Deux évènements à savoir une étude d’Airparif qui montrent que les niveaux élevé de pollution atmosphérique sur Champlan dépassant ceux observés au centre de Paris, ainsi qu’un projet d’implantation de station d’épuration dans une seule zone préservée du village ont fait avancé l’implication du comité de défense pour la mobilisation des Champlanais. Bien que ces deux évènements aient leur importance, c’est surtout c’est la prise en main de cette action par une députée qui a été l’élément déclencheur permettant la prise en considération des craintes des Champlanais. En effet, étant une élue, elle a une capacité de relais plus efficace et dispose d’autorité nécessaire qui a conduit à l’évaluation des impacts sanitaires de cette surexposition.