Si la démarche de l’étude favorise la communication et la mise en perspective de perceptions, d’attentes, d’inquiétudes et de priorités différentes, il est envisageable que le manque de solutions immédiates alimente les divergences quant à l’impact sanitaire, les mesures immédiates et futures. Les notions de gênes, inconfort ou exposition s’avèrent subjectives et jouent en la défaveur des signaux d’alerte comme des conclusions des études.
L’exemple de l’exposition faible aux champs magnétiques de faible puissance, ne répond pas aux risques potentiels des plus exposés. La notion de fréquence et puissance élevées ne sont pas relevées et restent potentiellement polémique.
De même l’exposition à certains polluants atmosphériques à long terme et lors de pics (non mesurés) demeure un sujet évident de divergences entre la population craignant l’effet cocktail et les élus et agents d’expertise.
Bien que les conséquences sanitaires des expositions bruits, pollution atmosphérique générées par Orly soient moins exposés ou plus assumées, elle demeurent un point non totalement couvert et pourrait s’avérer un sujet sensible sans solution cependant..