Des études similaires ont été menées sur l’impact sanitaire de l’exposition aux dioxines et la survenue de cas de lymphomes malins non hodgkiniens dans des populations résidents aux environs de l’incinérateur de Besançon.
Compte tenu des nombreux paramètres influant la circulation des molécules de dioxine dans l’air, l’étude s’est basée sur une modélisation du secteur en quatre zones, de la plus exposée à la moins exposée.