La dose préconisée par l’inhalation est 4 fois supérieure à celle d’une exposition alimentaire. Cette différence s’explique par le fait qu’au niveau pulmonaire une partie du xénobiotique peut ressortir et une partie peut se perdre avant d’atteindre les poumons tandis que par la voie alimentaire, toute la quantité de xénobiotique au niveau du bol alimentaire va directement dans le sang par le biais des nutriments. Le risque doit être logiquement plus élevé par voie d’exposition alimentaire que celui par voie respiratoire, ce qui justifie la différence des chiffres notée.
L’ERU est l’excès de risque unitaire qui est la valeur toxicologique de référence appliquée aux effets sans seuil (substances cancérogènes).