D’autres territoires peuvent effectivement être soumis aux même registre d’exposition et de préoccupation des habitants (collectif ou individuel), et c’est là aussi la force de l’exemple (ou de la stratégie politique d’utiliser Champlan comme « laboratoire ».
La plupart des grandes métropoles sont exposées au risques que présentent les structures lourdes périphériques avec principalement la multiplication de facteurs de pollution atmosphérique. L’effet cocktail est déjà vérifié parmi les grands exemples de pollution massive des zones urbanistiques comme sur tous les continents, les principales villes étant confrontés à une capacité extrêmement limitée d’en contenir les effets délétères sur les populations. Pour autant nombre d’urbanisation croissante autour des grandes zones urbaines et industrielles pourraient aussi présenter les mêmes caractéristiques et pour autant bénéficier d’études similaires en associant évidemment une approche épidémiologique et économique absente dans el cas de Champlan.