Dans ce type d’étude, on ne maîtrise pas l’exposition à des facteurs de risque, contrairement à ce qui se passe dans les études d’intervention. De plus, dans le cas d’une exposition environnementale (telle que le tabagisme passif), l’exposition réelle est délicate à évaluer : à défaut de pouvoir analyser en permanence l’air domestique, il faut passer par un bioindicateur qui reflète correctement l’exposition réelle.