Points forts : c’est la première étude française multicritère mettant en commun des agences outillées pour mener les études en santé et environnement ; implication des populations et des autorités politiques ; la tenue des concertations et des réunions publiques de bilans ; la création des supports d’information, de sensibilisation et de publication des résultats (journal, site internet) ; l’association des populations aux recherches scientifiques ; le sentiment rassurant des populations au départ apeurées ; l’étude a permis de mettre en relief la qualité de l’air en France ; collaboration des scientifiques appartenant à plusieurs disciplines.
Points faibles : déclinaison d’une étude épidémiologique souhaitée par certains ; la qualité des échantillons (leur représentativité, en particulier leur taille, et leur composition) ; la méthode de mesure utilisée (le facteur temps et la durée) ; sous-représentation des Champlanaisà la séance solennelle de restitution des résultats.