Il apparait évident que la norme étant largement sous-évaluée par rapport au risque encourru jusqu’à aujourd’hui, un très grand nombre de survenue de cancers du poumons auraient pu et pourrait être éviter.
Le odds ratio pour les cancers du poumon à la dose > à 5,8μg/m2 semble beaucoup plus élevé par comparaison à d’autres situations connues (en général entre 2 et 3).