Points forts :
Les auteurs ont su contournés l’insuffisance de signaux sanitaires par l’étude sociologique.
Les auteurs ont poussés l’objectif de leurs études afin de quantifier la part de chaque polluant environnemental.
Impliquer la population concernée ( étude exposition atmosphérique individuelle, réunions d’informations).
En parallèle avec l’étude, on a pu appliquer certains dispositifs réglementaires ( évaluation de niveau de bruit et sa gestion dans une commune restreinte).
L’ensemble de l’étude a su examiné l’aspect quantitatif ( densité numérique des polluants )et qualitatif ( nuisances et contextes exprimées par les résultats d’études socioloques )du problème.
Points faibles :
Incertitudes de mesures de certains polluants (particules) et modélisation présentant un certain nombre d’erreurs liées à la difficulté de prévoir leur dispersion qui est plutôt fonction de conditions météorologiques que des sources d’émissions.
Certains études ne suivent pas les protocoles d’études standards ( étude sociologique ).
Etude non appropriée pour identifier les déterminants des niveaux d’exposition (exposition atmosphérique individuelle ).
Données sanitaires insuffisantes pour effectuer des études analytiques.
L’effet cumulatif de l’ensemble de polluant n’a pas pu être isolé.