On peut dire que cela a des conséquences sur la progéniture des première et deuxième générations. En effet, l’exemple du diéthylstilbestrol (DES) ou du diéthylbène montre que les descendants de première génération de mères exposées au DES sont à risque de développer un cancer du col de l’utérus ou du vagin. Le risque de dysplasie cervicale et vaginale augmente. Plus tard, plusieurs années de recherche ont montré que le DES peut avoir des effets extra-génitaux à la troisième génération.
Cependant, une étude de 2007 aux Pays-Bas sur les causes des malformations congénitales a révélé qu’il est difficile de l’expliquer par une anomalie génétique, de sorte que les conséquences pour la progéniture ne sont pas contraignantes.