La norme de 52μg/m2 apparaît très élevée par rapport aux conclusions de l’étude de risque. Notamment par rapport à la première version, qui conclue à un risque réel (OR=4.9) de cancer du poumon même pour une exposition moyenne (entre 1.2μg/m2 et 5.8μg/m2).
Le OR pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 et estimé à 20.2 semble extrêmement élevé dans la première étude. Par comparaison, suivant différentes études, le risque moyen d’un fumeur de développer un cancer du poumon est 3 à 17 fois supérieur. Il est donc important de réétudier le design de l’étude pour s’assurer de la fiabilité des résultats recueillis.