Cette différence m’inspire que le risque de cancer du poumon concerne l’exposition chronique et donc apparaît à des doses beaucoup plus faibles. Or auparavant en 1943, les études concernaient une exposition aigue. Et avec l’augmentation du risque d’apparition de cancers du poumon au fil des années les experts auraient ont fait des révisions de l’étude et on redéfinit la norme. Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 ne semble pas élevé par comparaison à d’autres situations connues