Deux grands axes sont sans réponses :
L’impact sanitaire de ce choix de vie est non mesuré par ces études. Rien ne montre que sur un terme très long, la présence de ces nuisances bien que tolérées par la population ne fasse pas reposée un risque en terme de santé notamment de santé mentale ( génération d’angoisse répétée, pic de stress,...)
D’autre part, l’effet cocktail de ces pollutions n’est pas mesurés, chacune des études est conduites de manières individuelles.
Enfin aucune décision ou projet de décision pour préserver le cadre de vie comme il est actuellement n’est mise en avant à postériori de ces études. La question de la perspective pour les habitants reste sans réponse.