D’après la conclusion, il a fallu qu’on pratique le dosage de la nicotine (ou des dérivées provenant de la fumée du tabac) dans le sang des non fumeurs.
Il s’agit d’examen de nature biomoléculaire.
Cet examen permet d’éviter des fausses déclarations car les données moléculaires vont confirmer s’il y a eu réellement exposition ou non.