La création de l’association locale ou comité de défense de l’environnement de Champlan en 1973, et la signature d’une petition par le tiers des Champlanais ont été l’origine du mouvement. La mobilisation locale et la médiatisation ont provoquer un mouvement du pouvoir public. En effet la députée de l’Essonne à l’époque, Nathalie Kosciusko-Morizet, activera les études scientifiques en prennant le dossier en charge en 2005. Quatre agences (ADEME, InVS,Afsset et Airparif) coopèrent, sous la direction de l’ADEME, pour répondre aux attentes des Champlanais.