A la lecture des différents articles, on note deux tendances :
La description du village en termes assez négatifs par les journalistes : « poubelle », « enfer » du fait de la perception des différentes nuisances. Pour les plus nuancés, on parle d’un côté pile et d’un côté face, autrement dit le côté bucolique versus le côté pollué. Ils notent également l’engagement citoyen.
Pour ce qui concerne l’étude en elle-même, on note le côté novateur de l’approche multidisciplinaire, comme si Champlan était un laboratoire pour découvrir de nouvelles évidences scientifiques ; et espérer mettre en place des solutions. Il y a un côté relativement laudateur de la démarche politique (maire/députée) même si la crainte que les résultats soient galvaudés est exprimée.