Une des limites principales de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude est la nature variée des cancers ayant causés la mort de la cohorte exposée ; en effet, il n’est pas à écarter que d’autres facteurs à part l’inhalation de l’arsenic ait été susceptible de générer les cancers divers.
Il y a également le faible incident du cancer de poumon qui a été principalement énoncé comme principal effet de l’exposition à l’arsenic ; la causalité et l’association par rapport aux données disponibles ne permet pas de se fier à la conclusion que l’arsenic ait été à lui seul responsable de la mortalité de la cohorte exposée.