Les principales limites de l’évaluation de l’exposition à l’arsenic dans cette étude étaient :
Ignorance des conséquences d’une exposition progressive à l’arsenic. Ceux-ci sont encore relativement méconnus.
De plus, bien que cette étude se concentre uniquement sur l’examen du risque accru de cancer chez les bébés nés dans ce département, nous pensons donc que cela ne suffit pas.