Cette fracture entre les études de types cas –témoins et les règles l’épidémiologie analytique s’explique par le financement des études écologiques par les industries, leur implication à travers des scientifiques salariés, des consultants pour les mêmes industries dont l’auteur de la publication reste seul le consultant, la non implication des syndicats et les associations dans les comités de scientifiques de validation. Cet état de fait entache véritablement la fiabilité des résultats analytiques. Les industriels utilisent plusieurs tactiques pour dissimuler leur implication dans les contre-études d’où l’écartement entre études de cas témoins et les règles de l’épidémiologie analytique.