jardins attenant aux maisons, terres agricoles.
Il y a aussi le fait que les recettes fiscales qui en découlent de l’installation des sociétés sont redistribuées sous forme d’équipements collectifs dont bénéficient tous les rivérains (écoles, logements sociaux et équipements sportifs et culturels et les relations sociales (marchés, entraide...).
Cet aspect est justifié par la phrase : "Nous ne sommes plus voisins, c’est la famille. On prend des repas ensembles, on discute ensemble. Quand ils partent, je garde la maison, les enfants ont grandis ensemble