Comme examen complémentaire, l’on pourrait demander aux fumeurs passifs de décrire l’environnement atmosphérique.
Vivent-ils avec des fumeurs ?
Sont-ils exposés aux conditions de contamination ?
Quels ont été les degrés d’exposition des fumeurs passifs ?
La susceptibilité aux polluants atmosphériques est-elle significative ?
En plus de cela, il serait effectif de rechercher des biomarqueurs de nicotine chez les non fumeurs afin d’attester de la véracité de leurs dires lors de l’enquête.
Cet examen complémentaire permet d’éviter les fausses déclarations car elles permettent d’établir une corrélation vraie entre les facteurs liés à l’exposition aux polluants atmosphériques et la susceptibilité de l’individu à faire la maladie.