Les points positifs de cette étude sont :
la détermination des niveaux d’exposition par individu ;
la cartographie des niveau de vulnérabilité
Et l’approche participative mise en œuvre (Enquête auprès des villageois)
Cependant, l’étude présente plusieurs insuffisances a savoir :
l’absence de méthode pour mesurer les risques sonores,
les interruptions pendant la période de mesure qui pourrait entrainer des biais dans le traitement des données.