En effet en utilisant les bioindicateurs, on rend plus objective l’exposition individuelle. De ce fait même, cette méthodologie permet d’écarter ceux qui peuvent déclarer avoir été exposé (du fait de la simple proximité) alors qu’ils ne l’avaient pas été. En écartant les faux positifs, on augmente la spécificité. Au reste, le plus souvent en augmentant la spécificité on réduit la sensibilité.