les points forts : des études pilotes avec des innovations pertinentes et une quantité de moyens inégalés jusqu’alors :
pollution atmosphérique : densité de points de mesures très importante, modélisation ultra fine
champs électromagnétiques : développement de capteurs individuels avec Sup’élec
bruit : utilisation des indicateurs européens pour quantifier la gêne (Lden et Ln)
l’implication de la population et des restitutions nombreuses de grandes qualité
les points faibles :
un affichage d’exhaustivité alors que tous les aspects n’ont pas été étudiés (pollution des sols et des nappes, épandages de pesticides, biomonitoring...)
l’absence de réponse aux questions d’effet cocktail et le maintien de la demande d’étude épidémiologique (le message de la cire n’a pas été suffisamment compris)
l’absence d’engagement sur des actions concrètes pour diminuer les nuisances