Les résultats et les notions qui, peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont les suivantes :
« La situation est bonne que celle qu’on pourrait attendre d’une zone semi-rurale comme Champlan, mais meilleure que celle de paris, où vivent plus de deux millions de personnes ».
« Les scientifiques reconnaissent eux même mal connaître l’effet des champs mégnétiques sur la santé »
« Du point de vue de la qualité de l’air, mieux vaut vivre là qu’a Paris, au vu des résultats, la situation n’est pas dramatique », confirme Hubert Isnard
« On ne peut pas exclure que des pathologies apparaissent dans quelques décénnies ou même quelques années dans la zone soumise aux multiples expositions. Mais pour l’heure, aucun indice d’un éventuel « effet coctail » n’a été ramarqué. Nous n’avons pas trouvé de signal snitaires fort ».
« Ce sont des questions sur lesquelles dans le monde entier, mais aussi en France, les scientifiques commancent tout juste à s’y pencher ».