L’un des points de forts des protocoles réside dans le fait d’interroger à la fois les gouvernants (les élus) et les gouvernés (les habitants). Les entretiens avec les élus permettent de collecter les avis les demandes des politiques. Ceux avec les habitants permettent de prendre connaissance de la demande sociale.
L’une des faiblesses des protocoles réside dans la définition des critères du choix des élus et les habitants à interroger. Pourquoi a-t-on choisi seulement 36 habitants à interroger ? Cela est-il représentatif des 2700 habitants de Champlan ?