Si l’on s’appuie sur l’exemple des DES, on remarque que les filles exposées à cette substance (dans l’utérus) notamment entre la 6ème et la 17ème semaine sans règles, ont des risques accrus de développer des anomalies de l’appareil génital. Cette dernière est présente chez la fille et même chez la 2ème génération mais pas chez la mère. Ainsi, la génotoxicité d’une substance attaquant les cellules reproductrices ou non reproductrices et entraînant une mutation d’une séquence de gènes n’est pas nécessairement transmissible d’une génération à une autre mais certains caractères acquis peuvent l’être.