Le cas Champlanais peut être assimilé à tout autre commune en périphérie des grandes agglomérations qui subissent une mise en place, forcée, d’équipements et d’infrastructures dites polluantes (station d’épuration, sociétés automobiles, incinérateurs, aéroport, etc.).
Or, le cas Champlanais reste atypique pour les diffères caractéristiques qu’il regorge (caractère champêtre, multiexposition, implication de l’élu, la non participation et implication des services de l’Etat, etc.).
Parmi les cas qui subissent une pollution assez typique, nous citons :
Annecy, au département du Rhône, ville limitrophe de la métropole lyonnaise ;
Douai, au département du Nord, ville la plus polluée de la France (pollution atmosphérique, selon l’association ATMO, 2017), à quelques kilomètre de Lille.
Pantin, en région parisienne, ville la plus polluée en France avec 22 microgrammes de particules fines par an respirés, selon l’OMS (2017).
La Verrière, aux Yvelines, ville souffrant d’une pollution électro-magnétique et de nuisances sonores importantes.