La perspective d’une nouvelle nuisance dans le projet d’installation d’une station d’épuration a sûrement été la "goutte" de trop.
Le fait qu’une député, devenue entre-temps secrétaire d’Etat à l’écologie, se soit intéressée à la demande des Champlanais, a immanquablement joué en faveur de la popularité de l’affaire Champlan.