Ce cas est intéressant dans la mesure où il met en avant le facteur humain (en tant qu’individu et en tant que population) dans l’équation de la santé environnementale. Pour moi, on ne peut pas parler de santé et d’environnement sans parler de l’homme. Ce cas nous montre ainsi l’aspect psychologique (notion de ressource mentale, de stress perçu, d’adaptation psychologique) mais aussi social (effet de groupe, jeu d’acteur, communication) de la santé environnementale.