1- Tout d’abord ce type d’étude est une méta-analyse qui est utilisée du fait que les résultats sont de différents ordres. Nous pouvons ainsi observer qu’il y a différents aspects : taille des échantillons, classification des données… Ils ont estimés la consommation de soja, fait des enquêtes alimentaires ; les études portent sur différents critères au niveau des femmes pré-ménopausées ou non, certains considèrent la quantité de soja ingérée ou non, des régions différentes. Cette disparité de critères et donc de résultats permet d’émettre une conclusion.
2- Nous pouvons constater qu’il y a différent point qui représente les Odds Ratio qui est le cumul de différentes catégories de femmes (post ménopausique, pr2 ménopausique..), la taille étant proportionnelle à l’effectif. L’intervalle de confiance à 95% se situe au niveau de l’OR =1. On peut estimer que cet intervalle permet qu’un RR ou OR<1 est associé à une consommation de soja qui se traduit par une baisse du risque de cancer. Il est cependant difficile de conclure avec certitude qu’un OR inférieur à 1 pourrait baisser le risque de cancer lié à la consommation de soja.