Les particularités de ce cas sont premièrement la perception des habitants de cette localité qui ne reflète pas cette hiérarchie de la situation réelle vécue contrairement aux habitants des autres localités où ce sont eux qui sont les premiers à être sensibles aux riques auxquels ils sont soumis. Les habitant qui ont un projet de vie à Champlan minimisent fortement l’ampleur du danger et trouvent même que la localité est la meilleure à habiter comparativement aux autres localités. Deuxièmement je trouve que, face à cette complexité, les décisions des uns et des autres risquent d’être contradictoires dans la mesure où les intérêts sont partagés