Comme toujours, ce qui est visible est enregistré en premier. Il n’y a pas de raison d’en rester aux malformations génitourinaires. Ceci dit, il y a toute une série de conditions préalables qui tiennent à la possibilité d’estimer l’incidence de toute malformation dans la population et toutes les difficultés déjà discutées dans les pages d’épidémiologie, comme de récupérer les données d’exposition.
Evidemment, ceci est plus simple dans les modèles animaux où il est possible de tester des marqueurs de dysfonctionnement hépatique (enzymes comme les gamma GT) ou rénal (protéinurie...).