C’est le fait d’être reçue par la députée de la circonscription de l’époque qui a permis aux champlanais d’être entendus. En effet, cette dernière souhaitait que Champlan soit un "« laboratoire » d’une démarche exemplaire visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent, à des degrés divers, les populations des grandes agglomérations".